â^> . Au mois d'octobre, il constate lesque billets avaient baissé de moitié et qu'on en trouvait, pour ».amortir les rentes, «jusqu'au denier 60 On sait la débâcle qui suivit de près cet essai désastreux. Comme garde de sa corporation, il avait à s^occuper des affaires et des procès qui la concernaient, notamment de celui qui fut intenté devant le Parlement de Rouen par les drapiers- merciers aux chaussetiers-drapiers, réunis aux premiers par un arrêt Conseildu de décembre 1716. Sur la plaidoirie d'un sieur Duval, avocat, le Conseil maintint Tarrêt. Il entre éga- lement dans des détails intéressants sur la façon dont les apprentis étaient reçus, leurs devoirs et leurs droits envers les maîtres, les prix de réception et les repas donnés à la cor- poration. Nous trouvons aussi, dans son Journal, un compte rendu vexatoires étaient prises sur simple lettre du célèbreles plus agio- teur. de Falign3%Malgré tout, la confiance était telle que M. correspon- dant de la comtesse, lui écrivait de Caen, à la date du 3 janvier 1720; « Toutes nos dames veulent voir la rue Quincainpoix : Mesdames de Montéclair partent dans ce mois Madame Lou-Sourdoval et de ; de vigny, la comtesse, les maris sont d'avance. Enfin notre ville veuty mois après il fallaitavoir sa part de l'agiotage. » Quelques déchanter, le 3 novembre, M. de Balleroy écrivait à sa femme ; « Je n'ai paset de quoi payer un port de lettre : j'en suis réduit à écouler des bil- pour vivre.
â^<f RECUEIL DE CAENNAISJOURNAUX 1661-1777RECUEIL DE JOURNAUX GAENNAIS 1661-1777 Publiés d'après les manuscrits inédits AVEC UNE INTRODUCTION ET DES NOTES Par G. VANEL ROUEN PARIS A. LESTRINGANT A. PICARD ET Fils Libraire de la Société de l'Histoire Libraires de la Société de l'Ecole de Normandie, des Chartes, H, RUE JEANNE-DARC, 11 82, RUE BONAPARTE, 82 1904