Et si Allah n existait pas ?
298 pages
Français

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Description

Dans ce vibrant plaidoyer pour la protection de l'Europe chrétienne face à la menace représentée par l'islam, l'auteur fait part de ses préoccupations devant la montée des extrémismes qui nuisent aux libertés individuelles. Les principes prônés par la religion musulmane ne correspondent pas selon lui aux valeurs humanistes de la France. Analysant plusieurs faits qui ont marqué la société contemporaine au cours des dix dernières années, il explique en détail les raisons de son inquiétude. Ce tour d'horizon géo-politique vise à informer les générations futures pour mieux préparer l'avenir. De nombreuses citations issues de sources diverses viennent étayer ses propos.

Sujets

Informations

Publié par
Date de parution 02 mai 2018
Nombre de lectures 0
EAN13 9782414210886
Langue Français

Informations légales : prix de location à la page 0,0075€. Cette information est donnée uniquement à titre indicatif conformément à la législation en vigueur.

Extrait

Couverture
Copyright













Cet ouvrage a été composé par Edilivre
194 avenue du Président Wilson – 93200 Saint-Denis
Tél. : 01 41 62 14 40 – Fax : 01 41 62 14 50
Mail : client@edilivre.com
www.edilivre.com

Tous droits de reproduction, d’adaptation et de traduction,
intégrale ou partielle réservés pour tous pays.

