Newton aurait aimé nous raconter cela
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Newton aurait aimé nous raconter cela , livre ebook

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Description

Depuis toujours, l’homme s’interroge sur l’immense système qui nous entoure, les étoiles, le cosmos, et notre place à l’intérieur de ce dit système. Quand et comment a-t-on découvert les dimensions de notre planète Terre ainsi que celles du Soleil et de la Lune ? De quelle façon l’étoile Soleil a-t-elle évolué au milieu des planètes mâles, femelles, ainsi que toutes les autres, et comment celles-ci se positionnent-elles ? Dans l’âme d’enfant insatiable de l’auteur résonnent de multiples questions sur l’astronomie – thème qui l’interpelle depuis ses cinq ans – à propos desquelles il ne cesse de chercher et réfléchir afin d’apporter une réponse. L’une de ses premières déductions se réfère tout simplement à l’étymologie du mot « cosmos », qui signifie « ordre » en grec, d’où l’idée d’une suite mathématique « ordonnée » pour tenter de comprendre la position des planètes entre elles et par rapport à la Terre. Puis il se penche sur la notion de pesanteur qui est une force d’attraction de gravitation en s’interrogeant : comment se fait-il que la Lune soit attirée par la Terre alors même qu’elle en est éloignée de 385 000 km ?

Sujets

Informations

Publié par
Date de parution 16 juin 2020
Nombre de lectures 0
EAN13 9782414317349
Langue Français
Poids de l'ouvrage 1 Mo

Informations légales : prix de location à la page 0,0127€. Cette information est donnée uniquement à titre indicatif conformément à la législation en vigueur.

Extrait

Couverture
Copyright













Cet ouvrage a été composér Edilivre
194 avenue du président Wilson – 93210 La Plaine Saint-Denis
Tél. : 01 41 62 14 40 – Fax : 01 41 62 14 50
Mail : client@edilivre.com
www.edilivre.com

Tous droits de reproduction, d'adaptation et de traduction,
intégrale ou partielle réservés pour tous pays.

