Let me die - Let me cry
153 pages
Français

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Let me die - Let me cry , livre ebook

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Description

Let me die :
Son prénom : Liam
Son job : Exécuteur
Son rôle : Remplir les contrats proposés par des commanditaires en échange d’un paquet de fric.
Le dernier en date : Faire souffrir à la fois dans son cœur, dans son âme mais surtout dans sa chair la douce et jolie Tasha. La détruire, non pas pour qu’elle se reconstruise, mais pour la mener à sa perte....


Let me cry :


Son prénom : Hunter
Son job : Exécuteur (enfin... pas vraiment)
Son rôle : indéfini pour le moment.
Le contrat qu’il doit remplir : Amener Abbygaëlle à l’apprécier, à l’aimer, afin qu’il fasse d’elle son esclave...
Son but : Obliger ses bourreaux à sortir de leurs trous et enfin pouvoir se venger de leurs actes de torture et seul Abby peut l’y aider.
Ce qu’il déteste : La voir pleurer....


Ce roman est une réédition comprenant Let me die et Let me cry.

Sujets

Informations

Publié par
Date de parution 04 août 2022
Nombre de lectures 18
EAN13 9782819109105
Langue Français

Informations légales : prix de location à la page 0,0045€. Cette information est donnée uniquement à titre indicatif conformément à la législation en vigueur.

Extrait

Pierrette Lavallée


LET ME DIE
LET ME CRY
« Le Code de la propriété intellectuelle et artistique n’autorisant, aux termes des alinéas 2 et 3 de l’article L.122-5, d’une part, que les « copies ou reproductions strictement réservées à l’usage privé du copiste et non destinées à une utilisation collective » et, d’autre part, que les analyses et les courtes citations dans un but d’exemple et d’illustration, « toute représentation ou reproduction intégrale, ou partielle, faite sans le consentement de l’auteur ou de ses ayants droit ou ayants cause, est illicite » (alinéa 1er de l’article L. 122-4). « Cette représentation ou reproduction, par quelque procédé que ce soit, constituerait donc une contrefaçon sanctionnée par les articles 425 et suivants du Code pénal. »


