La recherche sur le sujet du baptme m’a conduit Ā bien des dtours dans ma tentative de dcouvrir la vrit. Dans notre srie «The Shining Light of Glory», non seulement de nombreux parallles furent faits entre la lumire biblique et le baptme par l’eau, mais nous avons vu qu’il s’agit en ralit de la mme chose. Ceci veilla en moi une certaine curiosit quant aux questions suivantes : pourquoi existe-t-il une telle diversit d’interprtations sur la vraie nature du baptme et d’oÙ proviennent tous ces dogmes ? Aprs avoir lu des affirmations sur l’immersion du corps entier – un style de baptme qui proviendrait des religions paennes Ā mystres – je commenÇai Ā faire des recherches afin de savoir si oui ou non cette affirmation tait vraie, car je ne dsirais pas promouvoir quelque chose de contraire Ā la Parole de Dieu. Cependant, ce que je dcouvris me prouva que cette affirmation tait loin d’tre une simple supposition.
Durant tous ces sicles, la question du baptme est devenue trs alambique. J’ose affirmer que si vous demandez Ā une douzaine de Chrtiens quelle est la signi-fication du baptme, vous obtiendrez une douzaine de rponses diffrentes. Ces derniers six mois, j’ai examin en profondeur des centaines d’articles et des di-zaines de livres. J’ai galement pri afin de savoir ce que Dieu dsire que nous fassions. « Cherchez, et vous trouverez » (Matthieu 7:7). Je pense que j’ai dnou quelques nœuds sur ce sujet. Je n’ai pas l’intention de crer des controverses ni de secouer les chanes motionnelles de quiconque. Ce n’est pas non plus de ma faute si certains enseignements sont fautifs et mritent un examen attentif. Pour certains, ce message constituera le signal pour commencer une argumentation im-mdiate dnue de toute exgse. La grande majorit de ce qui est gnralement affirm est arbitraire et n’entre pas en harmonie avec le restant de la Bible. Beau-coup de ces arguments ne sont que des citations des critures sans aucun rapport avec le sujet et qui ne font que servir des intrts particuliers, des arguments que n’importe qui peut utiliser, comme par exemple «la vrit te rendra libre, mon frre ! ».
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M. Downey
J’ai connu bien des pasteurs dont les sermons sont remplis Ā ras-bord de passages laissant croire qu’ils savent de quoi ils parlent alors qu’en ralit leurs citations de la Bible n’ont aucune pertinence quant au sujet abord. Il semble qu’ils sont inca-pables de dfendre leur position – Ā part rpter les dogmes en conserve de leur dnomination – ou bien qu’ils sont incomptents. Je me sens comme le gars qui s’exclamait « H! L’empereur est nu! ». Nous verrons ce que vaut le baptme par l’eau. Ne craignons pas une enqute ni la possibilit de changer d’avis, ne soyons pas intimid par ceux qui affirment que «si vous n’tes pas baptis correctement comme nous, vous serez terriblement dsappoint au jour du jugement». Aprs quoi, ils vous jettent Matthieu 7:23 Ā la figure, le passage oÙ le Christ dit : «Je ne vous ai jamais connus; retirez-vous de moi, vous qui pratiquez l’iniquit». Et pourtant, en Jean 10:27, Yahshua dit : «Mon troupeau entend ma voix, et je les connais, et ils me suivent ». Rien n’est dit sur le baptme en tant que critre pour l’lection dans le Christ, tout simplement parce que le point crucial est la race, pas l’eau. Ils peuvent aussi essayer de vous accuser en citant Romains 8:9 : «Mais si quelqu’un n’a pas l’Esprit de Christ, celui-lĀ n’est pas de lui», qui n’a rien Ā voir avec le baptme.