ISBN numérique : 978-2-414-21086-2

© Edilivre, 2019
A sainte Sophie
Préface
Tout au long de ces dix nouvelles années perdues pour la France rasant les murs sous l’empire d’une (pseudo-) religion se comportant comme en pays conquis, j’use de mon droit de légitime réponse, si je puis m’exprimer ainsi, depuis la position privilégiée d’observateur que j’occupe au sein de la société civile.
Ceux qui me liront pourront constater à quel point la question de plus en plus lancinante et centrale de l’islam, y compris les prémices ayant préparé un terrain favorable à son redoutable enracinement au cœur même de notre terre chrétienne, n’a cessé de croître et embellir au cours de ces dernières dix années.
Nos élites se montrant incapables de réagir sainement, j’ai donc décidé de faire œuvre utile auprès de mes contemporains pour essayer de les convaincre, au niveau de la France « d’en bas » qui, d’ailleurs, est aussi le mien, de se former un jugement autonome sur la nature réelle de l’islam.
« L’islam a toute sa place en France, en Europe. C’est un grand défi des années qui viennent : faire la démonstration que l’islam est totalement compatible avec la démocratie, avec la République, avec l’égalité des hommes et des femmes, avec le dialogue » (Manuel Valls en 2015). Là aussi, j’attends des excuses !
Malgré tous les démentis infligés par « la pensée unique » et ses idiots utiles qui haïssent la Liberté, je n’ai plus de doute sur le fait que nous soyons confrontés à une folle entreprise de destruction massive de notre civilisation déjà fragilisée par les chocs d’une violence inouïe subis au XX ème siècle.
En mon âme et conscience, j’espère ainsi parvenir à convaincre tous ceux qui en accepteront l’augure de reconnaître, avant qu’il ne soit trop tard et qu’il ne leur reste alors plus de larmes pour pleurer, que le défi civilisationnel lancé par l’islam à notre pays comme à d’autres doit impérativement être relevé.
C’est dans cet esprit que je me suis attaché, au fil de ces dix années cruciales, à suivre pas à pas une actualité spécifique débordante de signes annonciateurs dont, à mes risques et périls, j’ai tenté d’en extraire le sens profond, tragique à mes yeux, pour alerter mes contemporains sur les affres à venir du seul fait de l’islam.
Année 2006
Le 26 février 2006 Les voleurs d’âmes.
Dieu sait que je n’approuve pas forcément toutes les idées de Philippe de Villiers, mais qu’il ait été viré manu militari de la manifestation parisienne en mémoire de Ilan Halimi me fait positivement horreur.
Ceux qui se sont permis une telle infamie ont ainsi attenté à l’honneur de tous les Français en essayant, à leur habitude, de s’approprier un grand malheur pour justifier leur fausse morale.
Qu’ils sachent désormais que nous sommes prêts à rendre coup pour coup de façon que le peuple français, qui doit enfin sortir des limbes, prenne les moyens de démêler le vrai du faux.
Le 27 mars 2006 L’esprit de juin 40.
Dans la position statique par force qui est la mienne, et même si je peux ainsi faussement paraître me tenir en dehors des réalités, mes pérégrinations livresques dont je soigne l’éclectisme m’ont récemment conduit à lire « La génération Battisti » , de Guillaume Perrault (Plon).
Tirée de ce livre (p.113), je voudrais ici livrer une citation de Marc Bloch extraite de son propre ouvrage écrit en 1940, « L’étrange défaite 1 » , comme si, justement, l’étrange défaite de juin 40 ne cessait de planer, depuis 75 ans, sur la tête des Français à l’instar d’une épée de Damoclès.
« Peut-être serait-ce un bienfait, pour un vieux peuple, de savoir plus facilement oublier. Car le souvenir brouille parfois l’image du présent et l’homme, avant tout, a besoin de s’adapter au neuf » . Sans coup férir, la France contemporaine doit donc s’adapter au neuf ou tout perdre.
Mais comment faire ? Puis-je tout de même rappeler, bien que nous n’ayons pas encore cette chance, comment une femme lucide, courageuse et déterminée, Margaret Thatcher, n’a pas hésité à passer sur le corps d’Arthur Scargill, séditieux patron du syndicat des mineurs !…
Ainsi, la France se trouve-t-elle à une nouvelle croisée des chemins vitale pour son avenir. Notre pays, enfermé dans une situation presque sans issue, ne peut donc plus se permettre, sauf à vouloir en finir définitivement avec lui-même, de s’abandonner à l’esprit de juin 1940.
Le 22 avril 2006 De la langue.
Je ne suis pas un admirateur béat de Nicolas Sarkozy mais alors là, chapeau ! Voilà quelqu’un qui a enfin osé parler français : « On en a plus qu’assez d’avoir en permanence le sentiment de s’excuser d’être Français. On ne peut pas changer ses lois, ses coutumes parce qu’elles ne plaisent pas à une infime minorité » . En foi de quoi : « Si certains n’aiment pas la France, qu’ils ne se gênent pas pour la quitter » . Les oreilles du malheureux Bouteflika doivent siffler comme mille serpents à sonnette en furie !
Le 24 avril 2006 La République ou la charî’a ?
Comme le Ps n’a toujours rien à proposer dans sa besace et qu’il faut bien, pardon, cacher la m… au chat aux yeux des gogos, Jean-Marc Ayrault vient de déclarer sur Europe 1 :
« (…) Faire de chaque musulman français un suspect et un terroriste en puissance, dire que l’islam n’est pas compatible avec la République (…), j’appelle ça une pensée de guerre civile » .
Avant de s’exprimer, le député socialiste devrait y réfléchir à deux fois : en effet, qu’y a-t-il de commun entre la république, en l’occurrence la République française, et la charî’a ?
Le 25 avril 2006 L’idéologie socialiste de la servitude.
Fustigeant Nicolas Sarkozy et ses projets concernant l’immigration (choisie ou subie), le court François Hollande a déclaré que le PS voulait « une immigration partagée » avec « accord entre pays d’origine et pays d’accueil » , le pays d’origine exerçant « lui-même le contrôle de la population qui veut sortir du territoire » .
Je suis littéralement consterné de constater qu’un socialiste peut encore s’exprimer ainsi au XXI ème siècle, faisant preuve d’une dose peu commune d’angélisme de bazar pimenté de pur cynisme le tout agrémenté d’une tendance manifeste à privilégier, parce que c’est dans la nature du socialisme, une idéologie létale de la servitude !
Mais que reste-t-il réellement à espérer de la part de la gauche la plus rétrograde et la plus aveugle du monde qui n’aspire plus, pour s’imposer aux Français en 2007, qu’à trouver son chemin de Damas en empruntant la route semée de tous les renoncements politiques de l’extrême gauche ?!
Le 31 mai 2006 Le courageux député Daniel Mach.
Pour le peu que j’aie pu en voir à la télévision, ce qui est déjà bien trop, le clip de promotion de la « chanson » intitulée « FranSSe » du ci-devant rappeur belge Richard Makela, alias Monsieur R., sonne comme une pelletée d’ordures jetée à la figure de notre pays.
Je ne vous infligerai pas ici le texte que « l’artiste » , ainsi que Monsieur R. aime à se définir lui-même, a cru de son devoir d’embellir sa « chanson » en traitant la France comme elle le mérite dans son esprit : une putain corvéable à merci !
Un élu de la Nation, M. Daniel Mach, député UMP des Pyrénées Orientales, a donc porté plainte contre Monsieur R et son torchon ; le tribunal de Melun, saisi de l’affaire, vient de mettre son jugement en délibéré au 26 juin prochain.
Liberté d’expression ou pas, je ne saurais accepter que quiconque offense ainsi la France, et donc moi-même, en rappant sur le thème de « Je pisse sur Napoléon et le général De Gaulle » sans avoir à rendre des comptes à la justice de mon pays.
Mais attention ! Si je remercie du fond du cœur le député Daniel Mach pour son sens du respect dû à la Nation française, je ne saurais non plus omettre, hélas, que nous devons trop souvent une telle situation à l’impéritie quasiment institutionnalisée de nos élites moralement corrompues !
Le 25 juin 2006 Des arts premiers très politisés !
L’idée de Jacques Chirac de s’offrir à grands coups de trompe, pour bien marquer son passage au banquet de l’Olympe des chefs d’Etat français, un musée des arts premiers (devenu depuis lors musée du Quai-Branly – Jacques Chirac) n’est pas, a priori , pour me déplaire.
En effet, si de nombreuses merveilles du monde ont été réunies en ce lieu privilégié, il faudrait être béotien pour ne pas en saisir toute la beauté primitive : à l’aube de l’humanité, les arts premiers sont déjà l’expression du génie humain.
En revanche, je suis plus que réservé sur les intentions affichées par le Président lors de son allocution devant un parterre trié sur le volet, le 20 juin dernier. Car habité d’une profonde haine de soi, Jacques Chirac persiste et signe :
« Au cœur de notre démarche, il y a le refus de l’ethnocentrisme, de cette prétention déraisonnable et inacceptable de l’Occident à porter, en lui seul, le destin de l’humanité » . C’est exactement comme si Chirac voulait rendre l’Occident multiséculaire coupable de la Renaissance !
Car n’est-il pas démagogique de vouloir aveuglément placer sur un même pied d’égalité des cultures qui, en effet, si elles procèdent toutes d’une inspiration commune à tous les hommes, n’ont manifestement pas bénéficié toutes ensembles d’un degré identique de développement ?
Cela me fait irrésistiblement penser aux âges de la vie, de la petite enfance à l’âge le plus avancé en passant, pour se réaliser pleinement, par la plénitude de la force de l’âge. Serait-ce alors pécher contre l’humanité de situer les arts premiers à leur vraie place ?
La beauté étant une notion universelle et intemporelle, en témoignent d’ailleurs abondamment les merveilles exposées au musée du Quai-Br

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