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Agent d’exécution Banque Mondiale Région Sénégal Domaine princi palChangement climatique Intitulé du projetGestion durable et participative de l'énergie Contribution du 4,7 millions $ US FEM
Cofinancement
15,2 millions $ US
5.200.000 $ US (Banque mondialeIDA) 1.200.000 $ US (Gouvernement du Sénégal) 8.800.000 $ US (Coopération néerlandaise) Financement total 19,9 millions $ US Dates De juin 1997 à decembre 2004 Problème ·Demande croissante en charbon de bois à des fins de combustible, entraînant la perte du couvert forestier, des environnemental émissions de gaz à effet de serre, la dégradation des sols et l'appauvrissement rural Objectifs du projet ·Encourager l'utilisation des foyers améliorés, d'autres combustibles que le charbon de bois, et la gestion durable des forêts
Le bois de feu et le charbon de bois, utilisés pour la cuisson des aliments et autres objets, fournissent la plus grande part des besoins en énergie du Sénégal.La consommation totale de charbon de bois a atteint 330.000 tonnes en 1992, soit l'équivalent de 1,8 millions de tonnes de bois de feu.Il était consommé pour la majorité dans les zones urbaines. Laville de Dakar à elle seule consomme plus de 100.000 tonnes de charbon de bois.Ce mode d'utilisation d'énergie a eu pour conséquence une perte progressive des forêts, de leur capacité à fixer le carbone et l'appauvrissement de la biodiversité.Les sols se dégradent, contribuant à l'appauvrissement continu des communautés rurales.En conséquence, un transfert de richesse massif est en train d'avoir lieu entre zones rurales et zones urbaines.Si les tendances actuelles se poursuivent, même les aires forestières protégées, comme le Parc national de NiokoloKoba, seront soumises à ces pressions.Sa biodiversité remarquable est d'une importance nationale et mondiale.
Il se dégage clairement des conditions macroéconomiques et socioéconomiques actuelles et prévisibles du Sénégal que le pays continuera à être tributaire, bien après le tournant du siècle, des combustibles ligneux traditionnels pour satisfaire la part massive des besoins énergétiques urbains et ruraux de ce pays.Le gouvernement a déjà essayé, avec l'aide des bailleurs internationaux, de restreindre la consommation accélérée de charbon de bois, par exemple en distribuant des foyers à meilleur rendement.Le gouvernement a aussi établi des programmes de boisement et de formation à l'intention des fabricants de charbon de bois afin d'améliorer les rendements du combustible ligneux. Ces efforts ont à ce jour produit des résultats limités pour diverses raisons.
ProjetLe Gouvernement du Sénégal a préparé ce projet avec l'aide du Programme d'énergie traditionnelle de la Banque pour l'Afrique.Ce programme a pour objectif de satisfaire une part importante de la demande ménagère en combustible rapidement croissante sans entraîner de perte du couvert forestier et de la diversité ni une augmentation des émissions de gaz à effet de serre.En particulier, le projet est en train de promouvoir la gestion forestière communautaire, en encourageant les substitutions de combustible et l'utilisation de foyers améliorés, et en renforçant les institutions pertinentes.Le projet est actuellement mis en oeuvre par le Ministère sénégalais de
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