Impitoyable BOSS , livre ebook

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Sombre, secret, dangereux... et terriblement sexy !




Dimitri n’est pas du genre à s’attacher, se poser.


Les femmes ? Une distraction passagère dont il oublie très vite les prénoms.


Son seul souci ? Gérer son business d’une main de maître... sans omettre son activité annexe que seules très peu de personnes connaissent. Et pour cause...



Quand Nina toque à sa porte, lui annonçant qu’il est le père de sa fille, ses certitudes s’effondrent. Cette jeune femme, il ne s’en souvient même pas ! Attirante et énervante comme elle est, il devrait au moins se rappeler d’elle ! Et un enfant ? S’en occuper semble bien plus ardu que le danger auquel il est confronté chaque jour...



Attention, une nuit d’amour passagère, sous l’emprise de l’alcool, peut mener, des années plus tard, à des retrouvailles explosives !




Dans tous les sens du terme...

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Date de parution

10 mars 2023

Nombre de lectures

62

EAN13

9782376527169

Langue

Français

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Titre de l'édition originale : Impitoyable BOSS
Copyright © Butterfly Editions 2023
Couverture © Butterfly Editions - Depositphotos
Tous droit réservés, y compris le droit de reproduction de ce livre ou de quelque citation que ce soit sous n'importe quelle forme.
Cet ouvrage est une fiction. Toute référence à des événements historiques, des personnes réelles ou des lieux réels cités n'ont d'autre existence que fictive. Tous les autres noms, personnages, lieux et événements sont le produit de l'imagination de l'auteur, et toute ressemblance avec des personnes, des événements ou des lieux existants ou ayant existé, ne peut être que fortuite.
ISBN : 978-2-37652-716-9
Dépôt Légal : mars 2023
10032023-1730-VF
Internet : www.butterfly-editions.com
contact@butterfly-editions.com
Christy Allan
Impitoyable BOSS
ISBN : 978-2-37652-716-9
Sommaire
1 La promesse
2 Déséquilibre
3 Ouvrir la porte
4 Libérer l’énergie
5 Sentiments
6 Cicatrices
7 Tout cela n’était pas prévu 8 Chaos 9 Alchimie Épilogue Remerciements
Nina
1... LA PROMESSE
« La vie est un défi à relever, un bonheur à mériter, une aventure à tenter. » Mère Teresa
Je m’étais juré de ne jamais revoir cet homme ! Pourtant, pour Louna, je suis là, devant cette boîte à me geler depuis une heure afin de pouvoir l’approcher. Ma « cible » est difficile à joindre… J’ai téléphoné, on m’a gentiment indiqué queMonsieurne prenait pas les appels inconnus, encore moins les r endez-vous. Je souhaiterais entrer à la Maison Blanche, ce serait moins difficile. Au moins, il y a les visites guidées. Résultat, j’ai décidé de me rendre sur place pour essayer de le rencontrer sur son territoire. Une fois dans sa boîte de nuit, j’aurai peut-être l’occasion de le voir et de lui parler. Après tout, il s’agit du proprio… Dimitri Oslov est soi-disant discret ; moi, je dirais qu’il est asocial, voire pire. Je l’avais bien cerné le lendemain de notre première et unique nuit , mon ressenti s’est cristallisé avec le temps. J’aurais dû entrevoir ce trait de caractère la veille, je n’en serais pas là. Quand j’arrive devant le vigile, qui ressemble à un ours polaire pourvu de vêtements, avec mon mètre soixante-quatre, je dois me bloquer les cervicales pour appréhender son regard létal. Je reconnais ce type… Il faisait déjà partie du décor, autrefois. Je m’en souviens très bien. Il a vieilli et arbore quelques bijoux en plus – boucles d’oreilles à pierres noires carrées et chevalières aux doigts, façon poing américain – mais, à part ça, il n’a pas tellement c hangé. Coiffure balai-brosse, apparence robot humanoïde, pas de doute, il se trouve à la bonne place. Quand on le voit, on n’a pas tellement envie de lui chercher des embrouilles. Le mastodonte me reluque de la tête aux pieds. Il n ’a pas l’air d’apprécier ma combinaison orangeflashy– ma couleur préférée –, ni mon blouson en fausse fourrure, violet. — Le thème de la soirée, c’est « jet set », pas carnaval, somme-t-il, sans que rien ne bouge dans ce facies taillé à la machette. — Désolée que tu ne connaisses pas les standards de la mode. Sache que cette tenue m’a coûté un mois de salaire – faux, je l’ai eue surVinted pour quarante euros, le tout –, alors tes codes, t u peux te les mettre où je pense… — Wôw, wôw ! Tout doux, ma jolie, se déride le yéti . Blanche-Neige a du tempérament, on dirait. Où t’as mis ton prince, ma belle ? Ah, le mec n’a pas l’air si méchant, en fin de comp te. — Je compte m’en trouver un si tu me laisses entrer, rétorqué-je, en battant des cils. Les sifflets fusent derrière moi. Je ne sais pas si ce sont des réactions impatientes ou bien… intéressées !? Peu importe, de toute façon, c’est du vent. Le but, ce soir, n’est pas de me trouver un « prince », vu que Capitaine Crochet ne doit pas fréquenter ce genre de lieu, mais bien de tenter de dialoguer avec le roi tout-puissant qui se trouve peut-être quelque part à l’intérieur. Ça s’agite tellement à ma suite que le molosse me laisse passer avec un avertissement en prime. — Sois prudente, Bouclette. Il y a pas mal d’excités, ce soir. Et maintenant, il se fiche de ma coupe ! OK… pour sa défense, j’ai beau essayer de discipliner mes Anglaises, elles finissent toujours par n’en fa ire qu’à leur tête. Au lycée, on m’appelait Richelieu… Ça donne une idée…
Habituée à ce genre de moqueries, je ne relève pas. Je lui présente ma main pour qu’il toque dedans. À ma grande surprise, il s’exécute. Premier obstacle : contourné ! J’avais mes infos, j e savais que l’on ne rentrait pas ici comme dans un moulin, surtout seule. J’ai décidé de braver les règles, d’y aller au culot. J’aurais pu venir avec un voisin, Simon, devenu un ami au fil des années, mais vu qu’apparemment,ilvoit en moi plus qu’une simple copine… je ne voulais pas lui proposer un tel rencard. J’ai eu raison de tenter ma chance. Je suis dans la place. À peine ai-je franchi la deuxième double porte qu’u n vacarme assourdissant assaillit mes tympans. Depuis le temps que je n’ai pas mis les pieds dans une boîte, j’avais oublié la fréquence des décibels. Autant ceux des baffles que ceux desclubbers. La seule et unique fois où je me suis pointée ici, j’avais dix-huit ans. Avec Lucie et Tristan, mes amis de toujours, nous étions venus fêter notre bac. Quelques heures plus tard, je m’étais retrouvée seule parce que mes deux copains avaient enfin admis qu’il y avait plus que de l’amitié entre eux… J’avais choisi de rester un peu pour danser, malgré leur départ. Ensuite, ce mec m’avait accostée, et après…. Comment vais-je le repérer dans cette jungle ? À condition qu’il soit là. J’imagine qu’un samedi soir, avec un raffut pareil, j’ai mes chances, mais je n’en sais rien. N’ayant pas dansé dans ce genre de lieu depuis des années, je me sens légèrement décalée. Le public présent ne dépasse pas les vingt-cinq ans, à vue d’œil. La trentaine passée, je me trouve vieille, tout à coup. Pendant une heure, je tente de me faufiler dans la foule hurlante, bon gré, mal gré. Au fur et à mesure de mes différents passages, je n’aperçois pas celui que je cherche. Lucie, ma meilleure amie, à présent mariée à Tristan et maman d’un garçon de huit ans, Arthur – dont je suis la marraine de cœur –, a dégoté le peu d’infos que je possède grâce à Instagram. Elle adore les réseaux sociaux et y passe une grande partie de son temps libre. Grâce à ce hobby, très banal de nos jours, je sais que le fameux Dimitri Oslov est d’origine russe – comme son nom l’indique, d’ailleurs –, possède trois clubs sur la Côte d’Azu r, une maison digne d’un château sur les hauteurs de Nice, et reste célibataire… Lucie a fouillé et glané ce peu de renseignements en visionnant les hashtagsssclub #bosscelibataireetsexy,#bossboitedenuitcôtedazur #sexybo  #boitedenuitnice etcApparemment, le bonhomme attise la curiosité. Côté vie privée, il paraît hyper discret. À croire que malgré le vivier à portée de main, le type est un moine. J’ai peu d’éléments pour avoir une idée précise du personnage, me rassurer ou m’indiquer que, avec le temps, il aurait changé. Je garde un souvenir mitigé de notre rencontre. Il m’a draguée, m’a fait rire, m’a baisée comme un possédé, puis, le lendemain, il m’a jetée comme une malpropre, avec un avertissement si j’osais taper l’incruste… Charmant personnage. Une fois dégrisé, le mec s’est montré sous son véritable jour, et franchement, je ne suis ni maso, ni débile, ni