:iC^^.:^^^ ' '7 ) 1^ ^/^ ^^\^^k: -^p^ - - .*v v\ 7r. Ni*ise et trouble... Monje pleurais, pauvre papa, ne devais leje plus revoir, jamais, jamais... ITT Et le lendemain huitJe dormis mal. matin, heures, en chaise de Versailles.nous poste pourpartions duvois encore la la filleJe grosse Marie, jardinier, en haut dutout en la famille runielarmes; perron; ma-ma la caissemalle; joujoux apporte parpetite cerf fait mon meun cousin,man; -volant, par qu'il s'branlait. Je voisau moment o la voituredonna devenaittoute la maison carre petite,grande qui mesure nous noustoute loignions.petite... que son fou-tenue monEt debout, par pre, j'agitais du cou m'endor-lard bleu lui avais refr ; puis jeque je devant la lourde duet ne m'veillai portemis, que decouvent Grand-Champs. orienter monJe frottai mes cherchantyeux, voiture et curieusement.Je sautai de regardaiesprit. tait et l'herbeLe petit, rond, poussait par-pav d'unetout. Un une surmonte croix,mur, grande porte ne rien.et rien derrire... on voyaitpuis, A une maison.A la caserne Satory.gauche, droite, un cho .Pasunbruit larsonnance d'un ; ; pas pas pas VIEMA DOUBLE22 c'est l-dedans vais entrer?Oh! quemaman, je veux retourner chez Mme Fressard!Oh! non, je haussa les en me mon-Maman lgrement paules, mon me fairetrant pre, pour comprendre qu'elle n'y rien.tait pour vers lui. Il sonnait. IlJe me me la main;jetai prit il m'entrana doucement.la Mamanet, s'ouvrant,porte tante Rosine suivirent.
:iC^^.:^^^ ' '7 ) 1^ ^/^ ^^\^^k: -^p^ - - .*v v\ 7r. Ni*<''^- % ^ w LIBRARY OF WELLESLEY COLLEGE m^/--v s***"VIEMA DOUBLE 9P MMOIRES DE SARAH BERNHARDT PARIS Librairie CHARPENTIER et FASQUELLE EUGNE DITEURFASQUELLE, fe RUE DE IIII, GRENELLE^ 1907 droits rservsTousMMOIRES DE SARAH BERNHARDTIl a t cettir de ouv7Yige sur dunumrotsCinquante exemplaires papier Japon.