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Langue | Français |
Poids de l'ouvrage | 30 Mo |
Extrait
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2. Pbie.
PURCHASED FROI
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-fN-^ )m-^PRECIS
D'ANATOMIE
PATHOLOGIQUE
Par g. ANDRAL,
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PRC^ESSEUR A LA FACCLTE DE MEDECINE DE PARIS,
Jlfiiibre de rAcacIéiilio de du Conseil de SaliibrUéMédccîiie,royale
du Bureau Central des , elc.hôpitaux
-TOME SECOND. IP Partie.
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sG'flêS®*»—
PARIS,
CHEZ GABON, LIBRAIRE-ÉDITEUR,
Rue de l'Ecole-de-Médecine n°, lo;
MONTPELLIER, MÊME MAISO.\;
au de Librairie médicaleBRUXELLES, Dépôt française*
IÔ29.â.-ptt'-e,,
AVIS AU RELlEt'R.
Le second volume étant divisé en deux substituez cette demi-parties,
aux et de la feuille dudilfeuUh 4'>9, 4^0) 46» , 462, 4^4pages 4^5 29
Volume.
titrePrenez te dans la feuille du tomefaux 3; premier.PRÉCIS
DANATOMIE PATHOLOGIQUE.
APPAREIL RESPIRATOIRE.
surface d'uoe étendue lros-consid«rableUne que
etdes vaisseaux des et^nerfs,sanguinsparcourent
avec l'airextérieurse trouve en contact ^perpétuelqui
detelle est la généraledisposition l'appareil respira-
le éliminer dutoire. Modifier l'air,sang par sang
tel lecertains en absorber estd'autres,principes,
but de cet
appareil.
cxbale et absorbe dans touteL'appareil respiratoire
son au contraire l'air le neétendue; , qui parcourt
commence à réellement sur le là où
agir sang que
à des exister une grande multiplicafîon
De là dans dis-surfaces. cet deux, ,appareil parties
sous le de :l'actiontinctes, l'une,,rapport respiratrice
sert seulement à conduire l'air sans le modifierqui
d'une manière notable est de canaux ,
, composée
mais nombreux l'autre dans
, ; ,larges peu [}) laquelle.
dans ces canaux trouve en ,Toulcfuis, mêmes, on certain^(i) poinjs
et ou moins suivant les des deiamcs quiplus marquées sujcls, espèces
vasculaircs'c4évent de leur et sur se u;i réseausurface, lesquelles répand
^^'•l^Axn*'CCS lames sont aux cloisjnsUtislin; q>iianalogues incjiiiplites
^9.l'i'.Écxs46o
le l'iiir se aiodifieiit n'eslniiiUîeJIemr^nl ,saiigot que
la continiialion de la seulenient les conduits;premiL-re
deviennent ety beaucoup plus pelits beaucoup plus
et chacun d'eux se termine un ren-?nombreux, par
flement en constitue la vésiculecul-de-rsac, qui pul-
monaire.
Les vésicules et les conduitspulmonaires petits
dont elles sont la terminaison réunis du cel-tissu, par
lulaire dans les vaisseaux nerfset leslequel rampent
àse distribuent ces voilà ce cons-vésicules,qui qui
titue le parenchyme pulmonaire.
La viens êtreque jedisposition d'indiquer peut
dedémontrée manières :plusieurs
du mercure1°. En dans les bronches,poussant
a transformé le en unIleisseissen poumon assemblage
de vésicules dont chacune était distendue oar un iirlo-
bule mercuriel et ne les
, qui communiquaient poiîit
«nés avec les autres.
2°. En examin?nt au soleil un contientpoumon qui
observe à sa surface une innombrablede onpeu sang,
de vésicules d'air,très-petites reuiplies quequantité
du tissu cellulaire.
sépare
sur des l'on5^ Si, poumons exsangues, pousse
sel'air vers leur bord on voitdoucement tranchant,
latéra-dessiner de conduits d'air,
pelits pleins qui,
une série delement et à leur extrémité , présentent
semblables les uns aux ne com-renftemens autres,
se deensemble,point qui reproduisentmuniquant
toutes les foisla mcMue qu'onfaçon répète l'expé-
vêsiciileiisc elicz les le-la surface interne de la jioch«; qui girnoiiillcstlç
Ces latiii.'ï ne di iv<Mit-.-ll(s dans lesle lîieacî.ei,poumon. j'as déjàpréseiile
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