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Soutenance 1)HISTORIQUE DE LA THESE : LA GENESE ET LE TEST, LA QUESTION DE LA PERTINENCES DES ENONCES PHILOSOPHIQUES Rapide rappel de la genèse et du test insister sur le caractère modeste du travail, modeste mais rigoureux s’assurer de la pertinence de phrase philosophique et se donner les moyens de vérifier cette pertinence Cette thèse, voulait vérifier l’hypothèse de Gilles Deleuze concernant l’Éthique de Spinoza, à savoir qu’il existerait comme deux Éthiques coexistantes, l’une constituée par les propositions, les démonstrations et les corollaires, l’autre par les scolies. Parallèlement, un travail dans le contexte des postes de pilotage informatique de la Très Grande Bibliothèque (effectué par l’équipe du projet THOT de l’Institut de Recherche en Informatique de Toulouse à l’université Paul Sabatier de Toulouse) consistait a rendre opératoires des fonctions de lecture, de plus en plus intelligentes, liées aux capacités des lecteurs optiques. Nous désirions, d’une part, adapter ce travail à la vérification de l’hypothèse de Gilles Deleuze, en identifiant, dans ce contexte informatique et expérimental, ce qu’un texte philosophique avait de spécifique, et d’autre part, tenter de formaliser les résultats de cette identification Mais ces deux exigences se rejoignaient dans la mesure où il fallait déterminer premièrement quel était cet objet textuel qui avait l’apparence d’un traité de géométrie et qui comportait, à côté des propositions et ...

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Soutenance
1 )HISTORIQUE DE L A THESE : L A GENESE ET LE TEST , L A QUESTION DE L A PERTINENCES DES ENONCES PHILOSOPHIQUES
 Rapide rappel de la genèse et du test insister sur le caractère modeste du travail, modeste mais rigoureux s’assurer de la pertinence de phrase philosophique et se donner les moyens de vérifier cette pertinence Cette thèse, voulait vérifier l’hypothèse de Gilles Deleuze concernant l’Étquhie de Spinoza, à savoir qu’il existerait comme deuxs ueiqthÉcoexistantes, l’une constituée par les propositions, les démonstrations et les corollaires, l’autre par les scolies. Parallèlement, un travail dans le contexte des postes de pilotage informatique de la Très Grande Bibliothèque (effectué par l’équipe du projet THOT de l’Institut de Recherche en Informatique de Toulouse à l’université Paul Sabatier de Toulouse) consistait a rendre opératoires des fonctions de lecture, de plus en plus intelligentes, liées aux capacités des lecteurs optiques. Nous désirions, d’une part, adapter ce travail à la vérification de l’hypothèse de Gilles Deleuze, en identifiant, dans ce contexte informatique et expérimental, ce qu’un texte philosophique avait de spécifique, et d’autre part, tenter de formaliser les résultats de cette identification Mais ces deux exigences se rejoignaient dans la mesure où il fallait déterminer premièrement quel était cet objet textuel qui avait l’apparence d’un traité de géométrie et qui comportait, à côté des propositions et des démonstrations, des scolies et deuxièmement quels étaient les propriétés textuelles qui permettaient d’identifier ces scolies en tant qu’objets textuels. L’identification formelle Grâce à l’informatique rejoignait pour partie l’identification philosophique. En effet, bien qu’éloignée de son contexte d'origine, celui de l’approche formelle de la sémantique naturelle, elle permettait à certains scolies d’apparaître comme des opérateurs philosophiques ressemblant aux opérateurs des actes de discours à portée métadiscursive. Il était intéressant de déterminer pourquoi certains
 
I
