Les chiens de troupeau
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Description

Infatigables et entièrement voués à leur maître : "Terre de Touraine" du 28 janvier à mis en avant les qualités des chiens de protection du troupeau. Ce nouveau compagnon du troupeau et de l’éleveur, encore peu utilisé en Touraine doit composer avec d’autres collègues, chargés eux d’aider l’éleveur à manoeuvrer les bêtes, les border-collies. Le border-collie est le chien le plus utilisé en élevage pour conduire un troupeau, qu'il soit composé d'ovins, de bovins ou même de chèvres, de porcs ou de volailles. Intelligent, rapide et obéissant, il est le fruit d'une longue sélection effectuée par les Britanniques à partir de son berceau de race, le Pays de Galles, sur les aptitudes de la race au travail. Ses instincts de prédateur ont été « détournés » grâce au dressage, pour pouvoir être utilisés lors d'opérations de rassemblement du troupeau, de contention, de chargement en bétaillère... Utilisés depuis les années 70 au Royaume-Uni, le border représente, aujourd'hui, 80 % des chiens des fermes françaises (environ 200 000 chiens).

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Publié le 10 août 2011
Nombre de lectures 192
Langue Français

Extrait

Chiens de troupeau
Infatigables et entièrement voués à leur maître
Terre de Touraine du 28 janvier à mis en avant les qualités des chiens de protection du
troupeau. Ce nouveau compagnon du troupeau et de l’éleveur, encore peu utilisé en
Touraine doit composer avec d’autres collègues, chargés eux d’aider l’éleveur à
manoeuvrer les bêtes, les border-collies.
Le border-collie est le chien le plus utilisé en élevage pour conduire un troupeau, qu'il soit
composé d'ovins, de bovins ou même de chèvres, de porcs ou de volailles. Intelligent, rapide
et obéissant, il est le fruit d'une longue sélection effectuée par les Britanniques à partir de son
berceau de race, le Pays de Galles, sur les aptitudes de la race au travail. Ses instincts de
prédateur ont été « détournés » grâce au dressage, pour pouvoir être utilisés lors d'opérations
de rassemblement du troupeau, de contention, de chargement en bétaillère... Utilisés depuis
les années 70 au Royaume-Uni, le border représente, aujourd'hui, 80 % des chiens des fermes
françaises (environ 200 000 chiens).
Miser sur la relation privilégiée qu'entretient le maître avec son chien est primordial pour bien
réussir le dressage d'un border collie. «
II est très à l'écoute et cherche toujours à faire plaisir
à son maître, c'est sa principale qualité. En général il n'est pas nécessaire de le pousser pour
qu'il travaille
», explique Dominique Cornuet, éleveur ovin à Perrusson. Selon le président de
l'Association française des border collies (AFBC), club de race affilié à la Société centrale
canine tout le monde peut apprendre à se servir d'un chien de conduite comme le border collie
qui, du fait de ses aptitudes naturelles, est la race la plus facile à dresser. Des formations de
quelques jours permettent d'apprendre les techniques. Le dressage commence par des
exercices d'éducation de base entre l'éleveur et son chiot, auxquels on ajoute ensuite un
nouvel élément, le troupeau. Le chien s'intéresse alors aux mouvements du bétail,
s'immobilise en fixant les animaux du regard et cherche à les encercler. «
La meilleure preuve
de l'envie du chien de travailler pour son maître est son positionnement à l'opposé du
troupeau. De très bons chiens ont été réformés car leurs propriétaires voulaient s'en servir
comme chiens de pied
continuant à pousser leurs animaux, surtout les vaches, et leur
reprochant donc d'aller à la tête
», note Antoine Brimboeuf, vice-président de l'AFBC.
Ça ne coule pas toujours de source
Lors des formations les explications se font sur le terrain de façon individuelle puis à
l'attention de tout le groupe. Les éleveurs y apprennent la psychologie canine car tout ne coule
pas de source. Avant de venir en formation, certains chiens ont pris de mauvaises habitudes.