ISBN numérique : 978-2-414-31735-6

© Edilivre, 2020
1 Dédicace
Je dédicace ce livre à ma « Muse » Elodie qui, passionnée des Etoiles et du Cosmos, et de par sa gentillesse et son amitié, a partagé les résultats de mes premières recherches. Non pas pour l’épater ou la séduire, mais pour avoir une personne avec qui je puisse parler de ces mystères : les hommes et les femmes de notre temps ne s’intéressent pas aux planètes et aux étoiles.
Ainsi de semaine en semaine depuis 2 ans, je me suis trouvé motivé sans trop faire d’efforts à chercher le pourquoi et le comment des choses.
Merci et grand Merci à la charmante Elodie dont son prénom a cinq lettres communes avec ETOILE et cela est un ravissant signe.
Une autre femme que je dois remercier : c’est ma fille Christine qui a eu l’amour et la patience de m’écouter lui raconter toutes ces déductions logiques du système solaire ; ce qui m’a permis d’agrandir mon auditoire et d’apprendre ma leçon et j’ai remarqué que ce qui était au début une écoute complaisante s’est transformée en l’acquisition d’un enseignement où elle pourrait expliquer comme moi ces découvertes.
Merci affectueusement à Christine qui est curieusement côté Pologne une petite cousine d’Elodie ce qui fait honneur à Copernic, notre premier découvreur.
Merci à Serge, à son épouse Sandra et à leur fille aînée Léa15 ans qui ont traduit mes gribouillis, et qui les ont présentés d’une manière attractive et professionnelle.
2 Introduction
Nos savants ont opté que la matière de l’univers est partie d’un point condensé pour en quelques secondes partir en expansion qui dure encore de nos jours.
Ils ne nous disent pas comment cette matière a été fabriquée. Ils ne nous disent pas non plus si cette fabrication a été arrêtée. Pour éviter deux interrogations, je pense que la matière continue à être fabriquée mais comment et par qui ? Dieu sans aucun doute.
Puisque donc la matière se fabrique tous les jours à partir du vide sidéral, on ne peut que constater qu’une expansion de l’univers : les amas sont de plus en plus lourds, les forces centrifuges augmentent et la matière s’expanse. Les vitesses de rotations augmentent aussi et limitent la dimension des galeries lenticulaires, à bulbes, spirales aux environs de 100 MPC.
Il faut savoir qu’à 100 Méga Pc 1 , on ne peut plus mesurer mêmes les fréquences Radio. 100 Méga Pc, c’est 1000 fois 100 MPC.
Plus la galaxie tourne vite sur elle-même, plus elle est petite par rapport aux galaxies lentes qui sont aux environs de 100 MPC. Notre soleil est à 10 KPC dans une galaxie de 30 KPC de diamètre. Pour moi comme je pourrai l’expliquer plus loin dans ce livre, c’est la lumière et sa vitesse de 3*10^5 km/s qui limite les dimensions des galaxies car la lumière est la matière la plus légère connue.
Le champ magnétique dont les savants ne parlent pas faute de connaissance de cet ordre qui semble ne pas être de la matière.
Ce champ magnétique est certainement de la matière puisqu’il se propage aux environs de la vitesse de la lumière !
La Pensée humaine qui a une redoutable vitesse ! Pensez donc en un instant que vous êtes sur la lune !
Cette Pensée humaine est issue de la matière ; elle a donc elle-aussi une limite dans l’échelles des vitesses.
Pour en revenir à l’univers force est de constater que tout tourne autour de quelque chose car si par exemple une lumière ou une onde radio était émise d’un point fixe, cette lumière irait à l’infini sans se décaler dans le rouge, où toute source se décale dans le rouge ce qui est la preuve de l’origine tournante.
Cette action de Rotation dépasse notre entendement dans l’univers et nous fait poser la question : où se trouve le centre de cette Rotation ? C’est du même ordre jusqu’où va l’univers ? Question que je me pose depuis l’âge de 5 ans en 1943.
Revenons chez nous dans notre galaxie spirale où le soleil dans une branche tourne à la vitesse de 260 km/s. Je dis 260 et non pas 250 puisque c’est la vitesse qui permet de calculer le temps sidéral de la Terre à 1 seconde près 23H56’ et 4’’ soit 236 s pour aller à 24H00. L’explication sera donnée plus loin.
Ce soleil est à la fois attiré par le centre de la galaxie et attend son tour pour passer au centre et reçoit du fait de la Rotation du tourbillon une force centrifuge qui vient équilibrer l’attraction comme dans tout tourbillon. C’est là le secret de notre gravitation qui somme toute est très simple à la différence que c’est le soleil qui transmet les forces qu’il a reçu aux planètes proportionnellement à leurs masses, qui, si elles ont un satellite comme la Terre transmet à nouveau ces forces galactiques proportionnellement à la masse de la lune.
Cette transmission des forces galactiques est la seule explication pour pouvoir justifier la marée solaire, lorsque la lune est en quadrature, sur la Terre la nuit en été à l’opposé du soleil et de la galaxie. C’est la force centrifuge diluée de la galaxie qui fait une bosse sur l’eau à minuit un soir d’été de l’hémisphère Nord.