Les exemples qui prcdent, qui consistent Ā prendre des passages des critures hors-contexte pour justifier l’immersion entire du corps, font partie des choses qui me furent dites par Ted Weiland et Doc Stephens lors du camp biblique de Pete Peters en 1989, au Colorado. Je possde toujours la paperasserie sur ce «cours sur le baptme» et, aprs 14 ans, j’en suis venu Ā la conclusion que j’acceptais Ā cette poque des paroles d’hommes plutÔt que la Parole de Dieu sur ce que je dois croire. Le prsupposition tait alors que «pour un Chrtien de n’importe quelle dnomination, le baptme est accept et fait immdiatement partie du rituel de la doctrine particulire de cette personne ». Aujourd’hui, tant plus mÛr en Christ et ne prenant pour argent comptant ce qu’un homme dclare, je peux voir comment cette affirmation ouvre une Bote de Pandore pour toutes sortes de doctrines. S’il existe une seule sorte de baptme, comme le dit phsiens 4:5, alors croyez-vous que Dieu dsire que nous acceptions cette pluralit de formes de baptmes prati-ques dans les diverses dnominations? Ne devrait-il pas y avoir plus d’une seule doctrine s’il existe plus d’un rituel? Je trouve cette notion ambige de baptme inacceptable. Comme nous le verrons bientÔt, les rituels des hommes ont plus de rapport avec les glises qu’avec le Christianisme, et plus spcialement avec les ma-chinations des prtrises professionnelles. C’est cette classe de religieux qui frustre notre race et fait stopper l’avancement des bndictions sur notre Foi.
Le sarcasme dans le titre de ce message est intentionnel. Dans le sport du bas-ketball, sur-pay et sentant la sueur, des ngres Masa enfoncent violemment une balle dans un panier et les fans adorent ce spectacle ! Ce geste est appel un « slam 1 dunk »et rapporte des points dans le jeu. En examinant l’histoire du baptme,
1. Ily a, ici, en anglais, un jeu de mots intraduisible en franÇais. Le verbe « to dunk » signifie en effet « tremper » (NDT).
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nous pouvons galement observer la complicit des hirarchies ecclsiales, qui illustre Jrmie 5:31 :
« Lesprophtes prophtisent avec mensonge, et les sacrificateurs do-minent par leur moyen; et mon peuple l’aime ainsi. Et que ferez-vous Ā la fin? ».
Dans l’dition de Ferrar Fenton, nous avons la traduction : «. . .et les prtres trompent avec leurs mains; .. . ».
Eh bien, aprs tre parvenu Ā la fin d’une recherche exhaustive, je suis bien oblig de m’en prendre aux enseignants, et particulirement dans l’Identit Chrtienne, pour dboulonner le dogme du baptme rituel comme ne reprsentant rien d’autre que des points marqus dans un jeu de thologie crmonielle.
Je crois que Dieu a une mission pour Isral dans le Mouvement Identitaire, et les rituels non-Chrtiens d’immersion dans de l’eau font partie des choses que nous devons abandonner si nous voulons jamais passer de l’tat de Chrtiens passifs Ā celui de Chrtiens pro-actifs dans le corps politique. Le Christ enseigna sans aucun doute le rejet des rituels paens. Avant le Christ, comme aprs, il existait de nom-breuses formes de baptme qui taient clairement adoptes des mystres paens. Les promoteurs des cultes Ā mystres croyaient que leurs sacrements avaient le pouvoir de donner un avantage Ā leurs adhrents, en les faisant atteindre l’immor-talit d’une manire mcanique ou magique. Cette mentalit paenne s’est glisse dans les croyances des glises, croyances selon lesquelles Dieu attribue ou donne un crdit de justice Ā un pcheur, garantissant ainsi notre salut. En d’autres termes, la seule faÇon dont Dieu peut nous accepter est de nous transformer en Christ. Bien sÛr, les quations modernes de ces mystres nieront toute similarit – insistant sur le fait que des expriences personnelles peuvent survenir avant cette transforma-tion de la Foi. L’analogie est celle-ci : vous ne pouvez pas dmarrer une voiture sans batterie. Le problme est que les gens ne sont pas des voitures. Nous sommes des tres biologiques, pas des mcaniques.
Contrairement aux rinterprtations sur ce que Yahshua faisait, quand l’eunuque demanda Ā Philippe d’tre baptis, il lui fut rpondu : « si tu crois de tout ton cœur, tu peux ». Notre Foi commence par la croyance. Quel que soit le mode de baptme que Philippe administra, il ne s’agissait que d’une ponctuation de quelque chose de bien plus grand. De quelle grande chose s’agit-il? Il s’agit de penser et d’agir comme un Chrtien et pas comme un ancien paen. Nous n’imitons pas le sacrifice du Christ, comme de petits dieux, payant pour nos pchs.
