Orchidées de TUNISIE
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Description

L’ouvrage présente un grand nombre de données originales concernant les 50 taxons traités, relevant de 45 espèces. À ce titre, il faut signaler :
- des commentaires pertinents tenant compte de toutes les avancées, parfois très récentes, de la taxonomie et de la nomenclature ;
- l’historique des découvertes en Tunisie. La très grande capacité de prospection de ces chercheurs et de leur réseau de collaborateurs les a conduits à des découvertes comme celle de Neottia nidus-avis en 2010 et des redécouvertes de taxons précédemment considérés comme disparus !
- le détail de la répartition connue et les indices de rareté. Cette rubrique est soutenue par la cartographie des sites où les taxons successifs sont présents. Il reste possible que certains des taxons traités dans cet ouvrage soient un jour à nouveau considérés comme ‘égarés’, mais la cartographie précise permettra au moins de diriger les prospections ;
- des photographies de grande qualité. Elles sont capitales du fait que les descriptions littéraires sont largement insuffisantes pour rendre compte des ornementations et des couleurs ;
- des clefs de détermination pour les genres Ophrys et Serapias ;

Informations

Publié par
Publié le 11 mars 2019
Nombre de lectures 27
EAN13 ISSN : 0759-9
Langue Français
Poids de l'ouvrage 17 Mo

Extrait

Socié t é M é d it e r r a n é e n n e d ’Or ch id olog ie Association déclarée en 1996, initialement Société vauclusienne… puis provençale… et enn méditerranéenne d’or chidologie, du fait de l’élar gissem ent de son air e géographique d’act iv it és. Dom iciliée en Vaucluse ( France) , elle a pour but l’ét ude et la pr ot ect ion des Or chidées sauvages. Elle const it ue globalem ent une base j ur idique à ses act ions :  • à caractère scientique : études de terrain, cartographie ;  • d’éducat ion à l’env ir onnem ent : sor t ies or ganisées sur le  terrain, conférences, diaporamas, expositions, etc. ;  • et de diffusion des connaissances : publicat ions. Elle a aussi pour but de t isser un r éseau de par t enar iat av ec d’aut r es associat ions, les pr ofessionnels, inst it ut ions, adm inist rat ions et t ous les par t enair es t ravaillant dans le m êm e but :la n a t u r e r ot e ct ion d e !La p
Tu n isia n W ild lif e Con se r v a t ion Socie t y Or ganisat ion non gouv er nem ent ale qui s’int ér esse à l’ét ude et la pr ot ect ion de la v ie sauvage dans ses habit at s nat ur els, en collaborat ion av ec les inst it ut ions t unisiennes et les or ganisat ions int er nat ionales spécialisées.  • Elle accor de une at t ent ion par t iculièr e aux espèces m ena-cées en Tunisie.  • Elle vise également à dénir l’importance de la biodiversité dans le m aint ien de l’équilibr e écologique et par t icipe à la sensibili-sat ion du grand public et des inst it ut ions éducat iv es sur le r ôle de la faune sauvage dans l’enr ichissem ent du pat r im oine nat ur el t unisien.
U n it é M ix t e d e Re ch e r ch e AM AP L’UMR « AMAP » ( bot Anique et bio- infor Mat ique de l’Ar chit ect ur e des Plant es) dév eloppe ses act iv it és de r echer che dans deux grands cham ps disciplinair es : la bot anique sy st ém at ique et st r uct urale, l’écologie de la végétation, l’agronomie et la foresterie d’une part; l’informatique, les m at hém at iques et les st at ist iques appliquées d’aut r e par t . L’équipe « Div er sit é des plant es et des com m unaut és v égét ales»  ét udie :  - la biogéographie et la diversication des ores,  - l’écologie des com m unaut és,  - les m ét hodes d’ex per t ise de la biodiver sit é
Eco- M e d SARL «d e p a y s le s Se n sib ilise r à l’e n v ir on n e m e n tla M é d it e r r a n é e ion ECO- MED sout » : la fondat ient des pr oj et s de dév eloppem ent , des cam pagnes de sensibilisat ion et or ganise des t r ophées dest inés aux cher cheur s, or ganism es ou ONG qui œuv r ent pour l’env ir onnem ent en Médit er ranée.
 • ECO- MED est un bur eau d’ét udes, d’ex per t ise et de conseil en environnement naturel spéciques à l’aménagement du territoire et à la m ise en valeur des m ilieux nat ur els. I l int er v ient depuis l’année 2 0 0 3 aupr ès d’am énageur s, d’indust r iels et d’or ganism es publics.  • ECO- MED int er nat ional ex por t e son sav oir - fair e et son ex-per t ise dans de nom br eux pay s de la Médit er ranée, d’Eur ope et du Moy en- Or ient .
