Compte-rendu du mercredi 29 mars - L ETHIQUE DU TRAVAILLEUR SOCIAL ...
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Compte-rendu du mercredi 29 mars - L'ETHIQUE DU TRAVAILLEUR SOCIAL ...

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Langue Français

Extrait

L’ETHIQUE DU TRAVAILLEUR SOCIAL : compte-rendu de la
réunion du 29-03-06 à 9 heures à l’ESTES
La réunion s’est déroulée sous forme de débat, chaque participant
étant invité à faire part de sa position sur la notion d’éthique vis-à-
vis du travail social.
Motivés par la volonté d’initier une réflexion sur un des
fondements de nos futurs métiers, nous avons éprouvé des
difficultés à gérer l’échange d’idées, certes riche mais difficile à
structurer. A l’avenir, il nous faudra instaurer la présence d’un
animateur (voire un formateur ?) pour cadrer le débat.
L’appréciation de l’éthique du travail social rencontre un écho
différent chez chaque étudiant. Ainsi, certains participants ont
souligné la nécessité de distinguer l’éthique de la morale (laquelle
constituerait un « code de bonnes m°urs »). D’autres ont estimé
que l’éthique nécessite la prise en compte du facteur humain et
relationnel. Il existe des passerelles entre éthique personnelle et
individuelle, lesquelles relèvent des convictions. Enfin, le
groupement professionnel que constitue les travailleurs sociaux
met en °uvre des pratiques sur le terrain qui nécessitent des
remises en cause fréquentes. La prise de conscience de la nécessité
de se remettre en cause constitue une éthique en soi. Par ailleurs,
un participant a souligné que l’éthique se réfère aux codes pénal et
civil.
Ainsi, la responsabilité professionnelle s’articule au sein d’un cadre
juridictionnel, à travers le code de déontologie de l’ANAS
(Association Nationale des Assistants de Service Social) pour les
assistants sociaux ou dans le cadre de la protection de l’enfance
pour les éducateurs spécialisés. S’agit-il d’élaborer notre éthique de
manière limitative ou dans un cadre plus large ?
Nous pouvons nous poser la question si l’éthique est
« proportionnelle » à nos engagements. Suffit-il d’agir pour bien
faire ? Est-ce suffisant d’éprouver de la compassion ou de la
compréhension à l’égard de l’usager pour exercer alors que la
frontière entre valeurs personnelles et éthiques semble fragile ?
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