« Car vous tous qui avez t baptiss en Christ, vous avez revtu Christ » (Galates 3:27).
Que signifie cette phrase ? Une immersion dans de l’eau, ou bien plutÔt accepter le Christ ressuscit dans un sens nouveau de communaut raciale sous les alliances
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de Dieu? En langage familier, cela signifie agir de concert en tant que Blancs Chrtiens. Quand notre ancien moi est enterr en connexion Ā la mort du Christ, ce n’est pas par une reconstitution d’un rituel symbolique que le Matre efface nos pchs. Le Christ nous donne un nouveau commencement dans la vie; pas par un baptme dans de l’eau mais bien « en ayant t justifis par la foi, nous avons la paix avec Yahweh» (Romains 5:1). La Foi ne consiste pas Ā vouloir croire, en dpit des preuves du contraire, dans une immersion du corps dans l’eau. La Foi, c’est oser agir selon les Lois de Dieu, sans considration pour les traditions des hommes. Si l’immersion tait la Loi, il n’y aurait aucun besoin d’un dbat ni d’un sermon comme celui-ci. La relation du baptme dans l’eau aux anciennes religions Ā mystres n’est pas tire par les cheveux. Ces anciennes religions ont clairement t adoptes par l’glise Catholique et par la Rforme Protestante.
Historiquement, la « rgnration baptismale » (paenne ou non) tait la croyance selon laquelle le salut, ou vie ternelle, dpendait du baptme par de l’eau. C’tait une autorit humaine qui tait charge de dfinir les «qui, quoi, quand, oÙ et pourquoi » quant au mode appropri et aux personnes qualifies ncessaires, selon la religion.
« MaisĀ fants de
tous ceux qui l’ont reÇu, il Yahweh, savoir Ā ceux qui
leur a donn le pouvoir d’tre en-croient en son nom» (Jean 1:12).
La Foi donne Ā une personne le pouvoir de devenir. Le verbe est ici au futur. Le mot grec pour «recevoir »estlambano(n2983 dans la Concordance de Strong) et signifie «prendre ou saisir». Ds lors, les rituels ne peuvent pas donner un pouvoir ou une autorit instantane. Un rituel ne peux pas saisir ce qu’exige une croyance. Il n’existe tout simplement pas de truc magique, comme les superstitions mythologiques tentent de faire croire. Le baptme ne fait pas arriver quoi que ce soit, comme les rituels paens taient supposs le faire.
Nous devons comprendre ce que les anciens faisaient afin que nous ne traitions pas Dieu comme un dieu paen. Lorsque David changea la faÇon de transporter l’Arche d’Alliance pour le faire de la manire dont les paens transportaient leurs idoles, Dieu tua un homme et fit cesser la corruption du symbolisme de l’Arche par les masses. L’assemble originelle tait appele «la Voie» et n’tait pas une religion base sur des formules ou essayant de btir un meilleur pige Ā rat que Dieu. De mme, comment quiconque peut-il penser que l’Esprit de Dieu devra habiter parmi nous si nous Le traitons comme David le fit ? Pourquoi Dieu devrait-Il honorer des baptmes paens qui corrompent le travail du Christ ? Je dcouvris que les anciens paens, non seulement baptisaient par immersion, mais par d’autres mthodes galement. Les Chrtiens firent de mme, ce qui rend les choses encore plus confuses. Il suffit de se demander quelles taient les principes sous-jacents Ā de telles pratiques et de quelle manire elles taient diffrentes de la faÇon dont le Christ et Ses disciples voyaient le baptme.
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Tandis que je vous relate ces parallles paens, les marqueurs de points par « slam dunk » vont sans aucun doute crier Ā la faute ! Dsol, mais je ne vais pas dclarer que toute similarit, de ressemblance de personnage ou de principes associs serait dÛ Ā une pure concidence.
