Rencontres HAS 2010 - L impact clinique à l origine des actions d amélioration de la qualité  - Rencontres10 Les moments forts TR 5
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Rencontres HAS 2010 - L'impact clinique à l'origine des actions d'amélioration de la qualité - Rencontres10 Les moments forts TR 5

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Documents Rencontres10_diaporamaTR5 (2,21 Mo) Rencontres10_Les moments forts TR 5 (66,74 Ko) Mis en ligne le 16 déc. 2010 Table ronde 5 du 2 décembre 2010 de 11h15 à 12h45 Les actions d’amélioration de la qualité ont privilégié ces vingt dernières années une approche par structures et procédures, les résultats cliniques – outcomes des anglo-saxons – étant peu évalués. Les évaluations récentes de l’impact clinique des programmes qualité ont été décevantes, sans commune mesure entre les politiques et efforts engagés et les résultats concrets pour les patients. Aussi, aujourd’hui une approche nouvelle voit le jour : partir du résultat clinique pour définir les procédures qualité, étapes clés et indicateurs, en combinant les expertises des équipes médicales, des qualiticiens et des patients. Le résultat clinique pour le malade ne peut s'envisager sur une unique activité professionnelle ou un secteur mais sur l’ensemble d’un parcours de soin intégrant ville, hôpital, et soins de suite. L’impact clinique d’une prise en charge optimale et les procédures d’évaluation et d’amélioration en découlant doivent être identifiés en intégrant tous les acteurs de soins et les patients. Cette session est dédiée à l’impact clinique, finalité et source des politiques de qualité et sécurité des soins des années 2010 et suivantes. Ou comment revisiter la fameuse roue de Deming au milieu du cercle à partir des résultats... cliniques – de PDCA à CAPD ? Consulter le texte des moments forts et le diaporama de cette session en bas de page Modérateur : Laurent DEGOS – Président du Collège, Haute Autorité de Santé Intervenants : Pierre DE HAAS – Médecin généraliste, Maison de santé du Pont d’Ain Jean-Louis DUCASSE – Chef du pôle médecine d’urgence, CHU Purpan, Toulouse Pierre-Jean LANCRY – Directeur général, ARS de Basse Normandie Christian SAOUT – Administrateur et Président d'Honneur, AIDES – Président, Collectif Interassociatif sur la Santé François SCHIELE – Chef du service de cardiologie, CHU Jean Minjoz, Besançon Véronique TRILLET-LENOIR – Présidente, Conseil national de cancérologie Mis en ligne le 16 déc. 2010

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Langue Français

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  Table ronde 5 – Les moments forts  L’impact clinique à l’origine des actions d’amélioration de la qualité?   Laurent DEGOS - Modérateur, Président du Collège, Haute Autorité de Santé  Pourquoi cette évolution du processus de parcours de soins vers l’impact clinique ?  Pourquoi et pour qui améliore-t-on le soin, c'est-à-dire la qualité des soins ? C’est pour le patient ! Il faut se préoccuper de l’amélioration de son état clinique. Il est essentiel d’évaluer la qualité de nos moyens et de nos « outils » dans cet objectif centré sur le patient. Á quoi servirait une telle procédure sans aucun lien avec la clinique ? C’est grâce à l’évaluation de l’impact clinique que l’on peut savoir si l’on a amélioré la mortalité, la morbidité, le handicap du patient et, même, augmenté sa satisfaction et répondu à ses préférences. Nous pouvons alors remonter le processus et rechercher les indicateurs en relation avec l’impact clinique ; c’est pourquoi je les appelle «indicateurs inverses».  Que retenez-vous des questions et du débat avec la salle ?  Que le parcours est bien différent d’un endroit à un autre en France, du fait même de la régionalisation. C’est pourquoi le parcours de soin du patient doit être considéré selon son contexte, les processus variant selon les endroits où le patient est pris en charge. L’efficience, c'est-à-dire le parcours de soin idéal à moindre coût, n’est pas forcément identique partout, il faudra contextualiser ce « chemin de soin du patient », du premier signe clinique à la fin de la prise en charge. Aujourd’hui, c’est bien au niveau régional que l’on peut trouver l’optimisation médicale et financière -qui n’est pas identique sur l’ensemble du territoire. C’est au sein de la région que l’on peut allier la médecine de ville, l’hôpital, les différents professionnels de santé, l’aspect social et financier. C’est donc bien à cette échelle que l’on peut optimiser le parcours de soin.   
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