•il', " > • .'^m^-^. ' f* Constantin Meunier Sculpteur et Peintre CONSTANTIN MEUNIER SCULPTEUR Eï PEINTRE ÉDITION DE LUXE papier du japon.// il reu\cui' 11,11- Ale/it-r .tAi'llm,i I est plus conforme ù la notion de la beauté dans Fart que les grâces frauduleuses des demoiselles de lEmpyrée. Il délaisse les mythologies comme il a délaissé la pose classique du timide, goût de (ronde etmodèle à l'Académie. Chez ce un d'indépendance s'est faii jour. Il aspire à la nature vraie, l'atelier Saint-Luc,au modèle qui ne pose pas. Il entre à libres comme il v en avait alors à Bruxellesun des ateliers le modèle etet qu à deniers communs pour se proctirer d'arti.stes. Là, il ren-réclairage, enti"ctenaient des groupes Félicien Rops qui déjà, dans ses fusains grascommecontre des nus pochésdes estampes, modelait nerveusement listels noirs. On voyait venir aussidombre et bordés de un petit homme souftVeteux, aux yeux nostalgiqties sous émouvant Charlesun haut front tourmenté. C'était cet si miséricordieux aux dénués, et qui. dansde Groux. son art, s'était révélé l'annonciateur de la souffrance humaine. sympathie bientôt les lia. filiale de la part du plusUne jeune, fraternelle de la part de l'autre. Meunier, chez le trouva des analogies avec ses proprespeintre des plèbes, idyosincrasies. Dans cet atelier besogneux de la rue du dominaitMoulin, où de Groux, avec les énergies d'un héros, quotidiennes et ne paraissait les ressentir qu'à.
• .'^m^-^. ' f* Constantin Meunier Sculpteur et Peintre CONSTANTIN MEUNIER SCULPTEUR Eï PEINTRE ÉDITION DE LUXE papier du japon.// il reu\cui' 11,11- Ale/it-r .tAi'llm,i I est plus conforme ù la notion de la beauté dans Fart que les grâces frauduleuses des demoiselles de lEmpyrée. Il délaisse les mythologies comme il a délaissé la pose classique du timide, goût de (ronde etmodèle à l'Académie. Chez ce un d'indépendance s'est faii jour. Il aspire à la nature vraie, l'atelier Saint-Luc,au modèle qui ne pose pas. Il entre à libres comme il v en avait alors à Bruxellesun des ateliers le modèle etet qu à deniers communs pour se proctirer d'arti.stes. Là, il ren-réclairage, enti"ctenaient des groupes Félicien Rops qui déjà, dans ses fusains grascommecontre des nus pochésdes estampes, modelait nerveusement listels noirs. On voyait venir aussidombre et bordés de un petit homme souftVeteux, aux yeux nostalgiqties sous émouvant Charlesun haut front tourmenté. C'était cet si miséricordieux aux dénués, et qui. dansde Groux. son art, s'était révélé l'annonciateur de la souffrance humaine. sympathie bientôt les lia. filiale de la part du plusUne jeune, fraternelle de la part de l'autre. Meunier, chez le trouva des analogies avec ses proprespeintre des plèbes, idyosincrasies. Dans cet atelier besogneux de la rue du dominaitMoulin, où de Groux, avec les énergies d'un héros, quotidiennes et ne paraissait les ressentir qu'à." />
•il', " > • .'^m^-^.' f*Constantin Meunier Sculpteur et PeintreCONSTANTIN MEUNIER SCULPTEUR Eï PEINTREÉDITION DE LUXE papier du japon.// il </< tir<- lie cet ouvrage cinquante exemplaires sur suite des gravures hors texte.avec double