Nous devons noter qu’une ordonnance est un commandement absolu, et certaines personnes considrent le baptme comme une ordonnance. Certains Chrtiens croient que c’est le principe des ordonnances qui fut clou Ā la Croix. Le baptme a t confondu avec un « sacrement », mot qui signifie « mystre », ou « secret ». En tant que tel, le baptme est devenu un mystre, parce que le sacrifice de Yahshua n’a aucune valeur Ā moins que, comme avec l’Eucharistie Catholique Romaine, ce sacrifice soit transform en une ralit apprcie uniquement par ceux qui sont accepts par la hirarchie pour participer aux droits et privilges offerts par la reli-gion. Le mystre ne peut tre compris que par l’opration directe d’un esprit divin. Environ la moiti des Baptistes du Sud (qui sont trs grandement influencs par la Franc-MaÇonnerie) ne sont pas baptiss pour cette raison. Sans participer Ā l’ini-tiation, ils redfinissent le baptme comme une ordonnance devant tre obie. Ce rituel par procuration conduit le croyant Ā une attitude arrogante quant Ā son sta-tut par rapport Ā Dieu, en ce qu’il va faire du proslytisme dans le but de dupliquer son exprience personnelle.
Les mystres insistent sur le drame du Christ venant vers nous pour nous instiller de la foi. L’ide est que, par le rituel, le Christ viendra Ā vous personnellement. Romains 10:17 dclare-t-il « La foi vient par Jsus rpondant Ā vos rituels »? Non. Le texte dit : «Ainsi la foi est ce qu’on entend, et ce qu’on entend par la parole de Yahweh». L’tat d’esprit paen redfinit la Foi en en faisant une histoire de sacrements. Les rformateurs qui rejetaient les rituels identifirent clairement le systme religieux babylonien Catholique, oÙ le prtre-prdicateur-Monsieur Loyal administre les sacrements. La Foi plus le baptme ne sont pas gaux au salut, pas plus qu’une foi dans les traditions humaines plus des rituels n’galent une rgnration paenne. La pratique du baptme dans les religions paennes semble avoir t base sur une croyance dans les proprits purifiantes de l’eau. Chez les anciens, quiconque s’tant souill par un homicide allait Ā la recherche d’eau pouvant le purger de cette culpabilit.
L’EncyclopÉdie des Religionssouligne le fait que :
« Le mot “baptme” signifie “plonger, s’immerger, ou laver”. [. . .] Il si-gnifiait, Ā partir de la priode Homrique, tout rite d’immersion dans de l’eau [.. .]similaire Ā de nombreux autres rituels que l’on trouvait dans d’autres religions ».
Dans l’ancienne Babylone, l’eau tait un lment important en tant qu’agent spi-rituel purificateur dans le culte d’Enki. Dans le culte gyptien d’Isis, le baptme des nouveaux-ns tait effectu afin de les purifier des souillures acquises dans le ventre de leur mre. Les eaux froides du Nil taient utilises pour baptiser
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les morts selon un rituel bas sur le mythe d’Osiris de la rgnration par l’eau. Ce rituel tait le symbole de la fin de la vie dans ce monde. Dans le culte de Cyble, on pratiquait un baptme prenant la forme d’un bain pris dans le sang d’un taureau. Dans l’ancien monde Grec, le baptme tait associ Ā l’immortalit procure Ā l’initi au cours de cette vie. Le culte Ā mystres Hellnique croyait que l’eau divine possdait un pouvoir rel de transformation. Les disciples de la desse Cotyto taient connus sous le nom debaptai, c’est-Ā-dire «les baptiss». Les Grecs employaient mme une prtrise spciale connue du nom deKathartai (d’oÙ nous vient le mot decatharsis), qui tait spcialise dans la purification par l’eau. Aprs la conspiration de Cylon, Ā Athnes en 632 av. JC, un spcialiste de l’eau nomm Epimenides de Crte purifia la cit tout entire avec de l’eau. Les religions Ā baptme de cette priode incluaient des rituels soit d’immersion, soit de lavage du corps, Ā des fins de purification, d’initiation, de transformation de l’existence personnelle, d’effacement des pchs, de reprsentation symbolique, d’esprance d’une vitalit physique suprieure, de renouveau ou de rgnration spirituelle ;toutes choses qui ressemblent trangement aux rituels existant dans les dnominations dites « Chrtiennes ».
