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1
DES ACTIONS POUR AMÉLIORER NOTRE QUALITÉ DE L’AIR
Le fonctionnement d’un poêle à bois durant une période de 9 heures
correspond à l’émission d’un véhicule automobile de taille intermédiaire
pendant une année!
Montréal, le 18 juin 2008
– Dans le cadre du PREMIER CONGRÈS CANADIEN SUR LA
SANTÉ RESPIRATOIRE, M. Alan DeSousa, responsable du développement durable, du
développement économique et de Montréal 2025 au comité exécutif de la Ville de Montréal,
accompagné de M. Louis P. Brisson, Directeur général de l’Association pulmonaire du
Québec, et du D
r
Louis Drouin, de la Direction de santé publique de l’Agence de la santé et
des services sociaux de Montréal, a dévoilé des mesures pour lutter contre la pollution
atmosphérique liée à l’usage d’appareils résidentiels de combustion au bois.
La concentration de particules fines émise par le fonctionnement d’un poêle à bois durant une
période de 9 heures correspond à l’émission d’un véhicule automobile de taille intermédiaire
pendant une année ou 18 000 km
1
. En 2007, on évalue à 85 241 le nombre d’appareils de
combustion au bois sur l’île de Montréal et, à 50 550 unités, le nombre pour la Ville de
Montréal seulement. Ainsi, si chacun des 50 550 appareils de combustion au bois localisés
sur le territoire de la Ville était utilisé 9 heures par jour durant 1 mois, le total des particules
fines émises correspondrait à celui d’environ 1,5 million de véhicules roulant 18 000 km
annuellement!
« La qualité de notre air et la santé de nos concitoyens est primordiale. Depuis la crise du
verglas à la fin des années 90, beaucoup de citoyens se sont installés des poêles ou des
foyers. En milieu urbain, en raison de la proximité des résidences et des conditions
climatiques particulières en hiver, la situation est fort problématique : l’ensemble des polluants
demeure plus concentré dans l’air que nous respirons avec les risques que cela comporte
pour notre santé. Il est temps de passer à l’action », a déclaré M.
Alan DeSousa
.
« Depuis plusieurs années, la Ville de Montréal participe, avec différents partenaires, à la
sensibilisation du public sur les effets causés par le chauffage au bois et les bonnes pratiques
à utiliser. Bien qu’elle compte poursuivre la sensibilisation avec ses partenaires, – la Direction
de santé publique de l’Agence de la santé et des services sociaux de Montréal et l’Association
pulmonaire du Québec – la Ville de Montréal demande aux citoyens de réduire l’utilisation
d’un appareil de combustion au bois lorsqu’un avertissement de smog, émis par Info-Smog,
est en vigueur pour la région de Montréal », a ajouté M. DeSousa.
La Ville travaille également aux côtés de partenaires tels l’Association pulmonaire du Québec,
l’Association des professionnels du chauffage, l’Association québécoise du propane, Gaz
Métro et Superior Propane pour développer un programme de remplacement des appareils de
chauffage au bois sur le territoire, incluant des hypothèses d’incitatifs financiers.
Pour
Louis P. Brisson
, Directeur général de l’Association pulmonaire du Québec : « Avec
1,4 M de personnes au Québec souffrant de problèmes respiratoires, l’Association pulmonaire
du Québec considère avoir une très bonne raison de contribuer à cette démarche et de
participer à l’amélioration de la qualité de vie des gens souffrant de maladies pulmonaires ».
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