La Bonne Donne et la puissance citoyenne
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La Bonne Donne et la puissance citoyenne , livre ebook

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Description

Après de nombreuses heures passées à étudier ce qui existait officiellement en économie, en politique et dans les milieux financiers, je suis reparti de zéro avec une méthode de chercheur telle qu’il en existe dans les sciences physiques. Bien m’en a pris, car en analysant le principe de création monétaire actuel, je découvris que citoyens et sujets étaient dépouillés de leur argent à leur insu. En récupérant notre souveraineté en ce qui concerne la création monétaire, en utilisant quelques méthodes employées par le passé et qui ont réussi, il est possible de redresser le pays et se mettre en accord avec l'environnement.

Sujets

Informations

Publié par
Date de parution 31 juillet 2019
Nombre de lectures 0
EAN13 9782414362349
Langue Français

Informations légales : prix de location à la page 0,0052€. Cette information est donnée uniquement à titre indicatif conformément à la législation en vigueur.

Extrait

Couverture
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Cet ouvrage a été composé par Edilivre
194 avenue du Président Wilson – 93200 Saint-Denis
Tél. : 01 41 62 14 40 – Fax : 01 41 62 14 50
Mail : client@edilivre.com
www.edilivre.com

Tous droits de reproduction, d’adaptation et de traduction,
intégrale ou partielle réservés pour tous pays.