scolies ont des fonctions particulières par rapport à l'apparente structure géométrique d'ensemble de l’tÉihuqeet de les identifier. C'est en accomplissant cette véritable étude formelle au sens strict que, d'une part, apparaît la fécondité de l'intuition deleuzienne, mais aussi, ses approximations, ses limites et ses obstacles. Ceci explique pourquoi au fur et à mesure de notre étude nous nous sommes de plus en plus écarté des intuitions de Gilles Deleuze pour nous consacrer à l’étude la plus exhaustive possible de l’ensemble scolien. Les étapes de ce travail vont donc de la construction d’une méthodologie adaptée, jusqu’aux questions épistémologiques et philosophiques posées par la mise au jour des métatextes de l’ensemble scolien. Une telle approche permet de s’interroger sur la nature des scolies et pose ainsi la question de leur écriture au sens strict ainsi que celle de leur prudence et de leur enseignement.   2 ) L A VERIFIFICATION DE L ’HYPOTHESE . L ’OUTIL  , L A FORMALISATION, LE S « LENTILLE S ELECTRONIQUES LE POLIS S AGE FORMEL . LE S PREMIERES CONSTATIONS PHILOSOPHIQUES . Cette entreprise de formalisation effective a nécessité la constitution, à l’aide d’un langage formel (SPILOGapplication dePROLOG), d’instruments de caractérisation centrés sur les scolies mais aussi, comme on le verra par la suite, sur tous les autres objets textuels de l’equhiÉt. Dans le domaine informatique, la Très Grande Bibliothèque, se proposant de scanner la traduction de La Pléiade, nous avons donc, un peu à contre-cœur, commencé notre travail de caractérisation de l’écriture Spinoziste et des scolies de l’htÉique à l’aide de cette édition tout en ne renonçant pas à des vérifications sur les éditions et traductions de Charles Appuhn et de Robert Misrahi. Cet ensemble d’arguments explique donc notre point de départ qui était de vérifier l'hypothèse de Gilles Deleuze il existerait sous la première une deuxiémé Ethique .Pour cela il fallait se doter d’un ouitl adapté Il était nécessire d’adapter ces outils issuss de la linguitique formelle à notre étude particuliére. Il fallait donc préciser l’outil pour passer d’une appproche générale des textes en termes de traces
 
II
métadiscursives cf Stausson et virbel à l’établissement de tous les Méetatextes constituifs et constituants la textaulité de L’Eeuqihtde sa MFM et de son MAT De ce point de vue il est important de se souveneir que ces apports issus de la linguistique formelle restent une variable pour notre approche philosophique. Par exemple au lieu d’utiliser la MFM on aurait pu utiliser la RST si elle avait été plus opératoire et pertinente 1 ) DETERMINER LE FAITS TEXTUEL S SOT, ( ET TYPE NEXUNEXU S S, REFERENC E S)passage des références à la forme référence(ref et cit), établissement à travers les premiers résultats de cette observation des descripteurs caractéristiques des metatextes et donc constitution de DES refe et de des ecri et, à partir d’eux, mettre au jour les formes textuelles qui caractérisent les scolies et le texte Ethique.  2 ) C S B L E S DONNEEONSTRUIRE DE VERITAtextuelles appropriées à l’Ehtqieu.et doncMETTRE A JOUR MFM ET MAT, détermination à travers les Cette formes textuelles nexus et types nexus, référence et qualité de référence nous a permis de constituer des bases de données que nous avons appelleées, reférence, tous les OT, base référence, référence inverse Ces bases de données permettent d’établir des bases de connaissance à l’aide de descripteurs, de schématisations, de tableaux et de modélisations appropriées à ce texte quenos avons appellé DES refe et Des ecri soient 45descripteurs pour des refe et 23 cf annexe 18 et19  3 )  ET SURTOUT AU DE LA FORMA LISATION ETA PE SCHACUNE DE CE S MOMENT MEME DE SA CONSTITUTIONdes faits sont constatés qui rendent’hypothèse des deuxueEthiqs de Giles Deleuze non cohérente ainsi que d’autre lecture majeures parcrce que inattentives à des foemes philososphiques qui se laissent decrie foremellement. Ces formes même n’en permettent pas moins de décrie de facon satsfaisante cequi s’ordonn,se repatit,se distribue dans la pensée philosophique de Spinoza dans l’EThique . Ces formes texteuelles révèlent en tout cas la complexité de l’ensemble scolien et l’impossibilité de le défineir en le simplifiant ou bien en terme de marge anecdotique de l’ordre géomrique comme tendent à la fire certain commentateurs comme M Gueroult , ou en terme d’incarnation expressive d’une autre Ethique souterrrriane et totalement affranchie de l’enchainement propositionnel. En effet que constate ton à un premeir abord ( faut il reinjecter ici du3 )
 
