Mon pire deal, sexfriends only
186 pages
Français

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Mon pire deal, sexfriends only , livre ebook

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Description


Roméo, grand sportif, rêve de tomber amoureux.



Juliette, médecin, refuse de s’attacher.



Un deal... improbable, chaud, sexy et... hautement interdit.




Roméo, vingt-quatre ans, attend le grand amour. Pompier, il rencontre Juliette au détour d’une gare, puis lors d’une intervention avant de la retrouver à un dîner d’amis communs.



Elle lui plaît. Il la charme comme aucun homme... depuis qu’elle a été abandonnée par le père de son fils, l’enfant qu’elle a eu à seize ans. L’amour ? Plus jamais ! Elle se l’est promis !



L’attirance étant plus forte que tout, ils décident de conclure un contrat : sexfriends no limit jusqu’à ce que Roméo rencontre enfin le vrai amour.



Sur le papier, tout semble parfait...




Enfin, presque... car les sentiments et l’interdit risquent de s’en mêler au moment où ils s’y attendent le moins...


Sujets

Informations

Publié par
Date de parution 20 janvier 2023
Nombre de lectures 44
EAN13 9782376527244
Langue Français

Informations légales : prix de location à la page 0,0037€. Cette information est donnée uniquement à titre indicatif conformément à la législation en vigueur.

Extrait

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Titre de l'édition originale : Mon pire deal... sexfriends only
Copyright © Butterfly Editions 2023

Couverture © Butterfly Editions - Depositphotos
Tous droit réservés, y compris le droit de reproduction de ce livre ou de quelque citation que ce soit sous n'importe quelle forme.
Cet ouvrage est une fiction. Toute référence à des événements historiques, des personnes réelles ou des lieux réels cités n'ont d'autre existence que fictive. Tous les autres noms, personnages, lieux et événements sont le produit de l'imagination de l'auteur, et toute ressemblance avec des personnes, des événements ou des lieux existants ou ayant existé, ne peut être que fortuite.
ISBN : 978-2-37652-724-4
Dépôt Légal : janvier 2023
20012023-1230-VF
Internet : www.butterfly-editions.com
contact@butterfly-editions.com
Eva Baldaras
Mon pire deal, sexfriends only


ISBN : 978-2-37652-724-4

Je dédie ce livre aux soldats du feu, pour leur courage, pour leur dévouement et pour tout le reste…

Un grand merci aux pompiers de la caserne de Belfort sud à Danjoutin, qui m’en ont appris un peu plus sur la réalité de leur beau métier ! Avec un grand clin d’œil à Francis, le commandant !
« L’amour n’a pas d’âge, car les âmes sont éternelles. »
Eva Baldaras
Prologue

