LeBulletin de la Société linnéenne de Provence paraît sous la forme d’un seul tome annuel� Les manuscrits doivent être remis au rédacteur du bulletin : M� Claude R, 390 chemin des Vignes vieilles, FR — 84120 M,claude�roux@wanadoo�fr�Letextedoitêtretapéavecdoubleinterligne,enregistréauformatWordouRTF(un ou plusieurs fichiers de moins de 15 Mo)� Les titres ne seront pas écritset envoyé par courriel en capitales� La grammaire suivrale Bon usage(G et G), l’orthographe le dictionnairele Robert, y compris pour les noms français de plantes et d’animaux, les noms des temps géologiques et les toponymes (par exemple :chêne pubescent, pin d’Alep, piéride du chou, castor d’Europe, famille des oléacées, classe des branchiopodes, marnes du lias, mont Blanc, cap d’Agde, Massif central, montagne de Lure)� Les noms scienti-fiques (latins) de taxons (y compris supragénériques) seront écrits en italique� Les majuscules seront accentuées lorsque nécessaire, les noms de personnes écrits en petites capitales (par ex� René M), sauf les autorités de taxons, pour lesquelles l’abréviation du prénom et celle du nom seront séparées par une espace (par ex� A� Massal�)� Pour la bibliographie, se référer aux exemples suivants : A J� et R C�, 1977�— Étude écologique et phytosociologique de la végétation lichénique des roches plus ou moins décalcifiées en surface aux étages subalpin et alpin des Alpes françaises�Bull. Mus. Hist. nat. Marseille,37: 23–81� W S�, 1977�—Pollenanalytische Untersuchungen zur spät und postglazialen Vegetationgeschichte der französischen Alpen (Dau phiné)� Édit� Paul Haupt, Berne� C G� et R C�, 1984�— Deux espèces nouvelles de lichens méditerranéens :Lecanora poeltianaClauzade et Roux sp� nov�, Verrucaria poeltianaClauzade et Roux sp� nov� In : H H� et O F�,Festschrift J. Poelt.BeiheftNova Hedwigia,79: 187–201� Les dessins, photos, graphiques et tableaux des articles doivent être définitifs et tenir compte de la justifica-tion du texte du bulletin (18 × 23,9 cm)� Les illustrations seront fournies sous forme de fichiers électroniques au format jpg, pdf, png ou tiff, impérativement indépendants du texte, en couleurs ou en noir et blanc. Tout manuscrit doit comporter au moins deux résumés, l’un en français, l’autre en langue internationale (espéranto) — dont le rédacteur peut assurer la traduction à partir du français — et éventuellement un troisième dans une langue au choix de l’auteur� L’auteur correspondant doit préciser l’adresse du ou des auteurs de l’article, son numéro de téléphone et son adresse électronique où il peut être joint et où le rédacteur pourra lui envoyer, gracieusement, le fichier pdf de son article� Les manuscrits sont soumis au contrôle d’au moins deux réviseurs, mais les opinions émises par les auteurs n’engagent pas la responsabilité de la Société�
Bulletin de la Société linnéenne de Provence
Tome 6 — 20 (parution : 2/2/20)
ISSN 0–05
Siège de la Société : Université de Provence, case , place Victor Hugo, M Cedex 0
Bull. Soc. linn. Provence,t., ISSN –—Date de parution://
VIE DE LA SOCIÉTÉ
Conférences de l’année 7
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Dix conférences ont été faites en 2017 ; certaines ont été filmées et mises en ligne à l’adresse Http://slprovence. olympe.in/ (avec l’autorisation de leur auteur)
•18 janvier, Jean-Claude C,Archéologie sous-marine : épaves en Méditerranée • 8 février, hierry M,Les ptéridophytes en Pro-vence. Aix-Marseille Uni-• 15 mars, Bruno V,L’herbier d’ versité, un outil moderne de recherche pour étudier la biodiversité. • 26 avril, François M,Origine de l’homme.• 17 mai, André C,Richesses géologiques de Pro-vence : le massif des Maures.