III
A)AVEC NEXUS ET TYPES NEXUSapparait la complexité de l’htEeuqi du piot de vue des objets texteuels qualifies de g&om&trique ( plusieurs types de déinitions ,de demo et d’autre demonsrartions des corlaires mais ausiis ses lemmes ) ; la dificulté de percevoir dans les scolies un ensemble caracrérisé par l’unite et l’independance par rapport aux objets géometriques puique els scolies sont necessirement dan sl’ethique les scolies d’une propositin ou d’un lemme . A l’examen des types nexus ce texte n’a qu’une apparence de géometricité Aucun des type nexus n’est simplement gometrique,( les demonstrations elemêm sont ou non suivies de cqfd) ou « scolien , ou non géomériques ( les appendices se referent aux parties ). Il existe dés ce niveau là une telle profusin dbjets textuels que la question même de la genese et de l’engendrement du processus déductif par la demonstaivité géometrique se pose ; B)AVEC LA BASE APPELLEE REFERENCE. se rencontre laredistribution des references ecrites en caractées italiques et romians . Ses déclinaiosn les plus immédiates revelent les premeirs sous ensembles scliens l’apparition de scoliesou to t alem t e connexes en tres eux les ques sclies quine se feferent qu’aux scolies , les scolies qui ne con t eiennet aucune ref eren c e les scoli nil et les que c eci e t que c ela les quep , les ques les quer e t quec les quea . Avec cette base on voit aussi apparitre ert ainesl’hogénéisation de c const an t es t ex tu elle par exemple celle des des modalit é de refeenc es ( ref, la modalité de la referennce en caractes italique et cit modalité de la referennce en caracteres romains) ,de leur qulité seulement évocatrice ou metademonstrative evoc et meta Cette base permet encore de faire t ée deapparitre le carac « réemboi t emen t  des scolie doubles q Leui sont deux scolies dans scolie numeroté deux introduit une reconsidérartion du systémé une relecture de celui ci laisse entrevoir la perpective d’un espace abstrait muni de schémas aux correspondance multiples p 295 cf leibnitz C)AVECDES REFE. a ) on consta t e la présen c e d ’ ensembles et de sous ensemnbles parfai t emen t iden tifiables de scolies comme les scolies ne se referan t qu ’a des scolie e t qui dans une c ert aaine mesure son t les plus deleuzien des scolies deL 4 e thique , les scolies ques cf lescolie 2 4 7 sur ou le solie 43 7 2 sur . to , nil , au commeil existe donc de foremes textuelles parfaitement « nettes , des sous ensembles scoliens parfaitement determinés
 
IV
comme les scolies ne se referent qu’aux corrollaires , les scolies quaux propositions etc, les scolies qui sont cités dans les nexus les plus propositionels les les scolies qui contiennet plus de 4rfeference les mega , ou plus de 7references les giga commele scolie 5 2 0 sur; b ) on at t es t e de la présenc e eff ec tive des chaines scoliennes et de laur arborenscnc e p 43 2 des. Cette détermeination et cette caractérisation scolies qui apppartenaien effectivemment aux chianes ( 42)au sens struict( sens informatique) des sous chaine des arbres ( les chaine de gd cachaient non la foter mais les toeirs arbres scolien appartenenat au graphe est une découverte sur laquelle nous reviendrons. La production du détai de cette arborecnes et sa conséquences la plus immédiate à savoir que la partie un est coupée de ce graphe invalide l’idee deleuzienne de la continuité d’une chaine scoleienne vocanique coexistant avec la moene territorialié et sédentarité des