Socié t é Bot a n iq u e d e Fr a n ce La Sociét é bot anique de France ( S. B. F. ) , associat ion t y pe « Loi de 1 9 01 » , est une sociét é savant e fon-dée en 1854 et reconnue d’utilité publique en 1875. Lors de sa séance inaugurale elle se xe pour but « de concour ir aux pr ogr ès de la Bot anique ( …) et de facilit er ( …) les ét udes et les t ravaux de ses m em br es» . Auj our d’hui : Elle publie deux revues scientiques, de diffusion des connaissances naturalistes - Journal de Botanique) et de recherche internationale (Acta Botanica Gallica) ; (le ences ouv des confér or ganise  - Elle er t es au public, des sessions de t er rain en France et des voyages d’études à l’étranger réservés à ses membres ; er sit air e e Univ de - dir ige Elle co- l’univ er sit é av ec die un Diplôm de Picar « botanique de terrain » ; soutient nanciè- - Elle organise des colloques nationaux et internationaux, et r em ent echer che.la r
àAlix
D a t e d e p u b lica t ion : 1 e r t r im e st r e 2 0 1 5
I SSN : 0 7 5 9 - 9 3 4 X
Rola n d M ARTI N , Er r ol V ÉLA e t Rid h a OU N I
Or ch id é e s d e Tu n isie
Bu lle t in d e la Socié t é Bot a n iq u e d u Ce n t r e - Ou e st N ou v e lle sé r ie N u m é r o sp é cia l 4 4 – 2 0 1 5 Siè g e d e la SBCO : 2 3 0 r u e d e la Soloir e , N e r cilla c, BP 8 0 0 9 8 – 1 6 2 0 0 Ja r n a c
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ORCHI DÉES DE TUNI SI E
Pr é f a ce
 J’ai év idem m ent ét é t r ès honor é de cet t e dem ande de r édiger une pr éface pour cet ouv rage sur les or chidées de Tunisie. J’ai en effet t ouj our s considér é les or chidologues com m e appar t enant à un m onde à par t .  Par cer t ains aspect s, les or chidées font par t ie d’un m onde ét range, or iginal et m er v eilleux . La fragilit é des m ilieux où elles sont suscept ibles de se m aint enir, la rar éfact ion ou la dispar it ion év ent uelles de leur s pollinisat eur s r endent souv ent leur r epr oduct ion aléat oir e et accr oissent l’im pr obabilit é de r et r ouv er cer t aines populat ions pour t ant connues. Leur grande apt it ude à l’hy br idat ion, y com pr is ent r e espèces appar t enant à des genr es différ ent s, accr oît aussi les difcultés de détermination des taxons. Pourtant ceci contribue certainement à l’attrait que cet t e fam ille exer ce sur ces am at eur s. Mais que dire de la beauté des formes des pièces orales ou encore leurscouleur s ? On se t r ouv e v it e face à l’indigence du v ocabulair e, m êm e celui des or chidologues, quand il s’agit de décrire ces eurs. Regardez donc les clichés concernantOphr y s at lant ica, hélas si rare, et posez-vous la question de savoir si l’évocation des bleus et des noirs veloutés est sufsante pour rendre ces nuances de couleurs ? Oui de telles stars de beauté exercent une sor t e de fascinat ion dans laquelle sont t om bés les t r ois aut eur s de cet ouv rage et qu’il leur est difcile d’expliquer !  Cet ouv rage est dév olu aux or chidées de Tunisie, ou plus ex act em ent celles d’un t er r it oir e incluant la Tunisie du Nor d et j usqu’à la Dor sale m ont agneuse t unisienne, au nor d d’une ligne joignant Kasserine à Sousse. Cette zone, entièrement sous climat méditerranéen, qui afche une pluv iom ét r ie supér ieur e à 300 m m / an, est celle où en Tunisie sont t r ès m aj or it air em ent dist r ibuées les or chidées qui disparaissent aux pluv iom ét r ies plus faibles sous bioclim at ar ide. d’une com r e s’agit de l’œuv I l bot anist es, r ois de t m unaut é auxdév oués t r ois t ous or chidées et ayant m is en com m un les données et infor m at ions r ésult ant de nom br euses observations de terrain cumulées, répétées et menées sur une dizaine d’années. Ces données r ésult ent en fait d’une longue t raque fondée sur une st rat égie de pr ospect ion en fonct ion de l’écologie connue ou présumée et des périodes connues de oraison des diverses espèces.  