La Montagne d'argent

Mwana Tsengué

Description

Obliger la gouvernance à prendre conscience de la validité d'une épistémologie élargie utilisée pour cartographier sa destruction tant qu'elle s'y refuse... La première partie du travail fut publiée le 7 juin 2017 sous le titre Au péril de la France. Explicitant ainsi le lien intrinsèque entre les épisodes terroristes en France et la destruction de la V^e République engagée à partir du 26 juin 2016, j'y prédis que le président Macron, s'il n'entend pas, se dirige vers un naufrage. Toutes les tentatives de communication effectuées après le 7 juin 2017 furent assemblées sous le titre La Montagne d'argent. Le rejet du manuscrit, le 29 octobre 2018, constitua le signal précurseur, communiqué à la PJ de Lille, des violences à venir. Le futur de la France est en question, comme jamais.

Sujets

• Essais littéraires

Informations

• Publié par: Edilivre
• Date de parution: 15 avril 2019
• Nombre de lectures: 0
• EAN13: 9782414333707
• Langue: Français

Extrait

Mwana Tsengué

La Montagne d’argent

Postscriptum à Au péril de la France

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Avant-propos

Toute la correspondance partagée dans les pages qui suivent, relative à la supervision d’événements tragiques, résulte de la mise en application d’un lâcher prise, m’invitant à me désintéresser du qu’en-dira-t-on. Au fond, tout cela ne vient pas de moi. Je suis juste un transcripteur, certes engagé, de messages dont j’ai à transmettre une tonalité de la manière la plus authentique possible avec les mots d’aujourd’hui. Le lecteur sera peut-être choqué en découvrant certains aspects auxquels il ne se sent pas préparé. Qu’importe ! C’est inévitable lorsqu’on opère dans le cadre d’un système de pensée alternatif ou bien, ce qui revient au même, à partir d’une autre structure de conscience. Je conçois ce livre aussi comme un coup de poing asséné et par conséquent, destiné à provoquer un choc salutaire. Mais pas seulement : c’est avant tout une pièce à conviction que je produis à la disposition du pays tout entier afin de « faire avancer le jeu » de façon décisive. Quelle que soit la nature de la réception. C’est sans importance au fond. Sauf qu’il y aura infiniment moins de sang à verser si je suis entendu, comme je l’espère.

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La conscience humaine se trouve, à ce moment précis de l’histoire, en situation d’incompétence face à la crise planétaire qu’elle a provoquée après des siècles d’évolution scientifique et technique. En réalité, c’est bien plus grave encore que cela. Car c’est sans avoir, pour l’heure, pris conscience de ses limites intrinsèques. Les grandes instances de validation de la société humaine, cela va des partis politiques aux départements universitaires, en passant par les églises ou les entreprises, n’arrivent pas à le voir. Ou bien, ne le veulent pas. Attendre une reconnaissance de ce fait majeur, semble illusoire. Tout se passe comme si, l’instance capable de le faire n’existait pas encore. Guidé par ces instances borgnes, le Monde, lui-même aveugle chemine sans direction claire, autre que celle d’une destruction tous les jours plus étendue et plus irréversible. La portée du présent ouvrage apparaît, en même temps, étroite et large. Étroite, parce qu’il s’agit de revenir sur la recherche très ciblée que mène l’auteur depuis de nombreuses années, afin de faire émerger une « Nouvelle Synthèse » (NS) sur la scène de la pensée. Large, parce que tout ce qui est présenté ici vise surtout à catalyser tout le travail déjà réalisé. Ce qui implique la diffusion de « pièces à conviction » qui n’ont pas été encore publiées (éventualité annoncée dans Action intérieure & Épistémologie élargie). L’effort d’explication se trouve entravé par le fait d’une caractéristique remarquable de cette connaissance en plein développement, à savoir qu’elle ne rentre dans aucune case prédéfinie existante. Un rigoureux cloisonnement semble, en effet, une marque majeure de la conscience actuelle. Nul part ailleurs que dans le système universitaire, ce trait marquant est autant prononcé. Chacun des tiroirs dans lesquels on serait tenté de ranger la NS se révèlent bien trop