propositions. L’intuition de gd est depassée et contetseté dan s sa trop grand esimplicite Cet aparte du déo laiisie d’ailleurs beuacoup à penser. Les sclie de la partir I n’appariennet à aucun chaine scolienne.On peut s’etnner et s’inetrooger sur ce ue sibgfie cette coupure entre les scolies de la partie 1 et ceux des autre parties. Comemt l’objet majuer de la métaphysique Spinozizte , la susbstance à une infinité d’attrributs se constitue à part des chaines scoliennes L’arborences scolienene Comme si les scolies plus antropologiques et plus béatitude etc Pour en revenir aux résultats immédits D)A CONSTITUTION DE LA BASEVEC LADES ECRI plphilo et descripteurs les les croisement avec la base Des refe, on obtient e sbase tuion de c par redisbu des forme st ables et  t es suivan philosophiques  « tionsles consta soien t ( ,  les scolies qui ne son t ni souc es ni cibles d ’ aucuneref ernec au to son t tous des scolies conc ep tuels c ’ e st à dire con t ennan t ou no tx , ou definition scolienne en i talique ou en romain les scolies crns commele scolie x axis p 3son t 9 0 les scolies appart enan t aux chaînes sont tous ou conc ep tuels, ou axioma tique rhet orique , c e qui manifes t e bien une st abilité des formes scoliennes dans le fai t que c es scolies ou bien philosopihiquemen t son t oc cupés à definir , ou à s’inst aller dans le troisiemme genre de connaisssanc e et on t pluto t rappaort à l’in tuituion et refléchissen sur le
 
V
sys t em e en train de se consti tuer , ou bien s’adressen t à des lec t eurs particuliremen t av ertis e t non benevole Ces premeire constatations sont loin d’être nagligeables car elles font déjà apparaite les incoheence de l’hypothése de gd , mais ainsi que celles de commentateurs auturisés. Ces constations qui n’auraient pu etre faites sans une formalisation appproriée ont dejà un interte philosophique majuer .En effet et pour resumer tropr rapidement certans axes de notre travai ces constations d’une part obligent à s’interooger sur la fonction même de l’exposition geometrique sur la validité du procesus d’engendrement des propositions, sur les relations au sein du systéme entre progéssion géometrique et déduction, sur la part faite à l’intuition dans un systeme traditionnellement reconnu pour sa construction etc . D’autre part ces constations initiales revelent les raisons effectives pour lesquelles l’ethique est un systéme rationnel. La miise à jour des matatextex, des sosu ensembles formels constiutants de la pensée spinozite confirme comment la raison systemetique est à l’ouevre dans ce texte. A cote d’une algebre de l’enveloppement de l’expression et d’une topographie de la Nature naturée qui « reconstruisent  le systeme nous pensons avoir contribue à metttre en évidence des formes textuelles capables de décrire ceratoins moments de la mise en acte de cette rationnlté comme étant ceux de sa construction et de sa constitution . Voyons quels sont les résultats de cette combinatoire formelle intern à ce texte ; Du point de vue philosophiques quels sont donc à proprement parler les résultats plus generaux et le sens philosophique decetexamen formel de scolie. 2tant donné leur quantité mous mous contenterons d’éevoquer ici les plus essentils ,les plus caractéristiquzs pareceque les plus essensiels des scolies et de l’ ,htÉeuqi 5 3 ) L E S RESULTAT S PHILOSOSPHIQUES MA JEURS POUR LE S SCOLIES ( L E MAT ET L A NATURE DU SYSTEME SCOLIEN , EN SEMBLE RES EAUX )
  
 
VI
