Réplique au discours en congrès 2018 de Sassou III
242 pages
Français

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Réplique au discours en congrès 2018 de Sassou III , livre ebook

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Description

« L'oligarchie-kleptocrate congolaise vit ses dernières heures, dans son chaos indescriptible. Le pouvoir dictatorial s’évertue dans sa fausse voie et continue aveuglement dans l'expression de sa voix inaudible de la banqueroute et de la reddition socio-économico-politico-militaire. Pour contrer cela, en face de tous les Congolais, nous exprimons ici l'aboutissement d'un grand travail de réflexion sur le discours fait par le président de la République congolaise au congrès de Brazzaville. Il apporte une réplique consciencieuse au programme congolais qui est en train de se manifester actuellement. Aussi entendons-nous publier ce qui entraînera la réalisation de la Seconde Conférence nationale souveraine congolaise, qui libérera le peuple congolais de la dictature. »

Sujets

Informations

Publié par
Date de parution 03 mai 2019
Nombre de lectures 0
EAN13 9782414331604
Langue Français

Informations légales : prix de location à la page 0,0067€. Cette information est donnée uniquement à titre indicatif conformément à la législation en vigueur.

Extrait

Gaston Mahoungou
Réplique au discours
en congrès 2018 de
Sassou
III
----------------------------INFORMATION---------------------------Couverture : Classique
[Roman (130x204)]
NB Pages : 242 pages
- Tranche : 2 mm + (nb pages x 0,07 mm) = 19

---------------------------------------------------------------------------Réplique au discours en congrès 2018 de Sassou III

Gaston Mahoungou
19 962708
2

Un internaute a écrit sur les Réseaux sociaux ce qui suit :
Il existe cinq catégories de gens qui sont extrêmement
difficiles à ramener à la raison salutaire, par le conseil : -1 :
Une femme amoureuse qui ne veut pas voir le danger mortel
de son engagement sentimental. -2 : Un riche illettré qui ne
voit dans les projets d’investissements de ses conseillers, rien
qu’une arnaque pour dilapider ses trésors. -3 : Un militant du
PCT, qui conçoive sur l’alternance sociopolitique, rien que la
fin du pouvoir à vie de son président. -4 : Un Lari qui veut
partir en France ; et ceci, malgré les preuves que vous lui
apporterez, lui certifiant que l’Europe n’est plus un Eldorado ;
et ce, malgré les informations sur les tribulations du Sahel et
du Cimetière de la Méditerranée. -5 : Et les adeptes fanatisés
des Églises du Réveil.
Cependant il en avait oublié deux : -6 : Un Kamite
croyant que la Bible est la source de tous les maux sociétaux
noirs africains. Et, -7 : Un membre de la Diaspora qui croit
mordicus que, le dégagisme jusqu’au-boutisme de Sassou III
est la seule solution, au développement de la République
congolaise, ignorant les autres pouvoirs des plus efficaces.
Mais toi, Internaute, dans quel camp figures-tu ?
Arc-Amon, le défenseur de la civilisation
négro-juive-africaine.
3
4


