COVID-19 - Un virus en misison
74 pages
Français

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COVID-19 - Un virus en misison , livre ebook

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Description

Le monde évolue. Tout avance, inoxérablement. L'homme détruit laNature et corrompt sa nature. Les dégâts sur son "étant" semultiplient. Mais, fier de ses prouesses technico-scientifiques, ils'enfle d'orgueil, sans cesse ...On le voit donc, l'état des lieux que nous présente l'auteure estglaçant. Mais son regard méthodique et optimiste nous indique desperspectives rassurantes.Bien que traitant de sujets graves, "Covid 19, un virus en mission" selit comme un roman de gare.

Sujets

Informations

Publié par
Date de parution 01 janvier 2021
Nombre de lectures 69
Langue Français

Informations légales : prix de location à la page 0,0500€. Cette information est donnée uniquement à titre indicatif conformément à la législation en vigueur.

Extrait

L’homme a marché sur la lune, pulvérisé l’atome, anéanti les frontières englouties dans sur un espace mondial virtuel appelé village planétaire. L’être humain, ayant infiniment repoussé les limites de sa nature, s’est mis à détruire la nature et, se gaussant de la défaite de celle-ci, s’est endormi sur ses lauriers. Un matin, l’humanité est tirée de son sommeil ‘’des justes’’, réveillé par un tout petit être, un minuscule virus qui sème l’épouvante dans le cœur et l’esprit du commun des mortels tandis qu’il ridiculise la science, imbue de prétentions. Covid 19 s’invite à la danse et envahit la piste mondiale. Elle se développe, se répand et mue. Insaisissable, elle tue inexorablement, impitoyablement selon une sélection programmée paramétrée par son propre ‘’cerveau’’. On la traque, elle s’avanouit. On la tient, elle mute et devient autre. Sans arme efficace contre elle, on se résout à un morceau d’étoffe pour s’en protéger, à la propreté des mains et à la distanciation sociale. Et puis, on se remet en cause, en tant qu’individualité ivre de droits, assoiffée de liberté, imbue d’orgueil.
Quelle est l’origine réelle de ce virus ? Doit-on sa survenue à la manipulation chimio-bactériologique de l’homme ? Est-ce une arme inventée par la nature pour se venger des agressions de l’homme ? Les remèdes qui sont proposés sont rejetés par une communauté scientifique dont la légitimité et la neutralité font débat. Des vaccins sont proposés tous azimuts et en catimini. Ils sont sujet à caution ou sérieusement contestés. Comment faire pour se débarrasser de ce petit être assassin invincible ? Peut-on vivre avec lui éternellement ? Nous essayons, tout le long de ce récit écrit au jour le jour, de répondre à ces questions. Par endroits, certaines problématiques peuvent sembler dépassées, d’autres trop actuelles, c’est-à-dire provisoire. Puisqu’avec Covid 19 tout est provisoire et incertain, prenons le temps de réfléchir.
e Pour la 4 de couverture
Einstein, avec Infeld, affirme : « La science n’est pas et ne sera jamais un livre achevé. »
Nous sommes intelligents et forts. Notre condition est de nous adapter, de lutter et de nous faire une place pour vivre apaisés au-delà de toutes les turbulences. Tout n’aura pas été négatif dans cette pandémie.
C’est dans la souffrance, dans la douleur que nous faisons, nous réalisons, que nous nous affirmons comme êtres libres et intelligents.
IPREMIERE PARTIE COVID 19 / UNE AFFAIRE DE LABORATOIRE ?
Chapitre 1
La science et la covid
Il fut un temps où la science, à elle seule, s'érigeait, avec une déconcertante légitimité, en farouche gardienne d'un espoir pour une haute humanité à égale dignité, sans distinction d'origine raciale ni d'appartenance culturelle ou religieuse. Elle avait brillamment séduit par ce sublime projet de fonder une communauté humaine animée par le seul souci de comprendre les phénomènes naturels et humains. Ce n'est pas étonnant qu'elle pouvait naguère prétendre englober toutes les dimensions du savoir. Les recherches d'alors entreprises ne pouvaient nullement inquiéter. Les recherches et la pratique médicale, par exemple-bien qu'ici, frisant la frontière entre science et la technique - n'avaient que le seul but de soulager le genre humain. Le sermon d'Hippocrate en est une illustration. Comment un vaccin interdit quelque part peut-il
bénéficier d'une promotion ici par exemple ? Sommes-nous si différents ? Le problème qui secoue aujourd'hui la science peut être formulé sous la forme de la déstabilisation du déterminisme. Ainsi l'incertitude devient l'hôte éternel de la science et la suit comme son ombre. Delà, la science perd de plus en plus sa capacité à prévoir comme le chantait Comte. De plus en plus des phénomènes qu’on n'attend presque jamais se montrent et bouleversent la maîtrise qu'on pensait illusoirement avoir de la science. C'est exactement ce que nous révèle la covid-19 qui nous a pris de vitesse et ne cesse de nous prendre par surprise. Le virus ne cesse de muter comme s’il se joue de nous. On pourrait penser qu'il est doté d'une intelligence et d'une conscience telles qu'il veut se jouer des êtres orgueilleux que nous sommes. Il veut ainsi, en jouant avec nous, montrer notre insignifiance. Cette situation désacralise dans une certaine mesure la science qui, pendant longtemps, était idéalisée. Aujourd'hui l'erreur et l'incertitude accompagnent la science. En fait, on est arrivé dans un moment grave ou la précaution accrue interdit l'action et de même le risque accru serait dangereux. En sus
de cela, il faut ajouter que la science est devenue sophistiquée et il faut par-là savoir que les risques seront à la hauteur de cette même science. C'est le revers de la médaille. Mais que faut-il faire alors ? Le risque semble être la solution mais il sera encadré avec précaution.
Chapitre 2
De la nécessité d’être pragmatique
La chloroquine divise aujourd’hui la communauté scientifique. Cette situation soulève une série de questions : faut-il donner plus de temps à la science et laisser les patients mourir de la létalité du virus ? Devant la psychose et la panique populaires, faut-il renoncer au recul que requiert la science ? Doit-on privilégier le business devant l’urgence de sauver des vies humaines ? N’est-il pas plus sensé de soumettre le respect du protocole scientifique d’homologation d’un médicament à l’urgence de soigner et
d’atténuer des souffrances ? Je tiens à préciser qu’on doit agir pour éviter une catastrophe sanitaire mondiale. En période de crise, le peuple a besoin d’espoir pour comprendre et diminuer la psychose populaire. Même le pragmatisme efficient voudrait une action à la place de la spéculation pour sauver des vies humaines. Si on peut suspendre son jugement dans le domaine de la pensée, au contraire l’action ne souffre d’aucune irrésolution, nous dit René Descartes. Pour le professeur Raoult : « L’efficacité potentielle de la chloroquine sur les modèles de culture virale, on la connaissait et savait que c’est un antiviral efficace. On a décidé, dans nos expérimentations, d’ajouter un traitement d’azithromycine (un antibiotique contre la pneumonie bactérienne), pour éviter les surinfections bactériennes. Les résultats se sont révélés spectaculaires sur les patients atteints de la covid-19. » C’est d’ailleurs la raison pour laquelle les scientistes pensent que la scientificité d’une science se prouve. Pour eux, il n’y a pas de vérité établie définitivement dans la mesure où la vérité dans les sciences expérimentales est
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