I)SENS PHILOSOPHIQUE POUR LES SCOLIES PB REPRISE SI PEU DE TEMPS ETTEDE C A ) P A S E S DE PREMIER NIVEAU E S BOUR L(RE FERENCE S,TOU S OT ET E S L REFERENC E INVER SE) A)  nexus ( cf ples tableu des nexus et de st ypes ) permetent une perceptions plus immédite de la stucturaation des parties de leurs complexite et surtout qui autorise un doute sur l’engendrement sui gegeris et la gémétricité au sens de la démonstrativité La grande variete des types nexus , leur stabilité tres relative n’autorisbet pas non plus une analyse de l’queEthi objets textuel et terme de correpondance entre en type de discours.ou alors autant de régime discursuf qu’il existe de type nexus n’existe plus. Type nexus manifeste que le parcourshtqiEeu pas seulement n’est géometrique ou non géométriques. B)la determination de scolie ne se reférant qqu’a des scolies( les ques ) de scolies ne se refrant qu’avec de scaratere romains ou italisques les quer, les quec . La formalisation determine ainsi des sous ensembles stables et des formes nettes ( les scolies ne se refrant qu’a des demonstrations, les scolies etc) C)comportant au mois4 references et considere commela determination de scolies des cairns , de scoies comportant au moins 7 references à des scolie lesgiga comme lescolie 5 2 0; Pour ce scolies la quantité des efrences continet preque en elle m^mem un sens philosophsique ; cee scolie s sourcrs ou cibles de nombreuses refférences sont ou des centre reflexis ou des centre redistributers de concepts et cette redistribution est renforcée par les coincidences de des ecri A l’inverse la deremination de scoie comme detache du corpus soient les scolies qui ne sont sourcrces d’aucune référenceles nil ceux ’ e thique à l t quirenvoien laplus discrè t e  B ) POUR L A S E A BDE S REFE,  A)les sous ensembles stables doté de constnates . Ces constantes renvoient à des de formes textelles stables à cause de la coincidence entre la notation en caractée itaique et la dimension evoquatrices de ces references et la notation en caracteres romin et de la dimension metademeonsrarive des références La oicidence q a , e t quer et métuec quec et evo c as la rareté de entout sexeptions (( je vous laiise vous reporter aux schema de pages cf les schema evoc
 
VII
mont etc p 273 et sq et peu d’exeptions p 285) indiquent l’intnetionnnalité du textex, comme ssi les reference p 290 en caractere italiques et les references en carcters romains renvoyaient à une intention ; cette intention ets confirmes par le statut des , t qmo tquevi ecf p 291  B)Les scolies qui ppartiennet aux nexus le splus propositionnels shpd qui apparaissent grace à cett memme base se livrent à une soit redistibution de la géométricité confirmée par le fait qu’il aapparaisent aussi commeétant des scoie ou toils ou cent ou les giga ou les trois à afois On peut dire de ces scolies cités dans les neus les plus démonstratifs que cf p 419 et sco D 4 0 2 2ans une certaine mesure ce scolie, comme tous ceux qui sont « shpd  (qui apparaissent dans les schémas des nexus « pd ), qu’ils sont come autant de plaque tournante du système démonstratif vers le système scolien qui se transforme, à cause de ces références démonstratives, en plaques tournantes scoliennes. On dira de tous ces scolies auxquels la démarche la plus géométrique se référe , qu’ils s’en détachent et qu’à l’issu de leur mouvement conceptuel, ils la dépassent. Certes la place des scolies est fixe à l’interieiured es nexus mais par les references et leurs foremes textuelles , mise en circulation de concepts etc . de quasi amophes ils engendrent des graphes et des metalangages qui leurs sont propres ; se dessinet ddes topollogies étranges , des redistributions , des empiétemments et certaines fois comme des nœuds scoliens( ex statut des shpd comme le 2402 et le 1331 par ex p 425 ces scolies font retour grammatographiques sur Ainsi, ces scolies qui appartiennent aux nexus les plus propositionnels, les scolies « shpd  qui apparaissent dans les schémas des nexus de type « pd , font-ils retour « grammatographique  aux propositions, aux démonstrations, aux définitions et aux axiomes. Cette réadéquation permet de saisir ce qui s’inscrit de grammatographique et de scolien dans le discours géométrique. Ces scolies shpd montrent l’insuffisance d’une certaine conception continuiste servant à décrire la parenté géométrique des concepts de l’eu.htqiÉ Cette conception d’un discours englobant sur l’origine du géométrique, discours dont les implications sont nécessairement géométriques, nous paraît, par la présence de ces scolies, dépassée. La logique textuelle (celle des références, par exemple, des faits et des formes textuelles), produit dans les lectures continuistes de véritables « trous noirs   
 
