Mécanismes nerveux et fonctions sensorielles chez les Invertébrés. - compte-rendu ; n°1 ; vol.37, pg 301-313
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Mécanismes nerveux et fonctions sensorielles chez les Invertébrés. - compte-rendu ; n°1 ; vol.37, pg 301-313

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Description

L'année psychologique - Année 1936 - Volume 37 - Numéro 1 - Pages 301-313
13 pages
Source : Persée ; Ministère de la jeunesse, de l’éducation nationale et de la recherche, Direction de l’enseignement supérieur, Sous-direction des bibliothèques et de la documentation.

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Publié le 01 janvier 1936
Nombre de lectures 39
Langue Français

Extrait

c) Mécanismes nerveux et fonctions sensorielles chez les
Invertébrés.
In: L'année psychologique. 1936 vol. 37. pp. 301-313.
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c) Mécanismes nerveux et fonctions sensorielles chez les Invertébrés. In: L'année psychologique. 1936 vol. 37. pp. 301-313.
http://www.persee.fr/web/revues/home/prescript/article/psy_0003-5033_1936_num_37_1_5411FONCTIONS SENSORIELLES DES INVERTEBRES 301
comportant comme une colonie entière de Synura et non la région
postérieure
Dans les divisions longitudinales les deux moitiés se comportent
de fa on semblable au contraire comme les colonies entières de
Synura avec renversement du phototropisme pour une certaine
luminosité commandant le renversement de sens du galvanotropisme
295 TZONIS Elektrotaxis Elektronarkose Elektrometa-
narkose und Elektrohypnose bei Myriopoden Electrotactisme
electronarcose électrométanarcose et électrohypnose chez les Myria
podes ver Ph. XXIII 1936 247-252
Placés dans un réservoir plein eau où passe un courant électri
que certains Millepattes présentent un électrotactisme positif
Iulus Polydesmus Lithobius) autres non Geophilus Cryptos
En augmentant intensité du courant pour une certaine valeur
variable suivant les espèces on obtient une narcose
on interrompt alors le courant on observe chez les
espèces qui ont un électrotactisme une hypnose simulation de la
mort mais si la durée de passage du courant été assez brève
quelques secondes) chez tous il une narcose consécutive électro
métanarcose) dans laquelle cessent les réactions aux stimuli Après
narcose il une période accélération locomotrice
296 GARBARINI Le choix du support pour les larves de
Spirorbis borealis Daudin CXXII 17 1936 158-
166
Le comportement est commandé exclusivement par un photo
tropisme positif la naissance des larves
La fixation marque par ses variations de fréquence des diffé
rences dans le pouvoir attractif des supports Les Fucus attirent
fortement plus que les Laminaires et les autres algues sont en
général évitées il une attraction assez faible par les pierres
coquilles ou fragments de bois Les Ascidies qui attirent une autre
espèce de Spirorbe repoussent nettement et sur un Fucus où se
trouve une colonie de Botrylles les larves ne se fixent une
certaine distance de celle-ci
Mécanismes nerveux et fonctions sensorielles
chez les Invertébrés
297 VON LEVETZOW Beiträge zur Reizphysiologie
der Polycladen Strudelwürmer Contribution la physiologie de la
stimulation des Turbellariés Polyclades ver Ph. XXIII
1936 721-726
Les réactions motrices des étudiés Leptoplana
Stylochus etc. comportent trois niveaux des mouvements ciliaires
ndépendants de toute innervation des déplacements origine 302 ANALYSES BIBLIOGRAPHIQUES
musculaire régis par innervation du plexus indépendants des
centres cérébroïdes observés dans des morceaux découpés du ver)
et constituant une sorte de république de réflexes avec manifestations
de tropismes enfin mouvements coordonnés dépendant du système
centralisé cérébroïde chaînes de réflexes réponses orientées mouve
ments spontanés
Des réactions optiques ont été observées que chez Leptoplana
photokinèse positive orientation vis-à-vis de stimuli chimiques
est générale et dépendante des ganglions cérébroïdes
298 SCHARRER Ueber Drüsen-Nervenzellen im
Gehirn von Nereis virens Sars Sur des cellules nerveuses
glandulaires dans le cerveau de v. Zoologischer Anzeiger
CXIV 1936 299-302
Dans le système nerveux de divers Crustacés Insectes Gastéro
podes on signalé la présence de cellules glandulaires encore énig-
matiques en décrit cette fois dans la région des nerfs optiques pos
térieurs des ganglions cérébroïdes une Annelide