5
6
Préambule
Oh, quel Discours présidentiel révélateur ! Révélateur de
ce qu’est la dictature à ce stade actuel de l’état de notre nation
congolaise. Mais, il évoque avec un sens cru ce qu’est le
Président de la République, c’est-à-dire un menteur qui a
cette manie de tromper des parlementaires et des sénateurs
qui, eux-mêmes, avaient contribué à l’élaboration de ce que
l’homme fort de Brazzaville devait leur servir ; et, le leur
rabâcher à bon escient. C’est ce qui a été constaté avec le
discours de présentation et de conclusion de cela, qui aura été
fait par Isidore M’Vouba angélisé, complice de ce maintien
de pouvoir sempiternel de 34 ans. Il a eu le toupet de nous
présenter un Denguès angélique et messianique, ce fourbe
d’Isidore M’Vouba ! Une des hontes politiques du pays,
parmi ceux qui osent faire miroiter une politique sans avenir
au Congo, mais, qu’ils décrivent comme étant meilleure. Des
marionnettes au service de l’oligarchie-kleptocrate des
présidents africains et des rois africains, qui dépouillent les
populations nationales… Comment est-ce que nous sommes
tombés si bas dans ce Congo-Brazzaville, qui nous présente
un Congrès quasiment M’Bochiïsé, à notre honte à nous ?
7 Celui qui n’est composé que des gens manipulés
sempiternellement par le dictateur ? C’est pitoyable comme
décor politique !
Une occasion pour le numéro un congolais de faire le
décryptage de son année 2018 et rebondir sur la situation
économique de son pays à lui ; ce qui a fait que durant les
50 minutes, il a abordé plusieurs questions relatives, à la
gestion du pays, en se protégeant dans la mise en œuvre
d’un plan de développement 2018-2022… Ainsi que sa
volonté de lutter contre la corruption, traduisant de la sorte
une batterie de promesses qui ne s’extériorisera pas ; car, ce
ne sont que des promesses sans lendemain, comme
d’habitude… Ce discours peut être considéré par n’importe
qui comme il voudrait ; et, le concevoir comme l’entendrait
chacun de nous ; et, en exposer chacun de nous, son propre
jugement, ses commentaires ; cependant, il y a un
dénominateur commun qui transparaisse dans sa locution,
c’est qu’il a fait réagir tout le monde. L’Opposition humilie
le Président pour cela. Car, en effet, il nargue le Congo
depuis toujours. Et c’est cela qui change la donne, en effet.
1 : Le renouvellement de notre engagement
dans le Combat ; et la réécriture
de notre ligne éditoriale dans le Combat :
Cet ouvrage intitulé :
– Droit de réponse au Discours de Dénis Sassou
N’Guesso 2018, est l’expression d’une ère politique, que
nous traduisons comme étant renouvelée, -par nos écrits-,
par nous et pour nous, qui combattons et écrivons ce qui
suit. Et cela, en réclamant à vive voix l’implantation ou
l’instauration en cette époque, de cette liberté, qui devra
8 ensemencer le renouvellement sociopolitique, exprimant la
liberté de penser, de s’exprimer et d’agir. Cette liberté est
reconnue comme retrouvée ou en pleine conquête, par ce
que nous produisons comme supports et produits littéraires
politiques, de la manifestation de cette liberté d’expression.
Cependant, nous parlons ainsi. Et c’est la même
expression en politique que nous reconnaissons en face de
nous. Le Discours du Président de la République aura
exposé la présence et l’existence de cette liberté…, dans
notre nation, à nous tous, n’est-ce pas ? Or, lui et nous
savons intrinsèquement que cette dernière n’est que de jure.
Elle n’a aucun impact pratique ou concret. Et pourquoi
cela ? C’est parce que, nous, les congolais, nous savons que,
ni nous, ni lui, n’étions jamais, sur le terrain pratique,
exposés au concret de l’expression de cette liberté. Aussi,
s’avère-t-il que pour faire qu’elle ne demeure plus de jure,
soit pour le pouvoir en place, soit pour nous les leaders
d’opinion, nous devrions entrer dans un autre champ. Une
sphère plus pratique, je voulais dire. Un engagement de le
démontrer vivement.
Ainsi, en face de tous les congolais et de toutes les
congolaises, nous nous rendons compte que cette manière de
faire les éloges de la démocratie devrait cesser, puisqu’elle ne
fait rien d’autre que, de favoriser la pérennité de la dictature
oligarque-kleptocrate qu’il maintienne, lui, sa famille
biologique, politique, militaire, économico-financière et
bancaire, et autre ; alors que la population en subit le coup
tordu, et le maintien dans la reddition
socio-économicopolitico-militaire, qui chiffonne tous les congolais.
Voilà pourquoi, au lieu de perpétrer le joug des
dictateurs congolais et congolaises de
l’oligarchiekleptocrate, sur la population qui subisse l’oppression, la
9 domination, l’exploitation, l’abrutissement, l’aliénation, la
prédation de la richesse nationale de cette sociopolitique sans
lendemains meilleurs, pour toute la population congolaise,
gisant pour la plus part, à 85 % sous le seuil de la pauvreté,
laquelle est misérablement indigente et exsangue ; nous
proposons de passer la ligne rouge séparant le jure du facto,
ou l’expression verbale de la liberté de penser, d’expression et
d’agir ; à l’affirmation pratique de la liberté de penser,
d’expression et d’agir, dans une assise concentrant le
rassemblement de tous les congolais et de toutes les
congolaises, lors de la Seconde Conférence nationale
souveraine congolaise, que nous proposons à tous ; et que
nous voulons réaliser à Brazzaville, n’en déplaise à certains de
mes amis qui penseraient que nous devrions le faire dans un
pays tiers, comme Adrien Houabaloukou, Laurent Dzaba, et
autres leaders des Combattants congolais ; ou sous la haute
surveillance de la Communauté internationale.
Nous nous assignons ce challenge.
Et nous ne voulons pas que les gens donnent des
prétextes, en disant que nous devrions associer la
Communauté internationale à ces assises. C’est notre
combat. Associer la Communauté internationale à ces
assises voudrait dire que nous voulons que la Communauté
internationale légitime la dictature, parce que nous voulons
que les Institutions internationales œuvrent avec nous
cumulativement avec la dictature. Il ne faut pas crédibiliser
la dictature auprès des Institutions internationales en les
associant à ce que nous entreprenons avec la dictature.
Non, nous devrions savoir que les préalables à la
réalisation de cela devraient être : -1 : La légalisation, par le
pouvoir en place, de ces assises comme devant être
souveraines. -2 : Le décret d’armistice de tous les prisonniers
10 politiques et des exilés sans exclusive, leur permettant de
participer à ces assises et de demeurer libre, au pays, et
ailleurs, pour y œuvrer librement dans la suite perpétuelle. -
3 : La dépolitisation des forces armées et sécuritaires, même si,
constitutionnellement, le Titre XIII, en ses Articles 204-207
de la Constitution, il y a la mention qui les déclare
apolitiques ; en sachant que sur le terrain pratique, ce n’est
pas le cas ; et, en le démontrant ; et le rétablissement de leur
autorité régalienne et celle d’arbitre de la Démocratie et de la
sécurisation du peuple congolais dans son ensemble et son
intégrité territorial. -3.1 : Par la Guerre du Pool de 2016 qui
aura été une fabrication des forces armées publiques
sassouïstes, fomentant contre des paisibles populations, le
prétexte attestant que, des Ninjas sabotaient des instruments
immeubles de l’État à Bacongo et de Makélékélé, alors qu’ils
n’étaient question que des faux Ninjas, produites par le
général François Ndenguet et autres ; et ensuite. -3.2 : Dans
l’incidence du prélat de N’Kayi Daniel Mizonzo, qui a été
admonesté par un gendarme M’Bochi, à un barrage
gendarme sur la voie reliant Loudima et N’Kayi, affirmant
ainsi qu’en temps de paix, il n’y a point la libre circulation des
congolais au pays. -4 : La prise en charge des membres de la
Diaspora devant y participer. -5 : L’établissement d’un code
d’honneur conviant les participants à ces assises d’intervenir
sans hypocrisie, ni mollesse, ni complaisance, en tout respect
pour tout régler sans laisser quelque chose en suspens ; mais,
en traduisant tout au jugement et à la proposition des
solutions, à apporter à tout cela, pour construire ap

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