VIII
c) crne aL es scolies niu carrefour scolien et démonstratifs et leur particularité deleuzien ni gueroult p 215, scolies qui par elnombre eleve de refrences sont transforeme en souce ou cible de refrences pour deus ensenbles disjoits ( le demo et le scolien soit graphe connexe à ces deux ensembles ( determination de la nature vraiment « volcanique  de certains scolies plutot que volcanique nous dirons connnexes et réorintateurs ou bousssoles surtout le scolies qui cible de ref à lafois sco et proposition ne font refernece à rien comme irruption d’un autre ordre à l exemple de30 9 e t 3 1 3 car redisbue des concepts que dans des scolies on retouve les crne p 539 et 541 à un autre niveau D) des chines scoliene , sous chines e es l’arborenc arbre e tt thematique les racines etc etc p soit p 432 et sq et place des sclies deschines dans les 130 b)Les chaines et l’arborencece , les sco racine feuilee les sosu chines et els arbres . les arbres, cf le thématique P 492 et sq Les trois arbres et descripteurs etc tres diffrente des themes de gd, et insister suele 207ou un sco nœud etc     Ces sous ensembles stables produit grace à la base desre plus que la déduction (le pas à pas) et donc pas euelement la deduction sui générisas les mététextes ,et C )POUR L B A S ECRI A S E DE résultas déterminats soient, A)L tres maoritaieemt sontes sco appartenet aux chines scoliennes t trhe ep t ,, c ou axio tous au mois deux marqeurs idem pour les 1 3 0 , donc il existede correlations fortes entre la semantique formelle et la sinification philosophique ; aucun scolie n’echappae à la classification plus philosopique de Des ecri B)parmi les résultats plus locaux les crns son t tous axis , cp t e t rh t ,ex du 1 5sco 1comme exemlaire dela démarche axiomatique qui conssssiste à aacentuer les sconséquences et à retourner l’hypothèse considéré pou manifester sa contraciction ;lecon et exercise de logique scolienne cf p 391 les qeua e t les me th , les lec t e t les me thp 403 le 249 les 1 1 crne son t indu , dont le scol p 400le sco2 4 3 
 
I
D) L V EC A E L S PLU SU LTAT S IMPORTNS REE S E CROISEMENT DES B A SE St donc ce qui stucture l’ensemble scolie. Les chiane et métatextex qui leurs son liées cf sh pd A)les auto soit ehique discrete écriture de l’adéquat ni souce ni cible comm comme le scolie p 405 et 406 , le scolie 2102 et 242 Mais l’intuition scolienne, en réfléchissant sur la doctrine, s’affranchit du procédé géométrique tout en autorisant (sans référence, dans ce scolie ni dans les autres scolies autonomes, au procédé géométrique), indépendamment de la méthode des démonstrations, une science réflexive. Celle-ci est présente dans presque tous les scolies autonomes. Le Scolie43 2est si réflexif qu’il renvoie « à ce qui est évident par soi 1. Ce scolie est particulièrement exemplaire des scolies autonomes. Compréhensible seul, il affirme le principe de l’utilité réciproque des êtres semblables qui fonde la sociabilité et sa valeur ; et cette sociabilité immanente est de part en part positive. Ce scolie ne se réfère à rien et n’est l’objet d’aucune référence puisque Spinoza veut établir que la vraie sociabilité, cette utilité tant réciproque que joyeuse, repose sur la positivité effective et existante des similitudes et non sur l’égalité négative des êtres privés des mêmes choses. Ce scolie autonome, non connexe, pose donc, avant les objets textuels géométriques, que la sociabilité n’est pas passionnelle mais acte de réflexion. Ce scolie condense l’idée que c’est uniquement ce qui est semblable qui peut fonder en raison la sociabilité. Et il le fait sans aucune référence à quelque autre objet textuel de l’eihuqtÉ.  