Les historiens vous diront que toutes les anciennes religions reconnaissaient une certaine forme de baptme par l’eau contenant un ou plusieurs des lments men-tionns ci-dessus. Nos anctres Isralites taient certainement conscients des dieux trangers contre lesquels Jrmie 10:12 les mettait en garde : « N’apprenez pas les voies des paens». Une poque et un lieu plus appropri pour notre sujet est la Jude du temps du Christ, qui avait t absorbe dans la culture Hellne sous la domination Romaine. La religion prvalente alors tait ce qui sera connu plus tard sous le nom de «Judasme ».La grande question est : baptisaient-ils par immer-sion ?Et la rponse est : oui. La question suivante est : Yahshua et Ses disciples suivirent-ils cette tradition? Et la rponse est : non. Tournons notre attention vers l’aspect le plus drangeant de cette question : l’influence Juive sur le Christianisme.
Premirement, nous devons prciser que ces « Juifs » n’taient pas le peuple choisi par Dieu, mais qu’ils taient plutÔt ces « multitudes mlanges » qui retournrent Ā Jrusalem aprs la captivit babylonienne, amenant avec eux les « traditions des anciens » (une contradiction et corruption de l’Ancien Testament) que le Christ d-nonÇa fermement. La plupart de ces premiers fidles du Judasme n’taient pas des purs Judates, bien que certains d’entre eux taient purs mais avaient une menta-lit corrompue (comme l’apÔtre Paul). Il s’agissait de quelque chose d’assez proche du Sionisme d’aujourd’hui. Leurs dclarations polluaient ds lors la mmoire des prophtes et de Mose. Le vrai Christianisme n’a aucune obligation d’accepter quoi que ce soit provenant des Juifs.
Nous pouvons nous faire une meilleure ide sur tout ce non-sens prtendant que le Christianisme doit ses racines au Judasme en examinant la question du baptme Ā cette poque. Le docteur Merrill Tenney, diteur de laZondervan Encyclopedia of the Bible, dclarait :
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« Lebaptme, en tant que rite d’immersion, ne fut pas invent par les Chrtiens mais fut import dans le Christianisme Ā partir de formes Juives et paennes [.. .](accrochez-vous Ā votre chaise, c’est lĀ que cela devient amusant) Du fait que la premire forme de Christianisme faisait partie du Judasme de l’poque de Jsus, il ne fait aucun doute que le baptme tel qu’on le trouve dans les glises aujourd’hui tait originellement Juif ».
Il est vident que le docteur Tenney ne fait aucune diffrence entre les Judates racialement purs et les praticiens du Judasme qui assassinrent le Christ, pas plus qu’il ne semble comprendre la signification d’un sacrement mystrieux devenant une ordonnance du Nouveau Testament.
Je fus trs surpris de lire, sur le site web des «Juifs pour Jsus» – expression qui n’est en ralit qu’un euphmisme de cinquime colonne pour «Juifs pour la conversion des Chrtiens au Judasme» – certaines admissions sur le baptme. Nous allons apprendre un nouveau mot Juif aujourd’hui : le motmikveh. Leur site web yiddish dit :
« Lebaptme est tout aussi juif que lemikveh. Le mot hbreutevilah (traduit par “immersion”) est utilis dans la bndiction qui est rci-te durant le rituel dumikveh. Personne ne va mettre en doute que le mikvehest une crmonie juive ».
Lemikvehest trs ancien, mais il est toujours pratiqu par les Juifs actuels d’une manire pratiquement inchange depuis l’poque du Christ. Ces traditions talmu-diques venaient des Pharisiens et, tout autant que les nombreux escrocs Juifs en-gags dans la fraude de la taxe alimentaire kosher, il y avait des rivalits juives quant aux rgles sur lemikveh, bien que d’une faÇon ou d’une autre, toutes ces formes demikvehse traduisaient par une immersion. Il y a au moins dix chapitres dans le Talmud qui discutent des rgles complexes rgulant le baptme. Selon le Talmud, chaque partie du corps (y compris chaque cheveu) doit tre immerg. Les Juifs contemporains l’appellent simplement « l’immersion ». Lemikvehreprsente galement le ventre et la tombe. Quand une personne est immerge, elle se trouve temporairement dans un tat de non-vivant, mais lorsqu’elle sort de l’eau, elle est ressuscite avec une nouveau statut. La mentalit talmudique nous apprend que ce rituel reprsente les endroits de non-respiration, les points extrmes du cycle de la vie et de la mort. De plus, il s’agit d’un signe extrieur des changements que l’Esprit Saint a effectu dans le cœur de la personne, (attention : prparez un sac pour vomir!) personne qui monte d’un degr de saintet Ā un degr suprieur. Voici donc ce qui est vendu aux Judo-Chrtiens par ces paens : le baptme est un signe extrieur de notre foi aprs avoir t «sauv ».Ils doivent se sentir trs contents de soi, ne croyez-vous pas?