© 2022 Les Editions Sharon Kena
www.skeditions.fr
Table des matières
LET ME DIE
PROLOGUE
CHAPITRE 1 : LIAM
CHAPITRE 2 : TASHA
CHAPITRE 3 : LIAM
CHAPITRE 4 : TASHA
CHAPITRE 5 : LIAM
CHAPITRE 6 : TASHA
CHAPITRE 7 : LIAM
CHAPITRE 8 : TASHA
CHAPITRE 9 : LIAM
CHAPITRE 10 : TASHA
CHAPITRE 11 : LIAM
CHAPITRE 12 : TASHA
CHAPITRE 13 : LIAM
CHAPITRE 14 : TASHA
CHAPITRE 15 : LIAM
CHAPITRE 16 : TASHA
CHAPITRE 17 : LIAM
CHAPITRE 18 : TASHA
CHAPITRE 19 : LIAM
CHAPITRE 20 : TASHA
CHAPITRE 21 : LIAM
CHAPITRE 22 : TASHA
CHAPITRE 23 : LIAM
CHAPITRE 24 : TASHA
CHAPITRE 25 : LIAM
CHAPITRE 26 : TASHA
CHAPITRE 27 : LIAM
CHAPITRE 28 : TASHA
CHAPITRE 29 : LIAM
CHAPITRE 30 : TASHA
EPILOGUE : LIAM
LET ME CRY
PROLOGUE
CHAPITRE 1 : HUNTER
CHAPITRE 2 : ABBY
CHAPITRE 3 : HUNTER
CHAPITRE 4 : ABBY
CHAPITRE 5 : HUNTER
CHAPITRE 6 : ABBY
CHAPITRE 7 : HUNTER
CHAPITRE 8 : ABBY
CHAPITRE 9 : HUNTER
CHAPITRE 10 : ABBY
CHAPITRE 11 : HUNTER
CHAPITRE 12 : ABBY
CHAPITRE 13 : HUNTER
CHAPITRE 14 : ABBY
CHAPITRE 15 : HUNTER
CHAPITRE 16 : ABBY
CHAPITRE 17 : HUNTER
CHAPITRE 18 : ABBY
CHAPITRE 19 : HUNTER
CHAPITRE 20 : ABBY
CHAPITRE 21 : HUNTER
CHAPITRE 22 : ABBY
CHAPITRE 23 : HUNTER
CHAPITRE 24 : ABBY
CHAPITRE 25 : HUNTER
CHAPITRE 26 : ABBY
CHAPITRE 27 : HUNTER
CHAPITRE 28 : ABBY
CHAPITRE 29 : HUNTER
CHAPITRE 30 : ABBY
EPILOGUE
Où nous suivre sur les réseaux sociaux ?
LET ME DIE
PROLOGUE
La vie ne m’a fait aucun cadeau, et ce, dès ma naissance. Je n’ai pas été désirée, je n’étais qu’un accident de parcours qui a conduit au divorce de mes parents. Alors ma mère, me rendant responsable, m’a tout simplement rejetée. Je ne connais que la haine et la souffrance, la douleur et l’intolérance… Pourquoi aspirer à autre chose ?
Pourtant, je me suis surprise à l’aimer, à vouloir changer le cours de mon existence. Mais comment l’aurais-je pu alors que je suis moi-même l’instigatrice de mon calvaire, de ma peine ? Et après ce que j’ai fait… Je n’ignore pas que je n’ai plus le droit au bonheur, qu’il faut que je paie…
Des cris, des larmes… De la terre qui s’abat sur un cercueil… C’est ce que je vois dans mes cauchemars, dans ma réalité… Je ne peux plus fermer les yeux sans que les regards plein de fiel me poursuivent, sans que les insultes, les menaces retentissent dans mes oreilles.
Je sais que je n’ai que ce que je mérite… que je dois expier mes fautes, les supplier de m’accorder leur pardon, même si je n’en suis pas digne. Mais j’ai mal moi aussi, aussi bien dans ma chair, que dans mon cœur… Mais le pire, c’est mon âme ! Mon âme qui jamais ne parviendra à atteindre le paradis, mon âme condamnée aux flammes de l’enfer… Pour moi il n’y a pas de rédemption, je la refuserai, même si on me la propose, car l’accepter, ce serait les trahir…
Or, je leur ai fait assez de mal…
Je ne veux même pas qu’on fasse preuve envers moi d’indulgence, je ne souhaite que faire pénitence et que s’arrête ce déchirement qui m’arrache la poitrine…
CHAPITRE 1 LIAM
Je n’ignore rien de sa vie actuelle et c’est mon job de ne rien laisser au hasard. Son nom ? Sa date de naissance ? Son adresse ? Une simple formalité. Je sais l’heure à laquelle elle se lève le matin, le temps qu’elle met aux chiottes, dans la salle de bains, ce qu’elle prépare pour son petit-déjeuner, les endroits où elle traîne… et ils sont peu nombreux. Tout… y compris ses mensurations, et je dois avouer qu’elle a un corps à damner un saint… et je n’en suis pas un… loin de là même, au point que la mater comme je le fais depuis plusieurs jours me donne une trique d’enfer.
Les renseignements… Ça, c’est la première étape que j’exécute dès qu’un contrat m’est proposé et, sur ce coup-là, j’ai géré la chose comme un chef, insistant sur les moindres détails. La seconde partie est la traque, ma cible me retrouvera sur son chemin, par hasard, à chaque instant du jour… ou de la nuit. Je la hanterai, elle apprendra à me craindre, sursautera dès qu’elle me verra… La troisième phase est pour moi celle à laquelle j’ai hâte d’arriver… Elle sera à moi… Elle sera là où je l’emmènerai, fera tout ce que je lui ordonnerai. Si je lui dis « Saute », j’attends qu’elle me demande « À quelle hauteur ? ». Si je la mets en demeure de manger, qu’elle obéisse sans discuter, de même si j’exige qu’elle écarte les cuisses si j’ai envie de la baiser.
À cette idée, mon sexe tressaute dans mon pantalon. L’accord que mon boss a signé avec le client me permet d’aller aussi loin que je le peux… que je le veux avec cette fille. Rien ne m’est interdit, un seul mot d’ordre, il faut qu’elle souffre, et ça tombe bien, parce que j’aime voir la peur dans les yeux de mes victimes, j’aime lorsqu’elles pleurent, me suppliant de les achever ou de les relâcher, ce que je ne fais jamais…
