Rencontres HAS 2007 Psychotropes chez le sujet âgé atteint de maladie d'Alzheimer quelle place dans la prise en charge des troubles aigus du comportement

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Mis en ligne le 11 déc. 2007 Table ronde n°21 - Thème Amélioration des pratiques - 18 décembre 2007 La très grande majorité des sujets atteints de maladie d'Alzheimer ont, au cours de l'évolution de leur maladie, des troubles du comportement, comme une apathie, mais aussi des troubles dits "productifs" comme une agitation , une agressivité, des cris, une déambulation. Ces derniers troubles compliquent la prise en charge des malades, tant à domicile vis à vis des aidants familiaux qu'en EHPAD. Ces troubles surviennent rarement de façon inopinée. De nombreux facteurs peuvent être à l'origine de la survenue de ces troubles. Seule une démarche rigoureuse visant à identifier le(ou les) facteur(s) permet ensuite une prise en charge adéquate. Un cas clinique, abordé de façon interactive, permettra d'illustrer cette démarche.Consultez la synthèse de la réunion Modérateur : B. Lavallard, Commission d’élaboration du Plan Alzheimer, Ministère de la Santé, de la Jeunesse et des Sports > pas de présentation réaliséeIntervenants : S. Legrain, service évaluation des pratiques, HAS > pas de présentation réaliséeRetour au sommaire des Rencontres HAS 2007 La très grande majorité des sujets atteints de maladie d'Alzheimer ont, au cours de l'évolution de leur maladie, des troubles du comportement, comme une apathie, mais aussi des troubles dits "productifs" comme une agitation , une agressivité, des cris, une déambulation. Ces derniers troubles compliquent la prise en charge des malades, tant à domicile vis à vis des aidants familiaux qu'en EHPAD. Ces troubles surviennent rarement de façon inopinée. De nombreux facteurs peuvent être à l'origine de la survenue de ces troubles. Seule une démarche rigoureuse visant à identifier le(ou les) facteur(s) permet ensuite une prise en charge adéquate. Un cas clinique, abordé de façon interactive, permettra d'illustrer cette démarche.Consultez la synthèse de la réunion Modérateur : B. Lavallard, Commission d’élaboration du Plan Alzheimer, Ministère de la Santé, de la Jeunesse et des Sports > pas de présentation réaliséeIntervenants : S. Legrain, service évaluation des pratiques, HAS > pas de présentation réaliséeRetour au sommaire des Rencontres HAS 2007 Mis en ligne le 11 déc. 2007
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pas de présentation réaliséeIntervenants : S. Legrain, service évaluation des pratiques, HAS > pas de présentation réaliséeRetour au sommaire des Rencontres HAS 2007 La très grande majorité des sujets atteints de maladie d'Alzheimer ont, au cours de l'évolution de leur maladie, des troubles du comportement, comme une apathie, mais aussi des troubles dits "productifs" comme une agitation , une agressivité, des cris, une déambulation. Ces derniers troubles compliquent la prise en charge des malades, tant à domicile vis à vis des aidants familiaux qu'en EHPAD. Ces troubles surviennent rarement de façon inopinée. De nombreux facteurs peuvent être à l'origine de la survenue de ces troubles. Seule une démarche rigoureuse visant à identifier le(ou les) facteur(s) permet ensuite une prise en charge adéquate. Un cas clinique, abordé de façon interactive, permettra d'illustrer cette démarche.Consultez la synthèse de la réunion Modérateur : B. Lavallard, Commission d’élaboration du Plan Alzheimer, Ministère de la Santé, de la Jeunesse et des Sports > pas de présentation réaliséeIntervenants : S. Legrain, service évaluation des pratiques, HAS > pas de présentation réaliséeRetour au sommaire des Rencontres HAS 2007 Mis en ligne le 11 déc. 2007" />
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Table ronde 21  Psychotropes chez le sujet âgé atteint de la maladie d Alzheimer:quelle place dans la prise en charge des troubles aigus du comportement?
.I Traitement de deux cas cliniques
Sylvie LEGRAIN, service évaluation des pratiques, HAS
Le groupe de travail de la HAS est parti du constat que les psychotropes utilisés pour les patients atteints des troubles du comportement étaient trop largement utilisés, ce dautant quils manquaient defficacité et quils avaient des effets délétères.
Dès lors, comment diminuer la production des troubles du comportement ?
.1 Premier cas
Je vous propose détudier le cas clinique dune patiente de 85 ans, qui, d'après son médecin, ne peut plus rester chez elle. Elle bénéficie dune aide ménagère trois fois par semaine. Dès son arrivée dans le service de gériatrie aiguë, elle demande à rentrer chez elle. Comment lui faire accepter de rester et contenir son angoisse ?
Lapproche de base est la suivante : si nous ne souhaitons pas prescrire des psychotropes, il convient dengager une prévention des troubles du comportement et une gestion non-médicamenteuse.
.2 Second cas
Une femme est admise en gériatrie aiguë à Bichat pour une démence sévère, en 2000. En 2007, on réalise rétrospectivement quelle souffre, depuis 2004, de troubles du comportement et, tous les matins, frappe les soignants avec sa canne (mais pas les médecins). Différents traitements psychotropes, neuroleptiques puis benzodiazépines, lui sont prescrits. Ils demeurent tous inefficaces.
Comment gérer cette patiente ?
Les participants engagent le travail en ateliers.
La Villette, le 18 décembre 2007
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