De faÇon intressante, vers les dbuts de l’re Chrtienne, les Juifs adoptrent la coutume consistant Ā baptiser les proslytes, c’est-Ā-dire les convertis au Ju-dasme. Ce baptme se dveloppa sous l’influence du rabbin Hillel et soulignait
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l’importance d’une nouvelle naissance ainsi que d’une purification spirituelle. Jus-qu’Ā aujourd’hui, les soi-disant « Gentils » qui acceptent le Judasme doivent subir le baptme selon un rituel demikveh. Afin d’tre vraiment Juif, le converti est im-merg nu et, lorsqu’il sort du bain, il est dsign comme « un petit enfant tout juste n » et appel « un vrai fils d’Isral » (sic).
Nous voyons la mme chose aujourd’hui avec des « Isralites spirituels » universels 2 « nouveaux-ns »sortis tout droit de leur jungle, avec un os encore dans leur nez. Ils ne sont pas ns d’en haut grce Ā leur baptme. L’archologie prouve que la construction de ces fonds baptismauxmikvehdans les anciens temps tait extrmement importante pour les Juifs antichrists, car elle tait prioritaire sur la construction des synagogues. On peut se demander pourquoi certaines personnes sont tellement inflexibles sur une immersion du corps entier, mme dans notre mouvement. Chez les Juifs, lemikvehallait jusqu’aux extrmes : ils baptisaient les pots, les casseroles et autres ustensiles alimentaires manufacturs par des goyim, ou bien ils se faisaient baptiser dans lemikvehavant la fte du Yom Kippur afin de se sensibiliser Ā la saintet de ce jour. Notez qu’une bouteille de savon liquide pour vaisselle de marque «Ivory »est marque du sceau kosher, un «U »Ā l’intrieur d’un cercle.
á propos, aprs le baptme de ces convertis au Judasme, ceux-ci taient admis au Temple pour y faire des sacrifices. Est-ce que le Christ avait quoi que ce soit de bon Ā dire sur les activits du Temple? En fait, Il devint violent, non? Pensez-vous que Sa rencontre avec Jean le Baptiste ressemblait Ā ce qui se passait au cœur de Jrusalem ?Je ne le pense pas. Je vous parlerai de cela en deuxime partie.
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2. «born again » en anglais (NDT).
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DEUXIME PARTIE
Nous avons examin la vache sacre du baptme d’immersion complte dans l’eau. Le mot « baptme » n’est pas vraiment le mot qui convient, bibliquement parlant, pour parler de la pratique consistant Ā s’immerger dans l’eau. Je pense que ce qui s’est pass, c’est de la dissonance cognitive : lorsque deux choses sont tellement similaires que l’intention originelle est perdue et remplace par quelque chose d’autre. Notre race a souffert d’avoir subi des changements dans l’enseignement de principes importants concernant des vnements bibliques, tel par exemple le rcit du dluge de No qui fut emprunt par des cultures non-Adamiques. Aprs un certain temps, chaque tranger possdait sa propre lgende sur le dluge et le dogme mergea que ce dluge avait t global plutÔt que local. Si le baptme est quelque chose d’autre qu’une immersion dans l’eau, alors leur exgse du Nou-veau Testament sur les types de l’ancien Testament ne peux plus tre supporte. Ils essayent d’incorporer la sparation des eaux de la Mer Rouge comme une sorte de baptme des Isralites alors que, si vous vous rappelez, ce fut l’arme du Pharaon qui fit l’exprience de l’immersion complte. Et ce ne furent pas No et sa famille qui reÇurent l’immersion complte durant le dluge. Le principe de l’originel a t perdu ou n’est plus reconnu. Exactement comme le peuple choisi de Dieu ne sait pas qui il est, nous avons une situation aujourd’hui oÙ un autre peuple se fait ap-peler Isral. Il nous incombe donc, ds lors, d’identifier les principes du baptme de la Gense Ā la Rvlation. C’est la raison pour laquelle j’ai rdig une srie en six parties intitule «Shining Light of Glory». á propos, Ā une certaine poque de l’histoire du baptme, vers le deuxime sicle, le baptme fut reconnu comme tant la lumire divine des critures. Cette purification baptismale tait appele « Illumination », parce que ceux qui apprenaient la Parole de Dieu taient illumins dans leur comprhension. Ils dcrivaient l’me comme tant illumine par l’Esprit tandis qu’ils se tenaient prs des fonds baptismaux, mais sans tre immergs, r-citant des passages des critures alors que de l’eau tait verse sur leur tte. L’art Chrtien allant du premier au dixime sicle reprsente le rite comme consistant Ā se tenir debout dans l’eau tandis que de l’eau est verse Ā la main ou bien d’un bol.
