Islamische Textilkunst
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Islamische Textilkunst

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Notes prises par Violaine Blaise, 2006 Islamische Textilkunst des Mittelalters : aktuelle Probleme, Abegg-Stiftung, Riggisberg, 1997. J.A. Sokoly,Between life and death: the funerary context of Tiraz textiles, p.71-78. Beaucoup de ces tissus portent des bandes d’inscriptions ou de décoration : signification historique. Mention de noms de califes, titres, vizirs, commanditaires, lieux d’exécution. Reste inexploré le pb des conditions de conservation de ces textiles. Dans les écrits il est fait mention de grande variété de soieries ; pourtant uniformité des tiraz : lin ou coton = du au contexte de conservation. La plupart a été trouvée dans un contexte funéraire en Egypte, fin XIXe j’1950. Les fouilles clandestines ont surtout eu lieu au Caire. Au sortir de la terre, les tissus sont découpés. Les corps sont enveloppés dans plusieurs tissus de lin, parfois de soie. Tombent en poussière en général. Périodes abbasside et fatimide. La décomposition des corps a crée de larges tâches, accélère la dégradation du tissu. Alterne avec des zones en très bon état . Les bandes inscrites sont placées au niveau des yeux. Type du Tiraz semble avoir été conçu pour les inhumations. Les musulmans prêtent une grande importance à la préparation du corps avant l’enterrement : embaumement , habits… Inscription : rôle politique + consécration appropriée au passage dans l’au-delà. Les califes te ce qui les entoure sont considérés comme sacrés. Le nom, écrit ou dit, est présence de sa sacralité. Témoignages d’un calife à qui un assistant avait demandé des vêtements à lui pour s’en faire un linceul : il y avait des dons de vêtements funéraires par des personnages sacrés. Tradition qui perdure sous les Fatimides.. Peu d’infos sur les périodes omeyyade et abbasside. On pense que cela a pu entraîner une tradition de linceuls au nom du calife, à différentes périodes : qualité de bénédiction des tissus au nom du calife, protecteurs pour le jugement dernier. Pour les gens qui n’ont pas les moyens il y a des imitations. Les tiraz ont pu être d’abord une pièce d’habillement qu’on a ensuite choisis pour le contexte funéraire. Ont pu représenter une production impériale destinée à être offerte en cadeaux aux membres de la cour. Pratique d’utiliser des vêtements usés pour les contexte funéraire provient du prix élevé des tissus. Tendances puritaines de l’Islam refuse qu’on emploie des tissus de luxe. Les tiraz étaient portés par les vivants (preuves dans les représentation). Leur conservation est due au contexte funéraire, grâce à l’humilité des matériaux et à des inscriptions à caractère sacré. J.M. Bloom,Les Fatimides (909-1172), leur idéologie et leur art, p.15-27
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