Dès le départ la régularité s’impose. En arrivant sur la ferme le chien doit être sortir et nourri
par son éleveur. Il est préférable qu’il ait un coin à lui type chenil et qu’en dehors des
moments de travail, il ne divague pas. Une fois acquises les règles de la maison, l’éleveur
pourra un peu desserrer la bride et accorder un peu de liberté sous l’oeil du maître. Au départ,
Pour certains chiens devant s’habituer au mouvement circulaire autour du troupeau, la
construction d’un ring peut être utile. Parfois certains chiens, souvent laisser trop libres
présentent un profil retord et les exercices « midi-six heures » tournent
à la confusion. Le
border collie finit par ne plus écouter, s'éloigne de son maître, tourne le dos aux génisses et va
se cacher derrière les voitures ou dans le bois. Et pourtant, c'est bel et bien un border collie.
«
Pourtant il y a 99 % de chance qu'il ait cet instinct de chien de troupeau mais laissé trop
libre il n’accepte pas les contraintes.
» commente un éleveur.
Rien n’est perdu il faut
reprendre les choses en main. «
L'enfermer quelques jours, puis lui accorder de la liberté au
compte-gouttes et le sortir petit à petit avec une laisse, pour travailler le relationnel et
l'obéissance, pour lui faire accepter l’autorité car pour l'instant, dans sa tête, ce chien est
indépendant.
»
Une fois dressé et bien soigné, le chien peut rendre service à l'éleveur pendant une dizaine
d'années, c'est donc un investissement sur le long terme. Il faut juste accepter d'y consacrer un
peu de temps au départ et veiller à choisir un animal issu d'une bonne lignée. Il faut compter
entre 400 et 500 € pour un chiot border collie avec papiers.
Ce genre de situation est fréquent. Il faut d'abord régler l'environnement du chien en abordant
les choses simplement en tenant compte de la psychologie canine. Et après se pencher sur la
question du travail sur le troupeau.
Les conseils pratiques de l’ACTIL
(extrait du site de l’association)
L’éducation d’un jeune chiot commence le jour de l’acquisition de celui-ci, dès que vous
parlez ou que vous agissez sur un chiot vous commencez son éducation, votre timbre de voix
et vos actes peuvent être bons comme néfastes.
Lors de l’arrivée du chiot, le mettre à l’endroit qui lui est destiné (chenil) , il se peut qu’il
pleure dans ce cas ignorer ses gémissements, le voir et le rassurer ne ferait que renforcer cette
attitude.
Par contre, le sortir autant que vous le pouvez, dans une relation exclusive avec vous-même,
(afin que le chiot se fixe sur vous), promenades, jeux, caresses afin de créer un relationnel
entre lui et vous. Consacrer lui du temps pas forcément de longues périodes, mais plusieurs
promenades de quelques minutes le plus souvent possible fractionnées dans la journée.
Les jours ou vous n’avez pas le temps, ne le laissez surtout pas libre sur l’exploitation, il sera
plus en sécurité dans son chenil (comme vous l’avez laissé vous le retrouverez intact
physiquement et psychiquement).
LA LAISSE
Lors de ces promenades, munissez- le d’une laisse afin de lui apprendre la marche en laisse,
plus le chiot est jeune plus rapidement se fera son adaptation a cet outil. S’il tire, s’il se débat,
laissez-le faire ne pas émettre de sons. Une fois qu’il se pose et se résigne, lui parler
gentiment, le caresser puis reculez-vous face à lui en vous baissant et le nommer gentiment,
lorsqu’il arrive près de vous. le caresser et lâcher la laisse, partez, appelez le , puis reprenez la
laisse, effectuer cet exercice lors de vos sorties. Au fil des jours la laisse ne lui posera plus de
problème il sera familiarisé avec, de plus cette laisse sera associé aux promenades avec vous.
LE RAPPEL
Le rappel consiste a ce que le chien revienne près de soi lorsque l’on l’appelle , on doit
s’appliquer a ce que le rappel soit complet, (un rappel complet est un chiot qui revient jusqu'à
soi) c’est l’ordre qui permet d’évaluer le niveau de relation que vous entretenez avec votre
chiot.