La pire injustice faite Ā notre comprhension de ce que constitue le baptme est probablement la dfinition unilatrale et d’une troitesse d’esprit arbitraire d’un simple mot : «immersion ».Cela reflte non seulement une volont d’ignorance active, mais un agenda, que nous expliquerons plus loin. Aprs un examen de l’tymologie du mot « baptme » comme elle est donne par les immersionnistes – Ā savoir que la seule signification est « faire submerger » ce qui, concluent-ils, signifie « couvrir avec de l’eau » ou « immerger » – il est facilement observable, mme pour un tudiant dbutant de la Bible, que les immersionnistes prennent une grande libert dans leur argumentation. Pourrait-il se faire que nous, en tant que Chrtiens croyant dans la Bible, nous puissions tre littralement submergs, mais que l’eau ne serait que secondaire et symbolique? En recherchant une dfinition prcise de
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ce mot « submerg », ou mme « boulevers », je prendrai galement une certaine latitude afin de voir si nous ne pouvons pas faire en sorte que notre comprhension du baptme soit plus compatible avec les intentions de Dieu.
Dans leWebster Dictionary, « submerger » est dfini par : 1. retournerĀ l’envers; couvrir ou engloutir, 2. surmonteren pense ou en sensation. LaConcordance de Strongexprime galement l’ide de couvrir et de vtir pour le mot «boulevers ».Ne lisons-nous pas, en Actes 17:6, que Jason et ses frres Chrtiens provoqurent un toll chez les Juifs et leurs compagnons obscnes de la sorte la plus basse, qui les accusaient de bouleverser leur monde ? Pensez-vous que c’tait dÛ Ā une immersion complte, ou bien que Jason et ses frres voulaient pr-cher l’vangile du Royaume dans le monde pour qu’il soit un tmoin dans toutes les nations? Le contexte du « monde » est ici, bien entendu, les nations Blanches. Ne s’agit-il pas simplement de cela? Mais qu’est-ce que ce zle missionnaire al-lait engloutir, ou accomplir? Allait-il mouiller des gens ou bien leur montrer la Voie pour vaincre le monde, comme le fit Yahshua? Vaincre signifie «soumettre ou conqurir, comme moyen de succs et de victoire ». « C’est ici la victoire qui a vaincu le monde : notre foi » (I Jean 5:4).
Nous revtons-nous de justice liquide, ou bien sommes-nous revtus des vtements blancs des victorieux (Rvlation 3:5), oignant nos yeux afin que nous puissions voir (v. 18)? Voyons-nous quelque chose sous l’eau, ou bien voyons-nous avec l’Esprit Saint? Quelle ironie honteuse qu’il ne puisse pas y avoir de lumire dans la nudit de lamikvehjuive, alors que les yeux sont ferms dans les tnbres. La nudit (ou ignorance) d’Adam et d’ve fut couverte par des feuilles (ou excuses) figuratives, mais leur pch restait une transgression. Leur chute de la grce est aussi notre histoire, car nous devons vaincre tout ce qu’il y a dans le monde. Je n’abuserai pas plus de l’vidence tymologique, sauf pour dire que les mots grec baptizoetbapto, ainsi que les mots y tant lis, offrent une telle palette d’appli-cations linguistiques que, quelque soit la piste qu’un enquteur dsire suivre, il devient rapidement vident que l’insistance sur l’unique signification de « immer-sion »est une proposition perdante. En fait, ce n’est pas limit au seul concept d’immersion. Ceci devient important lorsque l’on comprend l’usage de l’eau dans l’Ancien comme dans le Nouveau Testaments.