I l faut av oir à l’espr it que la t âche ét ait ar due et les obst acles nom br eux à sur m ont er avant de pouv oir pr ésent er un docum ent de classe. La r elat iv e fugacit é des appar eils aér iens, m ais égalem ent les aléas de la r epr oduct ion engendr ent des dout es au suj et des t axons pr ésum és dispar us m ais peut - êt r e r et r ouvables. Des pr ospect ions r épét ées sont r endues nécessaires, les oraisons étant souvent brèves et dispersées dans le temps (globalement depuis la m i- décem br e j usqu’à j uin av ec pr obablem ent un pic de m ar s à m ai) .  L’ouv rage ( le r ésult at écr it ) pr ésent e un grand nom br e de données or iginales concer nant les 50 t axons t rait és, r elevant de 45 espèces. À ce t it r e, il faut signaler :
 - des com m ent air es per t inent s t enant com pt e de t out es les avancées, par fois  très récentes, de la taxonomie et de la nomenclature ;  - l’hist or ique des découv er t es en Tunisie. La t r ès grande capacit é de pr ospect ion  de ces cher cheur s et de leur r éseau de collaborat eur s les a conduit s à des  découv er t es com m e celle denidus- av isNeot t ia edécouv er t esen 20 10 et des r  de taxons précédemment considérés comme disparus !  - le dét ail de la r épar t it ion connue et les indices de rar et é. Cet t e r ubr ique est  sout enue par la car t ographie des sit es où les t ax ons successifs sont pr ésent s.  I l r est e possible que cer t ains des t axons t rait és dans cet ouv rage soient un j our  à nouv eau considér és com m e ‘égar és’, m ais la car t ographie pr écise per m et t ra  au moins de diriger les prospections ;  - des phot ographies de grande qualit é. Elles sont capit ales du fait que  les descriptions littéraires sont largement insufsantes pour rendre compte desornementations et des couleurs ;  - des clefs de dét er m inat ion pour les genr esOphr y setSer apias;  - l’év ocat ion des hy br ides nat ur els av ér és ou soupçonnés ent r e espèces dans les genr esAnacam pt is,Ophr y s,Or chisetSer apias.
à la fois lasur les or chidées de Tunisie, ce t ravail per m et Som m e des sav oir s act ualisés sauv egar de des infor m at ions et le par t age av ec la com m unaut é élar gie des bot anist es et plus par t iculièr em ent des or chidologues. Ce par t age peut aller j usqu’à la collaborat ion av ec les or chidologues des pay s et r égions av oisinant s. Ces connaissances font aussi apparaît r e d’une par t les besoins de pr ospect ion com plém ent air es ainsi que, d’aut r e par t , les besoins de pr ot ect ion concer nant cer t ains t axons.
Num ér o spécial de la Sociét é Bot anique du Cent r e- Ouest - n° 44 - 2015
Roland MARTI N, Er r ol VELA, Ridha OUNI
 Ce qui est déj à accom pli est r em ar quable, m ais nous sav ons que ces t r ois com plices ne peuvent quitter dénitivement les orchidées… Non, il reste du travail : des nuances à déceler, des nitions à parfaire et peut-être même à jouir de nouvelles découvertes et surprises. I l subsist e quelques espaces, des ‘t er r a incognit a’ r est r eint es, à pr opos des or chidées et l’ignorance à leur suj et n’aut or ise pas, au goût de nos chevalier s des or chidées de Tunisie, à en dire n’importe quoi… Non, il faudra bien aller voir ! t de ceux qui s’int ér essent un lar ge accueil de la par fam ille t r èsà cet t e Souhait ons or iginale du m onde des plant es m ais aussi plus lar gem ent à ceux , cher cheur s, enseignant s et autres scientiques, travaillant dans les divers domaines de la biologie végétale, de l’écologie et j usque la biogéographie plus par t iculièr em ent . Puisse cet ouv rage cont r ibuer à des pr ogram m es de sauv egar de de biodiv er sit é. Cet ouv rage dev iendra, j ’en suis per suadé, un m odèle du genr e.