ISBN numérique : 978-2-414-36235-6

© Edilivre, 2019
Chapitre 00 Introduction
Le but de ce texte est de démontrer que le fonctionnement bancaire (qui relève de l’activité des banques), et monétaire (relatif à la monnaie, à sa fabrication, et parfois à sa valeur) ne permet pas à toute la population – désireuse de travailler – de vivre correctement.
Les chapitres s’enchaînent selon l’ordre chronologique de mes recherches et de mes découvertes.
… quelques indices
Durant l’été 2016 un ex-président de la Commission européenne, après une présidence de 10 années, a rejoint Goldman Sachs, une banque internationale d’investissements de tout premier plan.
La Commission Européenne est l’organe majeur de l’Union Européenne : elle a un pouvoir législatif et exécutif.
[L’Union européenne (UE) est l’association volontaire d’États européens, dans les domaines économique et politique, afin d’assurer le maintien de la paix en Europe et de favoriser le progrès économique et social].
Il faut découvrir ce qui se passe vraiment pour sortir d’une situation économique triste, situation qui, par exemple, dure depuis 1974 en France ; aussi faut-il prendre le temps de lire et réfléchir pour extirper le ou les principaux points techniques qui produiraient cet état de fait.
Le traité de Lisbonne est le dernier traité en vigueur. Il régit le fonctionnement de l’Union Européenne.
La situation économique n’est pas très bonne depuis 1974 en France, malgré le but affirmé dans le préambule cité entre crochets ci-dessus. Un préambule analogue apparaît dans tous les traités concernant la construction européenne : cette constitution, toujours en élaboration, vise à la paix, à la garantie des libertés et à la défense des intérêts des membres.
Il est vrai qu’il n’y a plus eu de conflit guerrier général entre nations européennes depuis 1945. C’est un point positif et appréciable.
Par contre il y a quelque chose de bizarre lorsqu’on regarde l’économie des pays européens : quels sont les pays vraiment prospères ?
Avec l’attitude de cet ancien président de la Commission Européenne, on a une indication que des banquiers internationaux s’intéressent à la vie politique.
Nos représentants de la population, comme monsieur Georges Pompidou à son époque, ont-ils fait pour nous, citoyennes et citoyens, sujettes et sujets, du mieux qu’ils le pouvaient ?
La France a connu une période économique prospère entre les années 1945 et 1974, années appelées parfois « les Trente Glorieuses ».
Certes l’élan de reconstruction du pays après la fin de la seconde guerre mondiale expliquait ce dynamisme économique, mais en partie seulement. Durant toute ces années bonnes économiquement l’État français faisait aussi fonctionner la « planche à billets ».
Cela est une image ; elle signifie que l’État français comblait son déficit en demandant des prêts à 0 % à sa banque centrale, en l’occurrence la Banque de France. De plus les citoyennes et citoyens français empruntaient très peu à leurs banques commerciales. Et les gens qui empruntaient devaient avoir déjà de belles économies en banque pour se voir accorder un prêt. Bref, tout cela limitait les emprunts et donc les remboursements.
Le but des banquiers internationaux
Il est à découvrir d’une manière scientifique.
Les refus populaires
Le Brexit (c’est-à-dire la sortie de la Grande-Bretagne de l’Europe) est la décision prise lors du referendum de 2016 par la majorité des sujettes et sujets Britanniques qui n’ont pas vu comment leur avenir pouvait être reluisant avec l’Europe classique, laquelle Europe n’est pas en très bon état depuis plusieurs décennies.
Le traité établissant une constitution pour l’Europe fut rejeté la première fois par référendum le 29 mai 2005 en France, et fut rejeté le 1 er juin 2005 aux Pays-Bas.
Intuition ou déraison ?
Il m’a été possible de répondre à cette question suite à mon travail de recherche.
Les différents traités européens
Comme il peut exister de la confusion au sujet des traités européens voici la liste des différents traités qui ont été signés pour établir une Europe politique :
Le traité de Paris, signé le 18 avril 1951 ; entré en vigueur en juillet1952
Le traité de Rome, signé le 25 mars 1957 ; entré en vigueur en janvier 1958
L’Acte Unique Européen, signé le 17 février 1986 ; entré en vigueur en juillet 1987
Le traité de Maastricht, signé le 7 février 1992 ; entré en vigueur en novembre 1993
Le traité d’Amsterdam, signé le 2 octobre 1997, entré en vigueur en mai 1999
Le traité de Nice, signé le 26 février 2001, entré en vigueur en févrie r 2003
Le traité instituant une Constitution pour l’Europe, signé à Rome le 29 octobre 2004, n’est jamais entré en vigueur
Le traité de Lisbonne, signé le 13 décembre 2007, entré en vigueur le 1 er décembre 2009.
Il est le dernier traité en vigueur
Chapitre 0 Présentation des traités visant à la construction européenne depuis 1945 (Tous sont entrés en vigueur, sauf celui de 2004)
J’ai finalement créé ce chapitre car il y a une source de confusion possible à propos des traités énumérés précédemment. Certains de ces traités sont appelés de plusieurs façons.
Et leur lecture est vite rébarbative.
Le traité de Paris , instituant la Communauté Européenne du Charbon et de l’Acier (C.E.C.A.), signé le 18 avril 1951, entré en vigueur en juillet 1952, une fois que tous les pays l’avaient ratifié (déclaré valable par les élus et/ou rois, reines… les représentants officiels de chaque pays en suivant la procédure que fixait leur propre Constitution).
Le traité de Rome , signé le 25 mars 1957, entré en vigueur en janvier 1958, désigné parfois par Les traités de Rome , et parfois encore par Le traité sur le fonctionnement de l’Union Européenne (TFUE)
Donc, dans les faits, il y a eu signature le même jour de deux traités, l’un donnant naissance à la Communauté Économique Européenne (CEE), l’autre à la Communauté Européenne de l’Energie Atomique (CEEA ou Euratom). ( https://www.cvce.eu/obj/traite_instituant_la_communaute_europeenne_rome_25_mars_1957_version_consolidee_1992-fr-b4df145a-2d2c-479f-839b-287dc39c1c78.html )
L’Acte Unique Européen , signé le 17 février 1986, entré en vigueur en juillet 1987, visant à améliorer la situation économique et sociale, et par lequel Bruxelles pour la première fois marque son intérêt pour les questions migratoires ( https://www.senat.fr/rap/r99-438/r99-4380.html )
Le traité de Maastricht , appelé aussi le Traité sur l’Union Européenne (TUE) , signé le 7 février 1992, entré en vigueur en novembre 1993, qui a renforcé le Parlement Européen dans son rôle législatif. ( http://www.senat.fr/europe/pe_amsterdam.html )
Ce traité a institué l’Union Européenne (UE).
« Le traité de Maastricht ouvre une première brèche dans la souveraineté des États ». ( https://www.senat.fr/rap/r99-438/r99-4380.html )
Le traité d’Amsterdam , signé le 2 octobre 1997, entré en vigueur en mai 1999.
« Il renforce encore le rôle du Parlement Européen pour la désignation du Président de la Commission Européenne ». ( http://www.senat.fr/europe/pe_amsterdam.html )
« La principale innovation du traité d’Amsterdam réside dans l’introduction dans le traité instituant la Communauté européenne d’un nouveau titre (titre IV) consacré aux visas, à l’asile, à l’immigration et aux autres politiques liées à la libre circulation des personnes ». ( https://www.senat.fr/rap/r99-438/r99-4380.html ()
Le traité de Nice , signé le 26 février 2001, entré en vigueur en févrie r 2003.
« Le traité de Nice a pour objet de rendre les institutions européennes plus légitimes et plus efficaces dans la perspective de l’élargissement de l’Union, qui va passer de quinze à vingt-sept membres ». ( https://www.senat.fr/europe/traite_nice.html )
Le traité de Rome de 2004 , également appelé Traité de Rome II , ou encore Traité instituant une Constitution pour l’Europe , ou encore Traité instituant la Constitution européenne , ou encore Traité établissant une Constitution pour l’Europe ou encore Traité Constitutionnel Européen (TCE) signé le 29 octobre 2004 par les chefs d’État membres de l’Union européenne. Ce traité n’est toutefois pas entré en vigueur par suite de son rejet par référendum en France et aux Pays-Bas en 2005.
Le traité de Lisbonne , signé le 13 décembre 2007, entré en vigueur en décembre 2009.
Il peut être appelé Version consolidée du traité sur l’Union Européenne [Traité de Maastricht] ; il peut être encore appelé Version consolidée du Traité sur le Fonctionnement de l’Union européenne [Traité de Rome de 1957].
Il est aussi constitué de Protocoles – Annexes – Déclarations annexées à l’acte final de la Conférence intergouvernementale, conférence qui a adopté le traité de Lisbonne signé le 13 décembre 2007 – Il n’est pas aisé de le lire.
Selon https://www.senat.fr/rap/r07-188/r07-1889.html , dans sa conclusion :
« … Tout permet d’espérer que, comme dans le passé, l’Union réagira aux épreuves et aux crises de l’avenir en progressant sur la voie de l’intégration qui, toute en respectant les identités nationales, lui permettra de s’affirmer sur la scène du monde . »
et un peu plus tôt :
« … L’abandon de toute référence à la notion de « Constitution » ainsi que la suppression des appellations nouvelles telles que « ministre des Affaires étrangères », « lois » ou « lois-cadres », l’élimination des symboles de l’Union (drapeau, hymne, devise) ne change rien au fond des réformes mais traduisent la volonté de la Grande-Bretagne et des nouvelles démocraties de l’Est de s’opposer à une évolution fédérale de l’Union.
Le Traité de Lisbonne ne comporte que sept articles. L’article 1er contient les m

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