Les étudiants en informatique ont des atouts que les employeurs sont de plus en plus nombreux à reconnaître.
L’idéeeuqaellleslnoterusursle-creeisntaciofmr’dnilesientderabou-isrevinutfMéoia-ssetndretierplpMôriimgseaése,lsee’ttaltaleexrrpènégarlniecm,eeqnuutnéiesvl.’erétEsiun--taires au profit des ingénieurs diant soit stagiaire ou apprenti. Dans a vécu.«En septembre, nousce dernier cas, il perçoit un salaire. avons été assaillis par les en-La possibilité de signer un contrat treprises qui souhaitaient ré-d’apprentissage ou de professionna-colter des CV. Il y a une véri-lisation devrait être étendue à la spé-table pénurie d’informaticiens», ISRI dès la rentrée 2010. cialité explique Dominique Lazure, directeur du Département Infor- La force de l’université réside aussi matique à l’UFR des Sciences dans la petite taille de ses effec-de l’Université de Picardie Ju- tifs. L’entrée en deuxième année les Verne. En effet, l’emploi estde Master Miage, est sélective. La au beau fixe en informatique etpromotion comprend 48 étudiants, la grosse majorité des recrute sur les deux parcours. Une- répartis ments se situe à bac+5 : aprèsL’informatique est un secteur quipartie de la formation est consacrée un Master (qui se prépare ensourit aux jeunes diplômésà l’élaboration de projets montés deux ans après une licence) ouen petits groupes, parfois avec les un diplôme d’ingénieur.étudiants de l’autre spécialité : une situation qu’ils rencontreront dans 70l’méertideseuqiatrmfoinlgeuinniurfeofrsumctuorela:eircveeiredtaeipsnrsoéftevusidseinianonentnsnetlnl’deee.stLD’pUoaris-TDeux Masters informatique, surInformatique (et ont intégré la licen-les quatre proposés par l’Uni- ce en 3e année), voire de BTS In-versité de Picardie Jules Verne, relèvent de l’informatique deitnostesétlucésitnvn.Cesderniersnotlpsudeidfifrmfoqitadeuegeoits gestion. Les étudiants ont lePlutôt que de parler du métier «d’in- à préparer quelques unités de valeur choix entre la spécialité ISRI (ingénie- formaticien», la deuxième année de Licence. Do- de on parlera plutôt «des rie des systèmes et réseaux informati-ques) et la spécialité Miage (méthodesertimé,taque»lssntili’sedamitfnroo-prebr.Lereuxnombonthcmalaet,cSnysmoiunirqcueed’Leanzriucrheistsieenmteànt.c Ielttse’adgiivtearsuitsés,iinformatiques appliquées à la gestion répondre à la demande sociale de defessionnelle des sociétés de service des entreprises). En deuxième année, en informatique, en recense plus de poursuite d’études. celle-ci se décline en deux parcours. soixante-dix ! Pour aider les étudiants à Côté parité, par contre, on est loin du Compliqué ? Pas tant que cela, si l’on considère que l’université est confron-riota,eétéeprosnnlepreosnnalisé»,obligaucruelnu,susreulodmtjero«pâtirb-compte.90%destonsderçgas.onM«igaisetss»tée à une double exigence : former desmis en place dès la deuxième année deLes filles, à vos s ! is professionnels qui ont une vision large de l’informatique et offrir des spécialités licence.our pointues pour répondre aux besoins desUn pied dans l’entre i recruteurs. se, pr’ ’ l autre à l université Si les étudiants sont séduisants auxArticle paru dans le supplément yeux des recruteurs, c’est aussi parcemaorfséliveaontiéareirriPrelcuoCctobre2card,o00.9 qu’à l’issue de leur cursus, ils sont à la