Mont pellier, le 6 oct obr e 2 014 Éd ou a r d Le Floc’h
Num ér o spécial de la Sociét é Bot anique du Cent r e- Ouest - n° 44 - 2015
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ORCHI DÉES DE TUNI SI E
Num ér o spécial de la Sociét é Bot anique du Cent r e- Ouest - n° 44 - 2015
I n t r od u ct ion
Roland MARTI N, Er r ol VELA, Ridha OUNI
 Cet ouv rage est le r ésult at du long t ravail de t r ois or chidologues. I ls nous offr ent un liv r e accessible aux non- spécialist es et r iche d’infor m at ions pour les grands v oyageur s que sont les bot anist es. I l est d’aut ant plus le bienv enu que peu de liv r es sur les or chidées d’Afr ique du Nor d ont ét é publiés r écem m ent , en par t iculier sur la Tunisie. C’est pour quoi nous nous r éj ouissons de cet t e publicat ion or iginale qui, nous le souhait ons, sera accueillie av ec int ér êt par t ous ceux qui aim ent ce beau pay s et sont fr iands d’or chidées.  Nom br e d’ouv rages de v ulgar isat ion ont r écem m ent aidé à m ieux fair e connaît r e les Or chidées. Des spécialist es les ét udient dans le m onde ent ier ( sauf év idem m ent dans les déser t s) et concour ent à en fair e pr ogr esser la connaissance.  Enfants et adultes dans toutes les civilisations ont de tout temps aimé les eurs. Si t out es les plant es – m er v eilles de l’év olut ion – sont int r insèquem ent belles, les or chidées le sont encor e davant age, d’abor d pour les bot anist es généralist es et év idem m ent pour les or chidophiles et or chidologues. Cela t ient au nom br e de leur s espèces, à leur pr ésence de la Pat agonie au clim at m édit er ranéen ou en alt it ude et à leur év olut ion inachev ée qui pr oduit des var iabilit és de la for m e du labelle et des couleur s des t épales, de m ult iples hy br idat ions et enn à la découverte de nouvelles espèces dans les zones difciles d’accès de climat tropical en par t iculier.  Il en découle cet engouement pour les orchidées indigènes ou admirées chez les euristes et encor e m ieux dans les ser r es de Hollande.  Quelques ex em ples par lant s : les Or chidaceae sont une grande et j eune fam ille , ent r e 20 000 et 30 000 espèces et vieille de seulement quelques dizaines de millions d’années. Com m e elles sont t er r est r es aussi bien qu’épiphy t es, sauvages ou hor t icoles, com m e elles protent de la symbiose avec un champignon, comme elles ne sont pas encore « xées »génét iquem ent com m e les aut r es plant es et com m e elles ont su inv ent er un m ode de r epr oduct ion des plus ast ucieux , elles ont un av enir d’aut ant plus pr om et t eur que de nouv elles var iét és sont t r ouv ées par t out et que les espèces hor t icoles ne cessent d’augm ent er gr âce à l’hy br idat ion.  Ces Angiosper m es m onocot y lédones de l’or dr e phy logénét ique des Asparagales sont d’une rar e beaut é, d’où leur popular it é aupr ès des bot anist es de t er rain, et de plus en plus aupr ès du grand public qui acquier t les super bes var iét és ex ot iques qu’il chouchout e en appar t em ent ou m êm e en ser r e. Les plus chanceux v ont les adm ir er dans les for êt sd’ Amérique Centrale, un peu partout en Europe et en Afrique du Nord !  Nous sav ons gr é aux t r ois aut eur s de nous fair e par t ager leur int ér êt pour ces Belles Plant es. Nous som m es per suadés que nom br eux ser ont les t our ist es qui pour r ont de la sor t e les découv r ir plus facilem ent et les adm ir er au cour s de leur s pér égr inat ions en Tunisie.  Elles sont de plus en plus v ict im es de l’ur banism e et de la dégradat ion de not r e env ir onnem ent : sachons les pr ot éger.
Yv e s Pe y t ou r e a u,Pr ésident de la SBCO
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1 - Les f o r êt s d u Jeb el Ch am b i o ù « su r v it »Cep h alan t h er a lo n g if o lia,  la p lu s m ér id io n ale d es o r ch id ées d u p ay s, av r il 2 0 0 6 .
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Som m a ir e
Roland MARTI N, Er r ol VELA, Ridha OUNI
Or ig in e d u p r oj e t . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1 1
Sit u a t ion . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1 2
Z on e é t u d ié e . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1 3
Le con t e x t e n a t u r e l . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1 6
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Re lie f . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1 7
Pé d olog ie . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1 9
Clim a t . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 2 0
Ét a g e s b ioclim a t iq u e s . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .2 4
H y d r olog ie . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 2 5
M ilie u x . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .2 7
La f or ê t . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 2 8
D e s or ch id é e s . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 3 0
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Histoire d’une eur ....................................................................... 31
H ist oir e d e l’or ch id olog ie t u n isie n n e . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 3 2
Ca r t og r a p h ie . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .3 4
M on og r a p h ie s . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 3 8
Clés d’identiIcation des orchidées des genresOp h r y se tSe r a p ia s . . . . . . . . . . . . 1 4 5
Le s h y b r id e s n a t u r e ls . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .1 4 8
Bib liog r a p h ie . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .1 5 2
Re m e r cie m e n t s . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1 5 6
I n d e x . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .1 5 7
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