L’ancien Isral avaient reÇu des lois sur l’hygine, pas une loi sur l’immersion. Ces lois leur imposaient d’employer des ablutions, c’est-Ā-dire un lavage du corps, simplement dans un but de bonne sant. Ne croyez-vous pas que Dieu sait parfai-tement que, pour que nous puissions vivre en commun, nous devons nous laver de faÇon Ā ne pas puer ? C’est le monde paen qui pratiquait des baptmes rituels dans le but de crer une obsession mentale oriente vers le pouvoir et la domination; c’tait une proccupation tellement lie au fanatisme que ces gens ressemblaient Ā des intoxiqus. C’est sans doute la raison pour laquelle ils ne remarquaient pas
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cette odeur de sueur charismatique. Rvlation 14:8 parle de ce comportement obsessif-compulsif dans Babylone, qui fait que toutes les nations « boivent du vin de la fureur de sa fornication ». On dit du vin lui-mme qu’il a t baptis quand on y a rajout de l’eau. Il semblerait que les Chrtiens soient victimes d’une blague cruelle : le baptme biblique a t dilu.
Dans la Septante,baptizoetbaptosignifient usuellement « tremper » ou « laver avec de l’eau ». Cette dfinition n’implique pas une immersion complte du corps dans le but de laver, mais plutÔt d’immerger une partie du corps aprs l’autre. Un autre tmoin grec extrieur aux textes massortes se trouve dans les Apocryphes, en Ju-dith 12:7, qui dclare : « Elle se baptisa (ebaptizeto) dans le camp Ā la fontaine ». Avec un minimum de sens commun, pensez-vous que Judith s’immergeait compl-tement au beau milieu du camp assyrien, dans leur unique source d’eau? Est-ce que vous iriez boire Ā cette source? Il est plus probable que cette fontaine tait un puits ou une fontaine naturelle oÙ elle pouvait aller pendant la nuit, lorsque les soldats dormaient, afin de se baptiser ou, pour le dire plus simplement, pour utiliser l’eau dans le but de se laver.
Dans le Nouveau Testament, il existe plus de 100 occurrences de diverses formes du mot « baptme », et aucune d’entre elle ne peut tre utilise pour prouver qu’il s’agit d’une immersion par de l’eau. Le mieux qu’ils puissent faire pour faire croire Ā une implication d’immersion est de prendre un passage hors-contexte, comme par exemple Actes 8:38, afin de suggrer que la personne allant Ā l’eau est affecte par la prposition « Ā » :
« Et il donna l’ordre qu’on arrtt le char, et ils descendirent tous deux Ā l’eau, et Philippe et l’eunuque; et Philippe le baptisa ».
Se pourrait-il que la personne tant baptise alla Ā l’eau et s’immergea jusqu’Ā la taille, puis que de l’eau fut verse ou asperge sur sa tte? Le mot «Ā »sert Ā montrer que d’autres mthodes, Ā part l’immersion, taient possibles. De plus, on ne peut nier que le mot greceis(Strong n1519) peut signifier « vers » aussi bien que «Ā »,ce qui nous loignerait encore plus d’une immersion complte. Ils se dirigrent juste vers l’eau plutÔt que dans l’eau.
Lorsque Pierre trouva une pice de monnaie dans la bouche d’un poisson, il lui fut command d’aller Ā (eis) la mer et de jeter un hameÇon. Il n’alla sÛrement pas s’immerger dans l’eau afin de faire une pche sous-marine. Mais supposons queeissuggre une immersion. Le problme est que cette immersion fut ralise avant mme le baptme. Si « baptme » signifie « immersion », alors ils taient djĀ immergs ;ils taient djĀ baptiss. Si « aller Ā l’eau » signifie « immersion », alors l’eunuque tait immerg avant d’tre immerg, ce qui constitue une contradiction. Les «slam dunkers» doivent admettre que «aller Ā l’eau» n’est pas quivalent Ā une immersion, ou que l’immersion n’est pas le baptme. L’acte du baptme ne fut-il pas effectu aprs qu’ils soient « alls Ā l’eau »? Il en tait forcment ainsi.