Dans l’esprit du chiot le rappel doit être associé à des actions positives. Caresses, jeux,
nourriture, promenades, etc . Il faut veiller à ne jamais sanctionner un chiot après l’avoir
appelé même s’il ne vient pas tout de suite.
Afin d’obtenir un bon rappel, il faut éviter au début de l’acquisition de cet ordre de le rappeler
uniquement pour le mettre au box ou dans la voiture s’il n’y est pas très à l’aise.
Vous allez mettre le plus de chance de votre côté et travailler le rappel, dans un endroit neutre
(prairies, chemins) lors de la promenades vous allez le laisser vaquer, puis lorsqu’il a pris un
peu de distance vous allez l’interpeller par son nom suivit du mot VIENS, il faut que
l’intonation soit convaincante, sur un ton posé et calme, et non pas prendre une voix haut
perché , lorsqu’il revient vous allez le féliciter par la parole « c’est bien » et le caresser.
Si vous êtes confronté au chiot qui ignore vos appels, il suffit de partir dans la direction
inverse en courant ce qui provoque pour lui un sentiment d’abandon il va vous rejoindre et
c’est là qu’il va vous falloir le caresser et le féliciter sans réserve.
LE RAPPEL NE DOIT JAMAIS ETRE UNE SANCTION DANS L ESPRIT DU CHIOT.
LE STOP
: le stop consiste à faire s’arrêter un chien a l’endroit précis ou on lui
demande.
« Pas de stop pas de chien ! »
Lorsque votre chiot marche correctement en laisse, et a un bon rappel vous pouvez passer a
l’apprentissage du stop.
Au début, vous allez utiliser la laisse. Votre chiot marche à côté, vous vous arrêtez et vous
dites STOP, avec une petite action sur la laisse, le chiot associe l’action de s’arrêter avec le
mot STOP, vous allez renouveler ces stop très souvent durant les promenades.
Puis une fois que le chiot a compris le stop en laisse, vous allez procéder au stop en liberté, le
chiot est libre, laissez-le partir, baissez-vous en l’appelant lorsqu’il revient relevez-vous
rapidement en levant vos mains, mains ouvertes et en disant STOP
Le gestuel doit être conforme a la demande. Baisser le ton si vous demandez plusieurs fois de
suite le stop ceci afin de le rassurer, quand il est arrêté allez vers lui sans qu’il bouge, caresser
le et laissez le repartir.
Dans l’esprit du chiot , le stop ne doit pas être considéré comme un interdit,( pour l’interdit il
y a le NON), le stop doit être associé a un arrêt , suivit d’une autre action comme une droite ,
une gauche , en haut , en bas, derrière etc.
Il est important de dissocié le rappel et le stop, il s’agit de deux ordres complètement distincts
Nous parlerons du assis, couché, pas bouger
Notions d’interdits d’autorisé
LES ORDRES AU SIFFLET
cliquez ici
http://www.bordercollie-fr.net/autravail/sifflet.php
L'"Assis" "couché" "pas bouger"
Le "assis" chez le Border n'est pas vraiment une position de travail, c'est plutôt une position
d'attente dans la vie de tous les jours : par exemple, vous faites assoir votre chien avant de
l'attacher ou de le détacher, avant de monter en voiture, d'ouvrir une porte de la bergerie ou
avant de le faire manger.
Pour obtenir le "assis", prenez votre chiot en laisse. Le chiot placé à côté de vous, levez-lui la
tête en la basculant vers l'arrière, en même temps, dites "assis". Si besoin est, faites un point
de compression avec votre main libre sur ses hanches. Maintenez la position assis pendant
plusieurs secondes en répétant "assis".
Félicitez-le avec un "c'est bien" associé avec une caresse sur les flancs.
Avancez d'un pas en disant "debout" pour le remettre sur ses 4 pattes. On félicite.
Recommencez régulièrement le "assis" et le "debout», jusqu’à ce que cela devienne instantané
quand vous lui demandez.
Le "couché" est la position qui permet de voir si votre chien a suffisamment de soumission
pour accepter cet ordre (il n'existe aucune race de chien capable d'exécuter et ordre)
Une fois le "assis" obtenu, plusieurs moyens sont ^possibles pour obtenir le "couché", cela
dépend du caractère de votre chien.