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étroits pour elle. Ces dernières années, son rayon d’action et d’intégration s’est étendu de la théologie à la linguistique, en passant par la physique théorique ou la question de la gouvernance. Il est peut-être temps de reprendre la tentative d’explication à son point de départ. Si cela peut aider à rejoindre le futur qui se trouve devant nous. Sachant que, pour le moment, le pont nécessaire à la traversée n’est pas encore mis en place. Il semble donc nécessaire d’instaurer au plus vite, aux côtés des institutions ou instances déjà existantes, une zone de pensée profonde, transversale et verticale, ayant pour vocation de servir d’instance de validation universelle, c’est- à-dire capable de traiter de tous les problèmes. Absolument tous. Sans restrictions et sans exclusions. Mais à un autre niveau que celui de la connaissance spécialisée, purement mentale-rationnelle, tout à fait usuelle. Son outil de choix sera celui du « cercle herméneutique » permettant de relier des points qui, en apparence, n’ont rien à voir entre eux. Cette zone aura vertu de rester en marge de la conscience humaine. C’est-à-dire, à l’écart, afin de conserver son intégrité de pensée. Elle devra produire des informations de nature directionnelle. En d’autres termes, des visions. Elle aura toujours un coup d’avance sur la conscience humaine, car appartenant par nature au futur, le présent ne sera pour elle qu’un domaine d’application. Aller haut et profond, telle sera sa tâche. A travers les langages et les perspectives. Imaginons, un instant, la conscience humaine à la façon d’une sphère, au sein de laquelle régnerait une agitation sans fin. Tout autour, se trouve l’inconnu. Le philosophe allemand Karl Jaspers aurait utilisé un autre vocable : « l’englobant. » Les institutions actuelles de la société humaine se retrouvent en situation d’incompétence

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pour une seule raison : précisément parce que, par principe, elles excluent que l’inconnu puisse être en interaction directe avec nous. Par exemple, qu’il puisse nous influencer et constituer de ce fait un point d’attraction. Sauf un seul type d’institutions : les religions, ou autres mouvements spirituels, bien entendu. Malheureusement, d’une façon qui, même pour les meilleures d’entre-elles, ne peut en aucune manière répondre totalement au strict cahier des charges de la post-modernité. Premièrement, les instances de validation les plus sérieuses ou les mieux respectées réduisent l’inconnu à quelque chose de purement mental-rationnel auquel il ne se réduit pas en réalité, c’est-à-dire une somme de connaissances ou d’informations, si possible scientifiquement accessibles. Deuxièmement, c’est une conséquence du premier point, des informations d’un type particulier, cruciales, sont de facto écartées puisqu’elle traverseront le filtre, jusqu’à un certain point arbitraire ou simplement résultant d’un consensus de conscience qui peut être légitimement remis en question. Ce qui est exactement ce qu’il faut faire, par ailleurs. Car, désormais, nous avons crucialement besoin de laisser entrer ces informations à l’intérieur de la sphère de conscience humaine, même si c’est au prix d’une généralisation ou d’un élargissement de la méthodologie scientifique, au sens strict du terme. Une telle démarche s’appelle « épistémologie élargie ». En d’autres termes, un autre type de connaissance doit émerger. D’une essence infiniment plus subtile, en un sens, que celle dont nous faisons couramment usage. Parvenu à ce point, le lecteur pourrait être tenté de croire, à juste raison, que l’on nage ici en pleine science- fiction. Ces considérations relevant toutes de l’hérésie la plus folle. En fait, il n’en est absolument rien car ce travail

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d’ouverture a déjà commencé depuis plusieurs années. Toute la supervision de la phénoménologie terroriste des années 2015-2018 en résulte. Ceci fut explicité dansAu Péril de la France, paru le 7 juin 2017. Avec pour fruit le schéma de la phase 83 (SP83 – Cf. Annexe 3). Comme cela fut montré dansAction intérieure & Épistémologie élargie, publié le 2 mars 2018. Le travail, dans son ensemble, arrive peut-être au seuil de perception et de compréhension, à présent. En raison de l’accumulation des pièces à conviction. A cause du fait, surtout, que l’on sort à présent d’une phase très empirique, reposant en grande partie sur des tours de force de l’intuition. Avec le recul, on est en droit de se demander comment une telle chose fut possible ! Le cercle herméneutique est d’ores et déjà bien en place. Tout converge vers le SP83. Tout nous conduit à une physique de la conscience dans le temps dont il reflète l’existence ou ne serait-ce que la possibilité. Ne reste, par conséquent, plus qu’une chose à effectuer : le faire comprendre le plus largement possible. Mais c’est loin d’être gagné ! Preuve supplémentaire de l’incompétence de la conscience humaine. La mienne, sans doute, puisque je n’ai pas encore réussi à atteindre cet objectif. Celle, aussi, des institutions auxquelles je me suis adressé au cours de ces dernières années, sans l’ombre du moindre doute. Une chose frappante apparaît, tentative de communication après tentative de communication : les « décideurs », le nez dans le guidon, pédalent à fond sans prendre le temps de considérer la direction empruntée. Ce qui compte, aux yeux de tous, c’est plutôt d’aller vite et loin. Si vous voulez leur communiquer des informations qui pourraient leur être utiles, la réponse est toujours la même : ils sont trop occupés pour vous parler. Pourtant, on les voit