• 21 juin, Marc-Antoine M,La vipère d’Or-sini. • 20 septembre, Julie J,Les cétacés de Méditer-ranée : adaptation, menaces et conservation. • 18 octobre, Bernard R, Une ballade dans le monde des araignées. • 15 novembre, Érick P,Les fourmis, une biodi-versité insoupçonnée. • 20 décembre, Jean-François N,Ballade bota-nique dans le sud-ouest de l’Australie.
Sorties mensuelles de l’année 7 et assemblée générale
• 29 janvier,Assemblée générale. • 12 février, Reine-Marie G,Autour de Saint-Cyr-sur-Mer. • 19 mars, Patrice F,Balade à Vernègues (13). • 30 avril, Patrice F,Balade autour de La Fare-les-Oliviers (13). • 21 mai, Claude R,Bord du canal de Manosque. • 3-5 juin, voyage de Pentecôte en région lyonnaise.
Bull. Soc. linn. Provence, t.,
• 24 septembre, ElisabetH P,Les sources de l’Huveaune (Nans-les-Pins,13).• 22 octobre, Jean ’A,À la découverte des cham-pignons. • 19 novembre, Claude S :Le site de Calès(Lama-non,13). • 17 décembre, Estelle F,Le Contras (Eygalières, 13).
Vie de la Société
Ateliers scientifiques
de janvier à mars2017
Le périodique des Ateliers scientifiques de laSociété linnéenne de Provence
Sommaire des balades naturalistes Saint–Antonin–sur–Bayon (13). . . . . . . . . Fos–sur–Mer (13) : ampibiens (et oiseaux) . . Le vallon des Estrécons (13) . . . . . . . . . .
Balades naturalistes
Saint–Antonin–sur–Bayon (13) : le 04 février 2017
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C’est au parking de la Maison de Sainte-Victoire, au sud de la montagne du même nom, que le rendez–vous a été donné. Nous nous dirigeons d’abord vers l’est. Nous verrons divers milieux mais, bien évidemment, quasiment pas de floraison à cette époque de l’année si ce n’est celle, encore timide, du tussilage et d’Ulex parviorusaperçu au loin. La plante vedette du jour sera découverte par Daniel P,Foeniculum vulgaresubsp.piperitum.Elle dif-fère de la sous–espèce commune en Provence, la subsp. vulgare,par un nombre moins élevé de rayons, 6–8 généralement (vs 12–30) et par la morphologie de ses feuilles qui présentent des segments très courts. Nous pouvons vérifier ces critères grâce à une « nouvelle » feuille verte et aux petites ombelles rapprochées, des-séchées, de l’an passé. Il faudra revenir goûter les fruits qui ont la particularité d’être légèrement piquants. Outre cette nouveauté, nous voyons les taxons sui-vants : Ripisylve (du Bayon) Fraxinus angustifoliasubsp.Quercus angustifolia, pubescens, Arum italicum, Hedera elix, Quercus coccifera,
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Nomenclature botanique selonTela Botanica( version 4.01 du 01/2015)
Himantoglossum robertianum, Prunus spinosa, Rubia peregrina, Rubus ulmifolius, Viburnum tinus, Bracypo-dium sylvaticum, Bracypodium poenicoides, Ranunculus bulbosus, Hypericum perforatum, Dorycnium irsutum, Catanance caerulea, Spartium junceum, Eryngium cam-pestre, Pinus alepensis, Genista ispanica, Staeelina dubia, Juniperus communisetJuniperus oxycedrus, Osyris alba, Arabis planisiliqua. Mare ceinte parPragmites australis Carex riparia, Agrimonia eupatoria, Menta aquatica, Lycopus europaeus, Tussilago farfara(premières fleurs), Juncus inexus, Scirpoides oloscoenus, Pulicaria dysen-terica. En bordure de champ labouré Cota tinctoria, Lavandula latifolia, Apyllantes mons-peliensis. Dans des friches Le fenouil,Foeniculum vulgaresubsp.piperitumdont il a été question plus haut,Ononis spinosasubsp.anti-quorum, Pyrus spinosa, rosettes deSerapias vomeracea(Julien B l’ayant vu fleuri antérieurement, l’espèce peut donc être nommée), rosettes d’Opryset vraisem-blablement d’Anacamptis pyramidalis. Dans les endroits humides Cirsium monspessulanum, Molinia caeruleasubsp.arundinacea, Sisymbrella aspera, Scoenus nigricanset plus particulièrement sur sol marneux :Descampsia
embergeri, Pleum nodosum(P. pratensesubsp. seroti-num) et une thyméleacée très discrète :hymelaea pas-serina,vraisemblablement la subsp.pubescens.
