SV Sodingen : le dernier club de banlieue - article ; n°1 ; vol.103, pg 52-54

Rolf Lindner, Heinrich Heinrichth.Breuer

Description

Actes de la recherche en sciences sociales - Année 1994 - Volume 103 - Numéro 1 - Pages 52-54
SV Sodingen : le dernier club de banlieue Par l'homogénéité sociale et géographique de son recrutement, par sa façon de jouer et par la nature de ses liens avec son public, le SV Sodingen aura été le dernier des clubs ouvriers de football de haut niveau, dans l'Allemagne Fédérale d'après-guerre. Son ascension (1947-1955), puis son déclin à partir de 1959 sont liés pour une part à l'évolution du football vers le professionnalisme, pour une autre part à la crise du charbon qui a profondément bouleversé les rapports sociaux dans la Ruhr.
3 pages
Source : Persée ; Ministère de la jeunesse, de l’éducation nationale et de la recherche, Direction de l’enseignement supérieur, Sous-direction des bibliothèques et de la documentation.

Sujets

• Sociologie, société et politique

Informations

• Publié par: Actes-de-la-recherche-en-sciences-sociales
• Publié le: 01 janvier 1994
• Nombre de lectures: 10
• Langue: Français

Extrait

Monsieur Rolf Lindner

Monsieur Heinrich Th. Breuer

SV Sodingen : le dernier club de banlieue

In: Actes de la recherche en sciences sociales. Vol. 103, juin 1994. pp. 52-54.

Résumé

SV Sodingen : le dernier club de banlieue

Par l'homogénéité sociale et géographique de son recrutement, par sa façon de jouer et par la nature de ses liens avec son

public, le SV Sodingen aura été le dernier des clubs ouvriers de football de haut niveau, dans l'Allemagne Fédérale d'après-

guerre. Son ascension (1947-1955), puis son déclin à partir de 1959 sont liés pour une part à l'évolution du football vers le

professionnalisme, pour une autre part à la crise du charbon qui a profondément bouleversé les rapports sociaux dans la Ruhr.

Citer ce document / Cite this document :

Lindner Rolf, Breuer Heinrich Th. SV Sodingen : le dernier club de banlieue . In: Actes de la recherche en sciences sociales.

Vol. 103, juin 1994. pp. 52-54.

doi : 10.3406/arss.1994.3097

http://www.persee.fr/web/revues/home/prescript/article/arss_0335-5322_1994_num_103_1_3097