'àS X.# .o\ C ^ '^ jT^c*-; •"\i^l \/ v^ ^^ - V-. -^^NV.^ ^z^\ 1'^- ^.>J> _ i ^/^> POETES FRANÇAIS. II — FlKMIN-niDOT C'« RUF. JACOB, 56.PARIS. 'TYPOr.RArHIF. DF. F.T , PETITS POËTES FRANÇAIS, DEPUIS MALHERBE JUSQU'A NOS JOURS, AVEC DES NOTICES BIOGRAPHIQUES ET LITTERAIRES SLR CHACUN D EUX PAR M. PROSPER POITEVIN TOME SECOND. PARIS, CHEZ FIRMIN-DIDOT ET C'% LIBRAIRES, IMPRIMEURS DE l'iNSTITUT DE FRANCE, RUE JACOB, 56. M DCGC LXXX. 3S- i(>( o / ,, ,, , ,, , , , , ,,, ,, , DUCIS. Je veux, le front ouvert, de laÉFÏÏTIIES, feinte ennemi, Voir briller mon bonheur dans les yeux d'un anu. D'un ami ! ce nom seul me charme et me rassure C'est avec mon ami que ma raison s'épure.ÉPITRE A I. ABOTIE Que je cherche la paix , des conseils , un appui à la séance publique de l'AcadémieLue le lundi i3 février 1785, Je me soutiens, m'éclaire , et me calme avec lui. le comle de Guibert est venufrançaise, le jour où M. y Dans des pièges trompeurs si ma vertu sommeille séance à la place de M. Thomas.prendre J'embrasse, en le suivant, sa vertu qui m'éveille. Dans le champ varié de nos doux entretiens Son esprit est à moi , ses trésors sont les miens. amitié je te chante en mes vers.Noble et tendre , Je sens dans mon ardeur, par les siennes pressées poids de tant de maux semés dans l'univers,Du Naître accourir , en foule , et jaillir mes pensées. Par tes soins consolans c'est toi qui nous soulages.
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