299 LLER Untersuchungen über spezifische Organe
niederer Sinne bei Rhabdoc len Turbeiïarien Recherches sur les
organes spécifiques des sens inférieurs chez les Turbellariés Rhab-
docèles ver Ph. XXIII 1936 253-292
Recherches morphologiques et physiologiques sur trois espèces
Chez Phaenocora typhlops approche une goutte de sang de
lombric provoque une alarme des mouvements pendulaires explo
ration une recherche directe 15 mm de distance environ) une
exploration de contact suivie absorption Le sens chimique
distance est conditionné par intégrité des deux régions antéro-
latérales ablation une seule entraînant des mouvements de
manège les réactions au contact ou du moins courte distance
épreuve directe de la nourriture sont conditionnées par la bordure
céphalique antérieure On observe pas organes morphologique
ment différenciés mais seulement de longs poils sensibles
En revanche de chaque côté de la zone céphalique il existe chez
Stenostomum leucops une cavité ciliée qui ne se laisse pas colorer
au bleu de méthylène Le courant ciliaire fait pénétrer les liquides
dans ces cavités ampullaires où ils sont chassés par des contractions
céphaliques Or la sensibilité chimique paraît localisée dans ces
cavités car leur double exclusion supprime toute réaction la
nourriture aussi bien distance au contact ablation une
seule ayant pour effet de gêner par des mouvements forcés de
manège atteinte de aliment régie par une orientation chémo-
tropotactique)
Plus avancée est la spécialisation réceptrice chez la troisième
espèce Bothromesostoma Essenti voisine du Mesostoma lingua déjà
étudié par Gelei
Il chez ces Planaires dans le champ auriculaire antérolatéral
une zone poils sensibles courts 25 microns de long et situés en
avant et en arrière deux champs de chaque côté poils longs avec FONCTIONS SENSORIELLES DES INVERTEBRES 303
bulbes nerveux la base outre ces champs antérolatéraux il
en existe encore autres médiolatéraux et postérolatéraux
Des expériences ablations partielles variées ont montré que la
réception chimique était exclusivement conditionnée par les champs
auriculaires poils courts reparaissant après ablation lorsque la
régénération se produit) les champs sensibles poils longs condi
tionnant la sensibilité aux courants comme avait pensé Gelei
Et une différenciation analogue celle constatée chez Phaenocora
put être observée en ce que la partie postérieure des champs auri
culaires commandait alarme et orientation chémotropotactique
distance la partie antérieure épreuve directe de la nourriture
commandant la mise en action de la trompe)
Des essais pour une différenciation des sensibilités olfactive et
gustative ont pas donné de résultats décisifs toutefois des réactions
toutes négatives au sucré au salé acide et amer ont pu être
obtenues exclusivement dans la région auriculaire et principalement
dans la partie antérieure du champ sensible
300 LABBE Les yeux dorsaux des Silicodermés Ar de
exp. LXXVII 1935 Notes et Revues no 16-35
Sauf chez Oncidiella on trouve des yeux dorsaux superficiels
ou au bord des cavités isolés ou groupés de 003 02 mm de
diamètre chez ces Gastéropodes
Chez Oncidiella les yeux apparaissent que chez les adultes
des bourgeons épidermiques forment des optosphères avec inner
vation par un nerf optique du nerf palléal se divisant en
rameaux dont chacun détermine la formation un il distinct
Dans la rétine des cellules bipolaires relient les cellules sensibles aux
fibres du nerf
Ces yeux ne peuvent fonctionner visuellement car le cristallin
est formé de cellules remplies de granules siliceux réfringents réalisant
une dispersion lumineuse Ce serait pour auteur un appareil
récepteur ultra-violet sans que rien ne vienne justifier cette opinion
Chez un Paraoncidium chose très curieuse aussi deux yeux se
développent dans une optosphère au fond de diverticules une
crypte cutanée où la lumière ne peut parvenir directement
301 WEEL et SVEN-THORE Ueber die Pupillar-
reaktion von Octopus vulgaris Sur la réaction pupillaire
v. ver Ph. XXIII 1936 26-33
tudes anatomiques et physiologiques permettant de rectifier
des erreurs commises par Magnus Le ganglion sus- sophagien ne
joue aucun rôle dans la réaction de constriction pupillaire du Poulpe
mais seulement le sous- sophagien avec voies centripètes et centri
fuges passant dans le pédoncule optique Des nerfs ophtalmiques
sup

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