Je reporte mon attention vers l’autre côté de la rue. Elle est là, assise sur un banc, son visage caché par son pull à capuche. De temps en temps, elle jette un bref regard autour d’elle, comme si elle attendait quelque chose avec impatience… ou quelqu’un. Elle est vêtue d’un baggy qui camoufle ses formes et de ce pull que j’ai en horreur. Comment ose-t-elle planquer son corps sous ces fringues informes ? Je sais comment elle est lorsqu’elle est nue, je l’ai matée alors qu’elle se trouvait sous la douche. Bon sang, elle a des seins voluptueux et l’un des premiers sévices qu’elle subira au moment où elle sera à moi sera une branlette entre ses nichons… Si elle me repousse, et j’espère qu’elle le fera, je les attacherai si serrés que les cordes laisseront des marques dans sa chair, mais tout en gardant assez d’espace pour que je puisse y glisser ma bite et aller et venir entre ses deux rondeurs. Quant à son cul… Si j’étais un poète, je passerais des heures et des heures à déclamer des vers pour le décrire. Si j’étais chanteur, il serait le pivot central de mon album, si j’étais un peintre, il serait ma muse…
Mais je ne suis rien de tout ça, je ne suis qu’un exécuteur, alors mon seul commentaire au sujet de son cul, c’est qu’il est plus que baisable… Je mettrais ma main à couper qu’elle est vierge, aussi bien par-devant que par-derrière, mais c’est ce dernier endroit qui excite ma curiosité et me fait dresser la queue… Rien que l’idée de m’imaginer la lui enfonçant dans l’anus me rend fou de désir… Putain, je la veux et je l’aurai… Bientôt ses trous n’auront plus aucun secret pour moi et ma bite n’en aura plus pour elle.
Ne parvenant pas à me retenir, je la caresse à travers la toile de mon pantalon.
– Chut, ma belle, encore un peu de patience, tu jouiras très prochainement de sa chaleur, de sa moiteur…
Oui, parce que malgré tout, je ne suis pas insensible. Si je veux pouvoir la tringler encore et encore, il faudra que je soigne particulièrement ses orifices alors hors de question de la défoncer… Ou tout au moins au début…
J’ai une autre forme de torture que j’apprécie tout particulièrement… c’est souffler le chaud et le froid sur mes victimes, pour qu’elles ne savent plus à quoi s’attendre de moi. Les faire douter… Voilà mon crédo ! Serai-je le bad boy sexy usant de douceur et de compréhension ? Un ravisseur aussi séduisant que bandant pour lequel homme ou femme serait prêt à écarter les cuisses ? Ou serai-je le psychopathe prenant son pied dans la violence, obligeant ma victime à se mettre à genoux devant moi tandis que je fourre ma queue dans sa gorge… le plus loin possible, jusqu’à ce qu’elle pense qu’elle va mourir étouffée de mon foutre ? Oui, j’adore vraiment ça et je me demande si ma future martyre appréciera la surprise que je lui concocte.
Je la fixe à nouveau, elle a des écouteurs enfoncés dans les oreilles, et je vois une larme couler sur sa joue… J’en jouis presque car elle en versera encore beaucoup d’autres, souvent, et c’est moi qui en serai responsable. Mais là… là, je déteste celui qui la fait souffrir, il n’en a pas le droit, je suis le seul qui ai cette autorité.
Pourtant, elle balaie cette perle iridescente d’un revers de la main, comme si elle n’avait pas d’importance et ce petit mouvement de rébellion m’excite encore plus… si une telle chose est possible. Une voiture passe devant son banc. Elle lève les yeux, et les baisse aussitôt en reconnaissant les élèves de son lycée, de sa classe… Des insultes fusent à travers la vitre, on lui envoie un objet, une canette encore à moitié pleine qui éclabousse son joli petit minois, son pull. La corvette quitte les lieux, mon souffre-douleur essuie son visage avec le bas de son sweat et je peux voir une bande de peau nue juste au-dessus de son pantalon. Elle se redresse lentement, se dirige vers la poubelle dans laquelle elle jette l’objet en alu.
Je sais que si je m’approche d’elle, je sentirai l’odeur de la bière qui se mélangera à celle de son parfum floral, un parfum de fille qu’elle ne met que pour des occasions spéciales… Elle s’en asperge depuis un moment, j’ignore pourquoi et ça m’énerve car elle a dérogé à ses habitudes, ce qui pourrait être dangereux, pour elle, mais aussi pour moi…
Ses épaules s’affaissent, comme si elle y portait tout le poids du monde… C’est peut-être vrai ! Ce qu’elle a fait reste une gra

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