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souvent perdre leur temps dans des émissions de télévision stupides. Ou bien, plus généralement, avoir loisir de dilapider leur crédit avec des inepties. C’est un constat si vrai, quel que soit le domaine d’activité que l’on considère. Vous ne serez jamais assez important pour eux, à moins de faire partie, d’une façon ou d’une autre, de leur chaîne alimentaire. Par exemple, si nous sommes en période électorale… Nous avons, bien au contraire, plus que jamais besoin d’une gouvernance d’un type radicalement nouveau. Fondée en grande partie sur la vision et sur l’intuition. Laissant le soin, à d’autres de mettre en musique. Nous avons besoin de « leaders » se donnant l’opportunité d’aller se promener sur ce qui peut être perçu commeLa Montagne d’Argentafin de pouvoir forger cette vision sacrée qui nous manque tant. Que pourrait-il y avoir, enfin, de plus important pour eux ? Mais il ne peuvent réussir sans y être guidés par ceux qui se donneront mission d’en explorer tous les recoins accessibles. Ce qui sera, précisément le rôle de cette « zone de pensée profonde » dont je parle ci-dessus, à mettre en place. Nous sommes arrivés, collectivement, à la croisée des chemins. Si nous ne prenons pas le temps de lire, donc de saisir en profondeur, ce qui est écrit sur les panneaux, comment pouvons-nous trouver le bon chemin ? Comment sera-t-il possible d’éviter les obstacles, se faisant de plus en plus nombreux sur la route d’un Monde soumis à la loi implacable du chaos ? Finalement, telles sont les questions que j’ai indirectement posées à tous ceux, placés dans l’appareil de l’État, ayant reçu les pièces à conviction produites depuis plusieurs années. Mais ils n’ont pas compris le sens. N’étant pas prêts. Et ainsi ils n’ont pas su éviter les attentats. Il y en aura d’autres s’ils persistent à ne pas vouloir évoluer. Nous

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n’avons peut-être encore rien vu. A tout instant, les signes précurseurs d’un problème majeur peuvent se manifester, entraînant la rédaction d’une nouvelle pièce à conviction, telles que celles qui sont publiées dans le présent ouvrage, ou bien les précédents. J’ai l’intuition profonde que la nouvelle tentative d’explication que ce livre incarne, s’inscrit naturellement dans le cadre de menaces à venir, pourquoi pas d’un genre nouveau. Les mises en garde de l’avant-propos deAu Péril de la France, se sont matérialisées au cours de l’année qui a suivi. Tout a été supervisé, comme le lecteur aura l’occasion de le voir dans les lignes et les pages qui suivent. Je ferai le récit de rencontres ou d’échanges. Je sous-estimaisl’ampleur du blocage de la conscience humaine qui refuse d’avancer. Cela a été compris lors de l’année écoulée, au contact de personnalités éminentes. Ce n’est rien de politique ou d’idéologique qui bloque la voie de l’épiphanie. C’est plutôt une ouverture de conscience qui semble insuffisante. Une incapacité à factoriser certaines choses. Une résistance à la sortie du conditionnement mortifère. Une polarisation excessive sur des imbécilités qui constituent leur pain quotidien. Ce Monde, du moins ses facettes les plus sophistiquées, qu’elles soient conservatrices ou bien plutôt réformatrices, se laisse piloter exclusivement par le mental-rationnel de ses responsables. C’est vrai que, à l’échelle individuelle, maîtriser les codes et les langages, s’avérant ainsi capable de les articuler de la bonne façon, constitue déjà une base solide pour affronter l’existence au milieu des autres hommes. Les membres des instances de validation en place possèdent ces aptitudes dans une mesure qui n’est pas donnée à tous. Nul ne le conteste. Malheureusement, à présent, ce n’est plus du tout suffisant. D’autres compétences sont désormais

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requises. Tout se passe comme si le mental-rationnel ne pouvait plus faire face aux conséquences de son développement effréné. La complexité ainsi suscitée semble le dépasser. Tout retour en arrière étant illusoire, voire impossible. Même si la tentation de procéder ainsi se révèle irrépressible pour certains. Seule l’arrivée en scène d’un type de pensée fondée davantage sur l’intuition, tout en se réservant l’option de revenir, à tout instant, vers les terrains plus sûrs du mental-rationnel, pourra trancher le nœud gordien et permettre, sans doute, à la conscience humaine de dépasser les épreuves à venir. C’est une forme de connaissance radicalement nouvelle qui se prépare à nous irriguer. Ce qui a été accompli ces dernières années dans le cadre de la NS en procure un aperçu. Le SP83 cristallise nombre d’intuitions qui paraissent d’ores et déjà très fécondes. Il y a bien d’autres perspectives qui se mettront en place. Même s’il est juste impossible de le savoir en avance, parions que la pompe a été amorcée pour de bon !

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