C’est bête : ça ne vaut pas le coup d’expliquer la gravitation en ½ page alors heureusement il y a de nombreux « Pourquoi » à donner des réponses qui vont suivre.
1 ère question : Depuis quand l’homme a découvert les dimensions de sa planète, de la Lune et du Soleil ? Bien sûr c’est un homo sapiens (l’homme qui pense), apparu curieusement il y a 30 000 ans mais celui dont je vais parler est le dernier à ma connaissance qui a redécouvert toutes ces dimensions, il y a 4 700 ans en Egypte. Pourquoi l’Egypte ?
Pour faire ces découvertes, il faut deux conditions : le site et la civilisation d’un pays occupant tout le site telle que l’Egypte, le Mexique, le Chine du Sud. Ces trois pays dont le Sud est traversé par le Tropique du Cancer où en été les rayons du Soleil sont perpendiculaires au sol et dont la longueur Nord Sud est importante de l’ordre de 500 km et plus.
En ce qui concerne l’Egypte il y a 4 700 ans, Pharaon de cette époque décide de construire sa Pyramide et pour cela on achemine des blocs de pierre depuis le Soudan ou l’Egypte du Sud. C’est le Nil qui sert de transport. Inévitablement un batelier a deux résidences une au Caire et l’autre au Soudan.
Cet homme pour des raisons d’hygiène, comme cela se faisait à cette époque et même du temps des Romains, creusa un puits peu profond 2 mètres de diamètre et 2 mètres de profondeur, dans ses deux résidences et en été bien sûr.
Il remarqua que le Soleil dans le puits du Sud éclairait tout le fond du puits et par contre au Caire, il y avait une ombre le long de la paroi. Curieux il traça sur le sable le diamètre de son puits et sur ¼ du cercle, il reporta plusieurs fois la longueur de l’ombre et obtient entre 15 et 18 fois le report. Cela lui donna le quart du globe terrestre et en déduisit le diamètre de la Terre. De tout temps, les hommes ont connu la chambre noire et en Afrique où il y a de beaux soleils couchants, un rayon a pu pénétrer dans un hangar par un joli petit trou et projeter un beau disque doré sur le mur d’en face.
Il se peut que là aussi un homme curieux comme je l’ai été à 20 ans s’est amusé à relever le rapport entre la distance et l’image sur le mur. C’est le fameux rapport de valeur 110. Là aussi en dessinant sur le sable ce qu’il avait vu dans le hangar, l’homme en déduisit que le soleil était 100 fois plus gros que la Terre et que la distance au Soleil était 100 fois le diamètre du Soleil. Cela n’est pas de la géométrie mais le travail courant d’un ouvrier maçon. En ce qui concerne la lune, un autre homme avait remarqué que la lune avait lors d’une éclipse totale le même diamètre que le soleil tout en sachant qu’elle était plus petite. Là aussi il y a un rapport de 110 que l’on peut constater dans la chambre noire lorsque la lune n’est pas trop haute dans le ciel.
Pour trouver la dimension de la lune, il a fallu que l’homme de cette époque recherche un moyen et c’est l’ombre de l’Eclipse totale qui va lui donner la réponse. Mais comment mesurer l’ombre que se déplace d’Est en Ouest ?
Le moyen est simple sur un axe Nord Sud qui a été traversé par l’ombre de l’éclipse, l’homme va enquêter dans les villages placés sur cet axe Nord Sud auprès de ceux qui ont vu l’Eclipse totale. Cela lui a donné une distance de l’ordre de 30 km. L’affaire est dans le sac : retracé sur le sable, la lune donne sa dimension 110 fois 30 km = 3 300 km et la distance 3 300x110 = 363 000 km. Ceux sont des chiffres très proches de la réalité.
Voilà l’histoire poétique et simple de nos aïeux sur de simples constations.
L’Eglise avec ses savants appelés Cardinaux en est restée au texte du livre la Torah, la Bible où il est dit que les eaux primordiales dangereuses étaient autour de la Méditerranée et que donc la Terre était plate.
Je pense que cette peur des eaux primordiales est la mémoire de la catastrophe de Gibraltar qui a eu lieu il y a 8 000 ans lorsque le détroit s’est ouvert et que l’eau de l’océan de 250 mètres plus élevé a ravagé tout le bassin de la Méditerranée appelée à l’époque la Mare aux Grenouilles.
Puis 2 000 ans après cette catastrophe, c’est le déluge qui augmenta le niveau des mers du globe d’environ 60 mètres. Heureusement il y a l’archéologie pour venir apporter des preuves à ces belles histoires par exemple les deltas récents des fleuves du Rhône, du Nil, du Danube avec des repères tel que St Louis en 1200 quittant le port d’Aigues Mortes qui est maintenant à 6 km de la mer.
Ensuite nous allons parler de notre système solaire et des étoiles.
Une étoile s’entoure de planètes que lorsqu’elle vient à maturité, c’est-à-dire lorsque son noyau commence à prendre de l’importance c

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