inconsciente, d’où le respect de son injonction jusqu’à présent. Aujourd’hui, Louna m’a mise au pied du mur. Je suis là pour elle, ne trouvant plus d’excuses afin de contrer son ultimatum. Tandis que je scrute la salle surchauffée histoire d’essayer de repérer ma cible, des doigts féroces s’accrochent à mes bras. — Aïe ! Ça va pas, lâche-moi ! Le gamin, ruisselant et beuglant, ne tient aucun co mpte de mes hurlements et me plaque contre son torse suant. Beurk. L’instant d’après, il disparaît de la circulation. Le monolithe de l’entrée l’a saisi par la peau du cou, le dégageant sans sommation. Le relou ne touch e plus terre. Cette image s’avère aussi satisfaisante que comique. Parfois, j’aimerais mesurer trente centimètres de plus et peser le double de mon poids pour savoir ce que ça fait de remettre les lourdingues à leur place. Dans une autre vie, peut-être… Cinq minutes plus tard, le pachyderme de l’entrée revient en me gratifiant d’une grimace, style : « Je t’avais prévenue. » — Tu cherches qui ? Zut, repérée… Et si je jouais franc-jeu ? Après tout, Oslov reste introuvable, je devrais peut-être employer la méthode directe. — Ton patron. Il rigole. Rassurant, ça prouve qu’il possède des zygomatiques comme tout être humain.
— Le Boss ne reçoit personne, ma jolie, se moque-t-il. — C’est très important et très privé. J’ai quelque chose de crucial à lui annoncer. S’il te plaît. Si l’on m’implorait de la sorte, je serais curieuse ou intriguée… non ? Le gars me scrute, évaluant certainement la situati on, pesant le pour et le contre d’une telle requête. J’en profite pour afficher un visage suppliant. J’y mets tout mon cœur. Si je n’arrive pas à discuter avec Dimitri Oslov, Louna m’en voudra à mort. — Attends-moi ici et ne bouge plus, souffle-t-il, au bout d’une éternité. En disant ces mots, il m’indique une banquette vide , située dans le coin le plus éloigné du dance-floor. Soulagée que la situation se débloque, je m’installe dans l’espace isolé. Il doit s’agir du carré VIP. L’alcôve est garnie de grandes banquettes en velours rouge et d’une énorme table basse en verre sur laquelle trônent des seaux à Champagne – vides – fluorescents. Les murs sont recouverts d’un tissu rougeâtre. Les jeux de lumière donnent l’impression qu’ils se meuvent au son de la musique. Au plafond, un énorme lustre doré, à pampilles, diffuse une lumière tamisée. Le tout appelle à l’intimité. Un cocon douillet au milieu de l’hystérie collective. Assise sur les coussins hyper moelleux, je m’y vautrerais bien… afin de soulager un peu ma jambe. Ayant travaillé toute la journée debout, je ne rêve que de mon lit. Je patiente en commençant à trouver le temps long. Soit le vigile s’est foutu de moi, soit je vais poireauter toute la nuit avant qu’Oslov daigne se montrer. Je tente de m’exhorter au calme, car ma respiration devient chaotique. S’il ne rapplique pas bientôt, je vais perdre l’entièreté de mon hypothét ique sang-froid. La fatigue et le stress sont un mauvais combo. L’avantage de me retrouver ici réside dans le fait que personne ne vient m’importuner. C’est toujours ça. Je suis claquée. Pas envie d’essuyer les tentatives foireuses de quelques types éméchés. Il y a un million d’années que je n’ai pas couché a vec un mec… Rien à fiche, ma vie me convient parfaitement ainsi. Pas question de mettre un homme dans mon existence. La dernière fois que je me suis laissé tenter par une jolie gueule et un corps de rêve, moncrusha pris la fuite à peine les préliminaires entamés. Pour une fois que j’y cr oyais, cet échec cuisant a ratatiné toutes mes illusions et mis en exergue ma réalité. Je chasse ces pensées aussi inutiles que nuisibles pour me concentrer sur l’instant présent. Au moment où mes nerfs menacent de lâcher, une ombre noire se poste devant moi. Je me lève au quart de tour, réalisant avoir pensé trop vite être à l’abri des indésirables. Dès que mon regard percute celui qui me surplombe de toute sa prestance, je le reconnais. Dimitri Oslov. Toujours aussi intriguant. Rien ne dépasse. Chemise et pantalon noirs impeccables. Cheveux presque rasés. Visage racé. Regard perturbant. Il a bien vieilli, ce con… Il s’est même « bonifié » avec le temps… OK… Je n’ai plus rien de l’adolescente innocente