Sisymbrella asperadans une mare.
hymelea passerina.
Tussilago farfara.
Vie de la Société
Ateliers scientifiques
Garrigue à romarin Le sentier emprunté, montant à l’oppidum, traverse une végétation affichant peu de diversité.Lonicera implexa, Cistus albidus, Ononis minutissima, Globularia alypum, Bracypodium retusum, Pillyrea angustifolia, Teucrium poliumsubsp.polium, Teucrium camaedrys, Coronilla junceapeuvent, cependant, être ajoutés à la liste du matin. Sur un rocher, pousseSedum dasypyl-lum. Rochers Au nord de l’oppidum, un seul pied deGenista lobeliien « très mauvaise santé » et deSeseli galloprovinciale. Astragalus ecinatus,« pressenti », ne sera pas trouvé car, en ce mois de février, une identification serait trop difficile ! Ce taxon serait cependant à rechercher dans les argiles rouges, érodées, des pentes voisines, avec peu de végétation. C’est dans ce type d’habitat que cette plante, très rare en France, a été récemment trouvée, en 2016, dans la réserve naturelle géologique située au cœur du parc départemental de Roque-Haute (Bull. Soc. linn. Provence,67: 39-43). Il serait donc inté-ressant de retourner dans le secteur prospecté lors de cet atelier en vue de recherches approfondies.
Fos–sur–Mer (13):amphibiens (et oiseaux): le 04 février 2017
La sortie « amphibiens », initialement prévue la veille et ayant été reportée au lendemain du fait de conditions météorologiques plus favorables, a permis d’accueillir 11 participants, de 20 ans pour la plus jeune à 87 ans pour le doyen, toujours vert et alerte ! Ainsi constituée, l’équipe a pu découvrir sur le site du « Tonkin » une partie des milieux exceptionnels qu’accueillent les espaces littoraux de la zone indus-trialo–portuaire de Fos–sur–Mer. Ces espaces, pour-tant méconnus du grand public et négligés du fait de l’omniprésence des activités industrielles limitrophes, n’en sont pas moins particulièrement riches et diversi-fiés : mares temporaires à characées, prairies pâturées, marais à marisque, pelouses sablonneuses et boise-ments de tamaris, etc. La découverte de ces milieux permet doucement de s’affranchir de l’aspect paysager oppressant des alentours et d’observer ainsi la diversité des oiseaux présents, dont certains semblent profiter
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de la régénération qui a suivi l’incendie de 2016 (voir liste ci–dessous). Passée la découverte diurne de ce secteur, dès la tombée du jour, l’ambiance sonore se modifie et laisse place aux chœurs des batraciens : les premières gre-nouilles rieuses vocalisent, puis sont supplantées par les rainettes méridionales, dont le chant sonore masque celui des pélodytes ponctués. Une écoute attentive a permis aux participants d’identifier les chants des diverses espèces. La prospection nocturne a conduit à une découverte toute différente de ces mêmes milieux, contribuant ainsi à modifier leur perception et à perdre les repères. Depuis les pelouses sablonneuses à tamaris jusqu’aux mares temporaires colonisées par les écre-visses, la soirée de prospection pourtant très dense n’a pas permis de contacter le rare pélobate. La tempéra-ture trop fraîche a sans doute contribué à la discrétion de ce dernier. Seul un crapaud calamite mâle a pu être observé en maraude, et fut pour l’occasion la vedette de la soirée. Ceci dit, cette apparente absence de pélobate cultri-pède, au cœur d’un noyau parmi les plus riches des Bouches–du–Rhône, a permis une fois encore d’il-lustrer la difficulté à laquelle sont confrontés tous les naturalistes recherchant des espèces rares ou discrètes : le résultat n’est jamais garanti. C’est d’autant plus vrai pour le pélobate cultripède, dont la prospection néces-site patience et persévérance, frôlant parfois l’entête-ment. Peut–être les participants reproduiront–ils l’exercice