Toujours le chien en laisse, vous vous mettez face à lui quand il est assis, prenez les pattes
avant en les allongeant vers vous, tout en demandant le "couché". L'intonation de la voix doit
être ferme et rassurante.
Pour les chiens réfractaires, vous pouvez appuyer assez fermement sur les épaules du chien
pour obtenir le "couché". Quand il est couché, relâchez puis appuyez sur les épaules en
synchronisant l'ordre "couché" avec l'action de la main.
Pour ceux qui ont mal au dos, chiot en laisse en position de "assis", mettre le pied sur la laisse
quand il est couché. S'il se relève recommencez gentiment mais fermement.
Dans tous les cas de figure, s'il se met sur le dos ou sur le côte, relevez vous et ignore z-le et
quand il prend une position normale (position du sphinx et non de la vache) caressez-le et
dites-lui "c'est bien".
Le "pas bouger" ou "reste" confirme la position.
En réalité, on demande au chien de rester dans une position un certain t temps et dans ce cas,
il doit attendre l'ordre pour bouger.
Si votre jeune chien bouge au bout de quelques secondes, répétez l'ordre "assis" ou "couché
pas bouger", remettez-le à sa place initiale ou utilisez le "non".
La position du corps et la gestuelle est très importante, restez droit face au chien avec avec les
mains ouvertes, orientées vers lui. Quand il vous a bien obéit, libérez le avec un "allez".
L'Interdit et l'autorisé ..
La notion d'interdit et d'autorisé ou du bien et du mal est quelque chose d'assez subjective.
C'est vous qui décidez de ce qui est bien ou mal, mais restez toujours logique dans vos
demandes.
L'interdit est sanctionné par un "non" énergique et indiscutable.
Par exemple, quand votre jeune chien vient vous sauter dessus, qu'il monte sur les sièges de la
voiture, déchiquette vos chaussures ou autre, le "non" doit intervenir à l'instant même ou
l'action va avoir lieu.
Le "non" est valable pour tout interdit, pas la peine comme je l’entends souvent, d'avoir
différents mots comme "faut pas sauter", "faut pas mordre" faut pas faire ci, pas faire ça. Un
"non" bien sonné est efficace pout tout.
A l'inverse, quand votre chien ne fait pas ce qui est interdit, le mot "'c’est bien «toujours avec
l'intonation qui va avec, va le rassurer et le conforter dans sa formation de chien de travail.
La prochaine fois, nous aborderons la mise au troupeau.
A bientôt.
Jean-Michel JOLLY
LA MISE AU TROUPEAU
- Mettre un chiot border collie au troupeau c’est mettre le chiot en présence d’animaux pour
que celui-ci se déclare et déclenche un comportement de prédateur face à ceux-ci (brebis,
génisses, volailles) qu’il aura plus tard à manipuler.
- Si le moment, ou un jeune chien se déclare est un moment magique et toujours émouvant,
cet instant doit être bien préparé.
- L’idéal pour un utilisateur et même pour un dresseur est de mettre des animaux dans un
cercle (un filet de 50 mètres fera l’affaire), par exemple un groupe de 10, 15 agnelles assez
mobile, car c’est le mouvement qui va motiver votre chien à essayer d’encercler les agnelles,
de se fixer au point de fuite et de s’immobiliser quand les agnelles ne bougent plus.
- Pour ce faire, l’idéal est de rentrer votre lot d’agnelles avec un chien dressé si vous en avez
déjà un, de venir avec votre chiot en laisse à quelques mètre du filet, d’encourager votre
compagnon à regarder les brebis. Placer le au stop, mettez-vous entre le filet et lui et détachez
le
- En principe la réaction ne se fait pas attendre votre jeune chiot va partir dans un sens ou dans
l’autre, à ce moment vous rentrez dans le cercle pour faire bouger, les agnelles en
encourageant, votre chien a tourné autour du cercle par rapport au animaux.
- Vous devez faire attention de ne pas courir devant votre chien mais plutôt de le pousser dans
un sens et dans l’autre lui donnant l’impression que c’est lui qui contrôle les animaux.
