Bédier, Joseph Discours de k l'Académieréception française DISCOURS DE RÉCEPTION A L'ACADÉMIE FRANÇAISE PRONONCÉ LE 3 NOVEMBRE 1921 PAR JOSEPH BÉDIER Sur rŒuvre d'Edmond Rostand PARIS CHAMPION, ÉDITEURHONORÉ EDOUARD CHAMPION (VI*)QUAI MALAQUAIS5, 1921 DISCOURS DE RÉCEPTION A L'ACADÉMIE FRANCHISE DISCOURS DE HKCKI'TFON A L'ACADÉMIE FRANÇAISE NOVEMBRE 1921PRONONCÉ LE 3 PAR BÉDIERJOSEPH {l'Edmond RostandSur l'Œuvre PARIS CHAMPION, ÉDITEURHONORÉ EDOUARD CHAMPION QUAI MALAQUAIS (VI*)5, 1921 ('/«' // a lir ne l'ont (]U nndcs (\v \os cin(| en estsimilitude mêmet\(»i(lc, cl (|ne la Ionsparce (|neet la monotonie,émouvaule dele Ihènwles lécipiendaiies développent lamôme sincérité etoialilndc avec lalenr n'en est pas uji,humilité. C'est qu'ilmême qui ne con-sa propre gloire,si fier soit-il de de «grands ser-émoi combiensidère avec dans votrenation l'ont précédévitoui's de la H DISCOURS DE HÉCEPTION ceux qu'il voit de ses yeux, ceuxCompagnie, ceux de jadis. Et c'est encorede naguère, ce grave hémicycle, tout nouvelqu'au seuilde soit, voit à plein une vé-arrivant, quel qu'il son œuvre, que vous récom-rité, celle-ci : en honorez quelque chose quipensez, vous de lui,vaut mieux que lui, qui n'est pas la patrie qui luiqui est de la patrie. C'est a donné ses soutiens et ses guides, les ins- pirateurs de son effort, les compagnons de ses travaux, ses modèles. A cet instant, revoit tous. Il comprend que vousil les c'est aussi les remercier.