d’autres nuits, sur ce même secteur ou d’autres, à la recherche de ce si rare et vulnérable pélobate ? Merci à eux pour leur enthousiasme ; expérience à renouveler. Observations ornithologiques Canard colvert (Anas platyryncos) Grande Aigrette (Ardea alba) Héron cendré (Ardea cinerea) Chardonneret élégant (Carduelis carduelis) Bouscarle de Cetti (Cettia cetti) Choucas des tours (Corvus monedula) Cygne tuberculé (Cygnus olor) Aigrette garzette (Egretta garzetta) Pinson des arbres (Fringilla coelebs) Foulque macroule (Fulica atra) Bécassine des marais (Gallinago gallinago) Goéland leucophée (Larus micaellis) Flamant rose (Poenicopterus roseus) Râle d’eau (Rallus aquaticus)
Le vallon des Estréchons à Saint–Paul–lès– Durance (13):26 mars 2017
Cet atelier a exceptionnellement eu lieu un dimanche car le déluge de la veille nous a forcés à décaler la sor-tie. Huit Linnéens disponibles, motivés et heureux que la sortie n’ait pas été annulée, se sont retrouvés pour profiter d’un temps calme et ensoleillé. Ce groupe inhabituellement restreint a permis des échanges riches entre les Linnéens. Nous avons pu prendre le temps d’apprendre à reconnaître de nombreuses plantes et quelques invertébrés et vertébrés. Nous avons randonné suivant une boucle de 5 km environ en empruntant le vallon des Estréchons, puis une partie de la DFCI vers le camp de Mus, avant de
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Ateliers scientifiques
redescendre par le vallon de Rians pour rejoindre notre point de départ. Nous avons marqué un premier arrêt au début du chemin menant vers le vallon dans une garrigue à aphyllanthe où de nombreux narcisses d’Asso (Narcis-sus assoanus) étaient en fleur. Nous y avons trouvé un pied d’astragale blanchâtre (Astragalus incanus). Moins fréquente que l’astragale de Montpellier (Astragalus monspessulanus) avec laquelle on peut la confondre, cette belle fabacée s’en distingue par ses feuilles comp-tant moins de folioles et d’aspect plus blanc car à face supérieure poilue. Nous nous sommes ensuite enfoncés dans le vallon des Estréchons, le long duquel nous avons pu obser-ver des doradilles des sources (Asplenium fontanum) et plusieurs dizaines d’individus de fritillaire à involucre (Fritillaria involucrata) aux fleurs à peine ouvertes. Malheureusement pas de dauphinelle fendue (Delpi-nium fissum) ni de fraxinelle (Dictamnus albus). Nous avons poursuivi jusqu’à la piste au lieu– dit le camp de Mus où nous avons observé une belle station d’anémone des jardins (Anemone ortensis) en bordure de chemin. Cette espèce localisée est remar-quable par la variabilité des couleurs de ses fleurs, allant du blanc au rose violacé. Le temps du pique–nique fut suffisant pour admirer le panorama plein est vers les Préalpes et le domaine de Cadarache… En levant les yeux au ciel, nous décou-vrons un groupe de circaètes Jean–le–Blanc passant juste au–dessus de nos têtes. Sur le retour nous nous sommes arrêtés dans une culture où une punaise très rare,Jalla dumosa,se tenait en hauteur dans une touffe d’herbe. Ce magnifique pentatome, appartenant à la sous–famille desAsopinae, est un prédateur de larves de lépidoptères et de coléop-tères. Il se reconnaît facilement sur le terrain à sa forme et ses couleurs allant du noir au rouge. Liste des plantes observées Amaryllidaceae:Narcissus assoanus. Asparagaceae:Apyllantes monspeliensis, Asparagus acutifolius, Muscari neglectums. l., Ornitogalum angus-tifoliums. l., Prospero autumnale, Ruscus aculeatus. Aspleniaceae(incl.HyacintaceaeetRuscaceae) :Asp-lenium ceterac, Asplenium fontanum, Asplenium trico-manes. Asteraceae :Bombycilaena erecta, Carlina vulgaris, Helicrysum stoecas, Pilosellasp.,Raponticum conife-rum, Senecio vulgaris, Tanacetum corymbosum, Tragopo-gon porrifolius, Tyrimnus leucograpus.