d’autrefois, pourtant, sobre, il me fait le même effet. Ce type fout la trouille. Difficile de soutenir un tel regard… — Il paraît que vous avez quelque chose de crucial à me dire ? entame-t-il, reprenant mes mots. — Je… Vous… Heu… Oh non, pourquoi mes neurones s’entrechoquent-ils pile-poi l au moment où j’en ai le plus besoin ? Il arque un sourcil, me prenant sûrement pour une débile, stade avancé. Je dois me ressaisir, merde ! À part que je n’arrive plus à émettre le moindre son. Face à ce type antipathique, ma gorge s’assèche, mon courage déserte. Pire, je me demande pourquoi j’ai suivi les « ordres » de Louna ! Et si je commettais la pire erreur de ma vie ? Et si, une fois tout révélé, mon existence volait en éclats ? Je me suis battue afin de nous construire une existence agréable, pas envie que cet homme y mette le bazar. J’estime en avoir assez bavé. — Je n’ai pas toute la nuit, s’impatiente-t-il. Vou s m’avez dérangé un samedi soir pour soi-disant m’apprendre une chose importante, alors parlez. Même si sa voix reste parfaitement maîtrisée, l’autorité qui s’en dégage me met les nerfs. Elle ressemble à celle qui m’avait priée de « dégager », treize ans plus tôt. Il me reste assez d’orgueil pour ne pas me laisser traiter ainsi deux fois. Je suis une femme, à présent ; pas une gamine impressionnable. Je me ret rouve ici pour une raison devenue essentielle pour Louna, une promesse que je ne peux pas rompre, alors allons-y ! Je carre mes épaules et le fixe droit dans les yeux. — Je m’appelle Nina Keler. Vous êtes le père de ma fille. Elle souhaite vous rencontrer.
Voilà, c’est dit. À part que rien ne bouge de l’autre côté. Le mec re ste imperturbable. Il doit réellement me prendre pour une cinglée. Louna… qu’est-ce que tu me fais faire… Peut-être ne m’a-t-il pas entendue, avec un tel raffut. Je m’apprête à lui renvoyer ma confession quand il lève sa main, me signifiant de me taire. L’instant d’après, il donne un coup de menton m’incitant à le suivre. D’accord… Je ravale ma déclaration et accours à ses basques. Nous dépassons le cerbère imposant, gardant la porte des enfers. Ce dernier lance un drôle de regard à son Boss, puis il me gratifie d’un clin d’œil. On dirait que le gladiateur m’aime bien. Nous traversons la longue cursive menant au bureau du maître des lieux. Les murs sont aujourd’hui recouverts d’un tissu sombre aux reflets orangés… Malgré moi, je frissonne. Cet endroit s’avère toujours aussi inquiétant. Les souvenirs reviennent en force.
Treize ans plus tôt…
***
— Viens... Lucie et Tristan m’ont abandonnée. Moi qui ne bois jamais, j’ai avalé trois mojitos ; résultat, je suis à moitié saoule. J’ai dansé, je me suis fait draguer, et maintenant, je m’apprête à suivre ce mec. Lui aussi a picolé, ça le rend marrant. Après tout, je fête mon bac, ce soir, alors tous les excès sont permis, non ? Au Diable la voix moralisatrice de mon daron que j’entends au loin… « Quand est-ce que tu te comporteras sans nous faire honte, ma fille !? » Pas ce soir, Papa ! Ce soir, j’ai dix-huit ans depuis deux jours, mon b ac en poche, alors tes leçons de morale périmées, j’en ai ma claque. Ce petit rappel mebooste assez pour franchir le cap. Il en va de ma liberté , pas question de laisser davantage mes parents prendre toutes les décisions pour moi. Toute ma vie, j’ai essuyé leur étroitesse d’esprit. Je décide donc qu’à partir d’aujourd’hui, c’est terminé. À croire que je ne suis pas leur fille. Je hais tout ce qu’ils prônent. Leur bi en-pensance, leur peur du qu’en dira-t-on, leur condescendance, leur snobisme, leur morale de cureton. J’en passe et des pires. J’ai dû produire des efforts énormes, posséder une nature incroyable pou r parvenir à contrer toute leur mauvaise éducation. Miraculeux que je sois moi, malgré eux. Cette nuit, je veux m’éclater, m’affranchir du reste de mes entraves. Oui, j’ai bien compris que le garçon avec qui je m’apprête à passer un moment est celui à qui cette boîte appartient. Et alors ! Cool, j’aurai droit à une visite guidée, et qui sait, en bonus, l’accès gratos au Club, à vie. Je ne vois pas pourquoi je m’en priverais. Dimitri, en plus d’avoir un prénom exotique, est trop canon. Et drôle, et sympa, et sexy… ...
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