f?^ L.MAETERLINCK CONSERVv««rEVKa*MTJSÉE d»s BEAUX-ARTS ouplaisanteriesmédiévaux, recueillant parfoiscêtres de leurs populaires de Vâne celles dubarbares les relations fêtes ;; VEvêque des Innocents, ainsi que les souvenirspape des Fous et mascarades et cortèges grotesques, oîi figuraient monstres etde leurs ribauds et ribaudes avec leur roi. Les parodies bourgeoisesgéants, oubliées,tournois, que les villesflamandes subsidiaient, ne sont pasdes curieux nonet nous verrons tous ces souvenirs trouver un écho enluminures nos premiers manuscrits, maisseulement dans les de peintures comiques et satiriques peintres drôles,même dans les de nos qui formèrent une école flamande spéciale dont Bosch etJérôme Breughel le Vieux furent les maîtres incontestés. Le chapitre réservé aux mystères, moralités ou spelen van sinne, dont nous avons signalé déjà dans notre mémoire de 1903 Vinfluence considérable sur notre art national a été complété par des exemples nouveaux et judicieusement choisis. Le nombre des illustrations, qui dans la première édition de notre livre se montait à a étéporté194, à 239 la plupart de celles-ci; sont complètement inédites. Nous avons encore accru Vintérêt de ce travail en ajoutant une bibliographiey complète des ouvrages et des ma- nuscrits consultés.
f?^L.MAETERLINCK CONSERVv««rEVKa*MTJSÉE d»s BEAUX-ARTS<JeSANO LEGENRE SATIRIQUE ^ DANS LA PEINTURE FLAMANDE JOEUXiÈME ÉDixiON AUGMENTÉE,REVUEéc CORRIGÉE BRUXELLES LIBRAIRI E NATIONALE a'ART<&.d'HÎSTOiRE G.VAN OEST&C?LE GENRE SATIRIQUE DANS LA PEINTURE FLAMANDE'5M JAf-! I c 1968