Arrêtez-vous à l’opposé de lui s’il s’’arrête naturellement face aux animaux, LA est le
moment de lui demander un stop s’il s’est positionné seul a midi. Afin d’encourager votre
chiot des « Allez, allez » suffisent avec quelques claquement des mains si besoin tout en
poussant les agnelles. Il faut encourager votre chien et lui donner l’impression qu’il s’exécute
bien, il est toutefois important de savoir doser l’encouragement afin de ne pas faire monter le
chiot en excitation.
- Si votre chiot tourne sans que vous puissiez l’arrêter, laissez le faire au bout de quelques
tours, placez-vous entre les animaux et lui, afin de le bloquer, levez les mains face à lui en le
stoppant calmement, pour cela, baisser le ton pour le rassurer une fois que vous le tenez par le
collier , le caresser puis, renvoyer le autour du cercle, il va a nouveau s’exprimer, sortir vous-
même du cercle, l’appeler pour qu’il revienne au pieds, en vous baissant , le caresser le
remettre en laisse.
- Ne pas omettre de finir sur des actions positives, de faire des séances courtes (environ 10
minutes) votre chiot doit avoir l’envie de revenir s’exprimer sur le troupeau.
- Le piège avec un chiot déclaré, alors qu’auparavant il n’avait d’intérêt pour les animaux et
qu’il risque de s’intéresser tout seul sur l’exploitation aux animaux, il est important de savoir
protéger son chiot et pour cela de le mettre au chenil entre les séances de travail , sans omettre
les promenades quotidiennes en dehors du travail.
- Il n’y a pas forcément d’âge idéal pour que le chien se déclare, personnellement je mets mes
chiots très jeune au cercle (3 mois) afin de pouvoir juger de leurs réactions, un chiot que se
déclare jeune, si vous ne faites pas d’erreur restera passionné, par contre pour l’entraîner en
liberté il doit avoir une bonne éducation avoir suffisamment de soumission et surtout courir
plus vite que les animaux sur lequel vous le faites travailler. (votre border doit être encercleur,
rabatteur) et avoir suffisamment de mental pour supporter le regard des brebis et leur faire
face.
- Si votre jeune border ne regarde pas les brebis au cercle il n’y a rien de dramatique, ce n’est
pas forcément les chiots les plus précoces les meilleurs a trois ans, vous devez toutefois le
mettre régulièrement au cercle avec des animaux mobiles, changer de lieu, d’espèces (canards,
oies) mais toujours rester calme et motivant.
- Un moyen pour éveiller l’envie peut être d’attacher votre chien a un piquet de clôture et de
faire travailler un autre chien devant lui, souvent l’envie de participer à la « chasse » fait que
votre chiot peut se déclarer d’un coup d’un instant a l’autre, l’on peut observer certains jeunes
chiens se déclarer progressivement d’une leçon après l’autre .
- Si vous n’avez pas de brebis, ni de palmipèdes, des génisses, habituées à être ensemble (5à7)
peuvent faire l’affaire, les mettre au cercle comme les brebis (filet plus fil à l’intérieur)
- Le principe reste toujours le même que ce soit avec des ovins, des bovins, des palmipèdes ou
autres…..
- Il est important de différencié la partie éducation, la partie dressage, et la partie utilisation.
- Eduquer et dresser un chiot c’est faire en sorte que ses aptitudes naturelles que vous allez
chercher à développer au maximum deviennent utilisables. Mais pour ce faire il faut savoir
laisser votre chien s’exprimer, apprendre à vous placer et déplacer et avoir la bonne gestuelle,
la bonne intonation de voix à savoir anticiper et surtout à avoir une bonne « lecture » de votre
chien.
- Ne pas oublier de se poser les bonnes questions
- Suis-je bien placé ?
- Mes ordres sont-il clairs et appropriés ?
- En résumé, il ne sert à rien de vouloir aller trop vite, surtout il faut que votre chiot prenne du
plaisir et que vous le laissiez s’exprimer tout en apportant un encadrement sérieux en sachant
doser entre initiative et obéissance.
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