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Les deux extrêmes de la variabilité de couleur chezAnemone ortensissubsp.ortensis(Ranunculaceae).Photos J. A.
Jalla dumosa(Pentatomidae Asopinae).Photo V. D
Liste des vertébrés observés OiseauxAlouette lulu, buse variable, chardonneret élégant, circaète Jean–le–Blanc, fauvette à tête noire, fauvette mélanocéphale, grimpereau des jardins, grive draine, merle noir, mésange charbonnière, pigeon ramier, pin-son des arbres, pouillot véloce, roitelet triple–bandeau, serin cini. ReptilesPsammodrome d’Edwards.
Juliet A et Hubert G (organisation et rédaction)
Vie de la Société
Ateliers scientifiques
d’avril à juin2017
Le périodique des Ateliers scientifiques de laSociété linnéenne de Provence
Sommaire des balades naturalistes Pélissanne (13). . . . . . . . . . . . . . . . . . p. 11 La Tour du Valat (13) . . . . . . . . . . . . . . p. 14 Sud de Tourves, au bord du Caramy (83) . . . . p. 16
Pélissanne (13):8 avril 2017
À partir de la 17 (ancienne route Salon–Pélis-sanne), nous empruntons une voie étroite qui conduit à la Redourtière. C’est à partir de là que nous gravirons un flanc de coteau orienté plein sud, en direction de l’oppidum de Salounet, but initial de la balade, mais que nous n’atteindrons pas : il est situé, en effet, sur un terrain privé appartenant à l’abbaye de Sainte–Croix (Salon–de–Provence). C’est donc sur le seul terri-toire de Pélissanne que nous effectuerons le parcours, à l’exception d’une brève incursion sur la commune d’Aurons. La journée ne nous révélera pas de grande surprise (la liste complète des plantes est indiquée à la fin de ce court compte rendu) mais notre attention sera cependant retenue par quelques taxons intéressants. La végétation rencontrée, assez xérophile, est celle de milieux tels que pelouses rocailleuses ou sablonneuses, friches sèches, garrigues. Des oliveraies, talus et murets apportent un caractère plus anthropique. Tout d’abord, les pelouses àBracypodium retusum en début de parcours, nous livrentAjuga iva,Teucrium polium subsp.polium,Salvia verbenaca subsp.verbe-naca,Latyrus cicera…et plusieurs espèces d’Oprys:O. luteasubsplutea,O. passionis, O. provincialis puis plus loin, dans la rocaille, une belle station d’O. del-forgei(inclus dansO. marmoratapour laFlore de la
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Marais du Sagnas – emboucure de l’Arc (13) . . p. 18 Garrigues de Montmorin (13) . . . . . . . . . . p. 24
Euporbia taurinensis.
Latyrus saxatilis
Voie à ornières.Les trois photos de Michel H.