b) LES SCOLIES LES PLUS DETERMINATS LES DETERMINANTS  les plus detrminants effectifs à lafois de desefe cf coherence interne à la diffnce de GD cohérence externe les scolies les plus rerables en terme d’identité scolienne même si morphologie floue Certains scolies, en possédant des descripteurs de « Des refe  et de « Des ecri , deviennent comme des composants d’une textualité ou s’effectue la représentation des connaissances géométriques. Ces scolies qui, quels que soient les descripteurs( comme indu, crne etc …), sont comme des « scolies maximum , des
                                                1 La chose est aussi évidente par elle-même « ;qui dit en effet que le blanc et le noir s'accordent seulement en ce que ni l'un ni l'autre n'est rouge, affirme, absolument que le blanc et le noir ne s'accordent en rien. De même aussi, dire que la pierre et l'homme s'accordent seulement en ce que tous deux sont finis, impuissants ou n'existent pas par la nécessité de leur nature ou enfin sont indéfiniment surpassés par la puissance des causes extérieures, c’est affirmer d’une manière générale que la pierre et l'homme ne s'accordent en aucune chose ; les choses qui s'accordent en une négation seulement, c’est-à-dire en ce qu'elles n'ont pas, ne s'accordent en réalité en rien.  ; Ch. Appuhn, szanopiSreuvOe,  I, Éthique, Paris, Garnier-Flammarion, 1965,Scolie 432, p. 247. X  
objets textuels invariants, avec une cohérence taxinomique propre, dessinent un univers qui semble modéliser le texte géométrique. Ces scolies commele scolie2 4 7 , 2 4 8 p 56 2 5 6 3 qui apparaissent toujours quels que soient les descripteurs choisis sont plus que des cairns sur le chemin de la pensée. Ils deviennent la matérialisation de la manière dont les connaissances se distribuent dans les objets textuels géométriques. Même s’il est impossible philosophiquement que ce quasi métatexte scolien fonctionne à la manière d’un système expert (à cause de l’impossibilité pour un système philosophique d’être clos sur lui-même), ces scolies tendent à être des objets textuels opérationnels et opérationalisables.   D) ppar rappotr à la litteralité des chines p 536 deleuzienle grand ecartet le grand ecart de MG sur lee scolies  t c . e 1 0 , le 52O2 4 0 2 , le 5  schéma fait Ce apparaître des écarts considérables par rapport au réseau citationnel scolien. Paradoxalement, les lignes bisées de Gilles Deleuze ne rencontrent pas les scolies appartenant aux chaînes. Elles sont présentes dans la Partie I, alors qu’elle n existent pas dans cette partie à moins de tenir compte des chaînes de « pas de un . Seuls les Scolies 504 et 520 coïncident ; Par contre, les scolies tournants se retrouvent tous dans les chaînes à l’exception du Scolie 213. Le croisemment des bases renforce donc le travail des contarrastes et cf p 561 Mais aussii de toute la rradition cf sasso et les discours,  E )C E QUON OBTIENT EN CONFONTE L S DE SHEMA E S SCHEMA E CHAOINE STE L DES1 3 0 ( ET OU RE S EAUSY STEME)  A)SYSTEME ET RESEUA La complexification et la recherche des invariants comme resucturation ou autre résutatsl semblables cf scpd et nil dans les chaine cf 309 et 313 comme proche de stucture réticulaire car redisbution de l’nformaton géo en méta connaissances sclienne les plus scolien cf p Nous ne pouvons croire à une coïncidence. L’appartenance des scolies sh pd aux chaînes n’est pas un hasard ou un caprice formel. Si, aussi peu nombreux, ils se retrouvent presque tous dans les chaînes, c’est pour une raison essentielle : ils redistribuent le système, le réorganisent ; ils sont à la fois dans la circulation déductive et dans la redistribution scolienne. Ce sont des transformateurs de
 
XI
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