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webencyclo - articles Page 1 sur 3   Biologie et sciences de la vie > Découvrir la biologie et les sciences de la vie  botanique  image (s)   n. f. Science ayant pour objet l'étude des végétaux.   Son origine est très ancienne, cette science étant rattachée à la chiffre connaissance des plantes alimentaires, médicinales ou toxiques, mais (s) et pas nécessairement distincte de l'ensemble de la science de la nature, tableaue bien que Théophraste (au IV s. av. J.-C.), suivi par Pline l'Ancien et (x) Dioscoride, ait écrit des traités de botanique pure.   La principale limite de cette discipline est liée à celle de son objet, le carte (s)monde végétal. Parmi l'ensemble des êtres organisés, on considère souvent, en première approximation, comme des végétaux ceux qui ne se nourrissent pas d'aliments solides. Les bactéries ont été class ées parmi les végétaux, mais on tend à en faire un groupe à part. La lien (s) botanique traite donc surtout des organismes chlorophylliens et des Internetchampignons, et plus précisément de l'inventaire et de la description des espèces (ce qui suppose l'exploration de tous les territoires de la Terre), de la nomenclature, de la classification, de l'étude des besoins écologiques et de la répartition g éographique, de l'étude des cellules végétales, de la forme et de la structure des organismes et de leur genèse.

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Extrait

Biologie et sciences de la vie
>
Découvrir la biologie et les sciences de la
vie
botanique
n. f. Science ayant pour objet l'étude des
végétaux
.
Son origine est très ancienne, cette science étant rattachée à la
connaissance des plantes alimentaires, médicinales ou toxiques, mais
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s
nécessairement distincte de l'ensemble de la science de la nature,
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héophraste (au IV
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s. av. J.-C.), suivi par Pline l'Ancien et
Dioscoride, ait écrit des traités de botanique pure.
La principale limite de cette discipline est liée à celle de son objet, le
monde
végétal. Parmi l'ensemble des êtres organisés, on considère
souvent, en première approximation, comme des végétaux ceux qui ne
se nourrissent pas d'aliments solides. Les bactéries ont é
té classées
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s
végétaux, mais on tend à en faire un groupe à part. La
botanique traite donc surtout des organismes chlorophylliens et des
champignons, et plus précisément de l'inventaire et de la description des
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pèces (ce qui suppose l'exploration de tous les territoires de la Terre),
de la nomenclature, de la classification, de l'étude des besoins
écologiques et de la ré
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n
géographique, de l'étude des cellules
végétales, de la forme et de la structure des organismes et de leur
genèse. L'étude du fonctionnement de la cellule et de l'organisme est
essentielle, que l'on mette l'accent sur le rôle des gènes, sur la captation
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oeuvre de l'é
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ière, ou sur l'intégration
dans le milieu de vie. Les applications pratiques d'ordre alimentaire,
médicinal, ornemental ou industriel font également partie de la science
des végétaux.
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pèces
La description des espèces figure au premier rang. Cette tâche, qui
n'est pas sans noblesse (elle a pu être considérée un peu comme
l'inventaire de la Création), a passionné des générations de naturalistes,
stimulé
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même temps par l'attrait des voyages. La connaissance
populaire traditionnelle est déjà importante, comme le montrent aussi les
noms donnés localement. À
té de cette " ethnobotanique ", s'est
développée une botanique de spécialistes, surtout depuis la
Renaissance, é
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où l'homme moderne a commencé de vouloir
établir sa science à partir de l'observation ; parmi les initiateurs il faut,
notamment, citer Mathiolus, Pierre Belon, Dodoens, Conrad Gesner. On
conna
ît actuellement environ 300 000 espè
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végétaux. Le travail
de catalogue para
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démodé, du fait de son ancienneté et parce
qu'on pourrait le croire proche de son achèvement. Or, toutes les régions
du globe et tous les groupes de végétaux n'ont pas é
té prospectés avec
toute l'attention
nécessaire, et nombreuses sont les espèces qu'on
découvre encore. Qui plus est, les plantes à fleurs des
régions
tempérées sont encore loin d'être entièrement connues, du point de vue
de leurs caracté
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définition même
d'une espèce peut ainsi être remise en cause. Deux plantes qui,
cultivées dans deux endroits différents, semblent appartenir à deux
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pèces différentes, peuvent, cultivées côte à
côte dans des conditions
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23/09/2002
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