Juliette

« Mesdames et messieurs, dans quelques minutes, nous arriverons à Paris Gare de Lyon, notre terminus. Avant de descendre du train, assurez-vous de ne rien oublier à bord. La SNCF et TGV Lyria vous remercient d’avoir choisi de voyager en notre compagnie et vous souhaitent une agréable fin de journée. »
Je soupire, ce n’est pas trop tôt. Nous ne sommes qu’en mai et une chaleur écrasante m’assaille. Moi qui pensais que la clim’ fonctionnerait dans cette rame, j’ai eu tout faux.
Nouvelle vie, autres patients.
Je vais vivre et exercer dans la ville la plus belle du monde, la plus romantique, la plus… waouh, quoi ! Quelle chance !!!
Je vais me lever et me coucher dans la cité la plus polluée et l’une des plus dangereuses de France. Elle figure parmi le top des endroits avec un grand nombre de crimes et de délits. Le risque d’être victime d’un assassinat – selon mes récentes recherches sur Internet – s’élève à 77.68 pour 1000 habitants en 2021.
Qu’est-ce que je viens foutre ici, déjà ? J’étais bien mieux chez moi, dans la capitale horlogère, dans la maison de mes parents, près d’une étendue de verdure, le long du Doubs. J’ai tout fait à Besançon, pour ainsi dire. Depuis ma naissance jusqu’à il y a environ deux heures. Ma scolarité, mes études en fac de médecine, mon internat au CHU, l’exercice en cabinet médical en tant que praticienne généraliste depuis cinq ans.
Mon premier flirt et ma première connerie. Mais, la dernière.
Heureusement que mes parents ont toujours été présents pour moi, même lorsque l’autre couillon a pris la poudre d’escampette.
Enfin, c’est du passé. Maintenant, seul l’avenir importe. Ce sera peut-être plus facile loin du département 25 qui me rappelle constamment le lâche qui m’a quittée.
Je jette un coup d’œil devant et derrière moi. Les passagers sont presque tous debout, à vouloir être les premiers à poser leur pied sur le quai dès qu’ils en auront la possibilité. Contrairement à eux, je ne suis pas pressée, bien au contraire. Lena – mon amie qui habite à Paris depuis un an – ne sera pas rentrée avant quatorze heures à l’appartement que je dois partager avec elle, ce qui me laisse encore cent-quatre-vingts minutes devant moi.
Mon futur chez-moi se situe place de la République, et si j’ai bien retenu le plan du métro, je dois emprunter la ligne 1, puis la 9, jusqu’à l’arrêt qui me conduira pile là-bas.
J’appréhende Paris, les serpents souterrains, la foule.
Bordel, j’aurais mieux fait de rester dans ma ville natale.
Les sifflements des freins du train m’alertent que nous arrivons dans quelques secondes. J’enfouis mon téléphone portable dans la poche de mon jean, boutonne ma veste et prends garde qu’elle recouvre bien mes fesses. Simple précaution antivol . Pour terminer, je passe mon sac à main en bandoulière. On ne pourra pas tenter de me le chaparder, comme ça ! Mon père m’a appris à retarder les bandits et ne pas leur rendre la tâche facile. J’ai toujours suivi ses conseils.
Je me lève, récupère ma valise à la volée et me dirige vers les autres.
À la queue leu-leu dans le couloir de la rame, j’attends que les personnes qui sont devant moi avancent.
Dire qu’il s’imposait ce trajet à chaque fois qu’il rentrait à la maison !
Le souffle sourd des portes annonce le signal. Au bout de quelques secondes, je descends du train. Dès l’instant où mes baskets touchent le bitume, une sueur froide roule sur le sillon de mon dos. Cette impression d’être en insécurité une fois à l’extérieur m’insupporte. Je hais l’image de mon cerveau, délirant sur d’éventuels pickpockets planqués dans la foule, à l’affût de leur prochaine proie.
Ma première inspiration porte une mauvaise odeur mêlée à une chaleur moite et étouffante. Loin de mon paradis franc-comtois, pur et frais, où tout n’est que senteurs boisées et herbe récemment coupée.
Je déteste déjà Paris…
Je balaye mes dernières pensées d’un coup de serpillère virtuelle et observe le monde devant moi. C’est fou ce que les gens marchent vite, comme s’ils avaient la mort à leurs trousses. Tous pressés de prendre un train, un bus, un taxi, un métro, ou autre chose. Pourtant, les moyens de transport sont très bien organisés. Je m’imaginais bêtement que je ne verrais que les touristes flâner ! En réalité, ça ne s’arrête jamais de courir, ici : le stress nous surprend dès que nous foulons le sol parisien.
D’un coup d’œil, je repère la signalétique qui m’indique comment trouver la bouche de métro. D’abord, suivre la ligne 1. Simple comme bonsoir. Je ne suis pas ignare, juste un peu paumée. À Besançon, même avec le tram, c’est plus commode, et disons que je m’y retrouve plus facilement. Question d’habitude, je suppose.
Je souris au souvenir de mon amie, un mois plus tôt, quand elle a réalisé le chemin inverse pour me rendre visite. Elle s’est perdue à la sortie de la gare TGV Besançon Auxon . Cette dernière se trouve à seize kilomètres de la ville. Le bus qui relie les deux points est gratuit pour les détenteurs d’un billet SNCF. Lena, têtue avec son désir de se débrouiller toute seule, avait opté pour la navette plutôt que de m’attendre, et donc a atterri dans un désert verdoyant. Son excuse ? Besançon possède beaucoup trop de grands espaces sans moyens de locomotion collectifs, elle s’y perd. Pourtant, ça ne fait que trois ans qu’elle est partie.
Mes pas s’accélèrent, comme si j’avais honte de dénoter par rapport à toute cette foule humaine qui piétine ce gigantesque hall de gare.
Voilà, je suis déjà dans le bain.
Inutile de prendre un ticket, je suis prévoyante, je l’ai acheté dans le train. Pourquoi ne pas profiter des services de la SNCF, hein ? Moi, je ne m’emmerde pas. Et surtout, je n’ai pas envie de poireauter devant l’un des distributeurs de titres de transport.
Un dégoût éclate dans ma gorge. Je grimace. Des relents désagréables flottent jusqu’à mes narines, comme par vagues.
Bordel, qu’est-ce que ça pue !
Assis à même le sol, un sans-abri demande des pièces. La misère s’étale partout, mais ici, j’ai le sentiment qu’elle est démultipliée.
On est loin de la pub télé avec la tour Eiffel et les produits Chanel.
Mes prunelles remarquent le couloir qui me mènera vers la ligne 1 et je presse le pas. Derrière moi, ma valise à roulettes me suit à la trace. J’ai chaud sous ma veste. Même si mon tee-shirt est léger, mes vêtements me collent à la peau. Une bonne douche fraîche me ferait du bien. Mais aucun sacrifice n’est superflu pour me protéger, non ?
Dans ma tête, je me remémore mon trajet que j’ai imprimé dans mon cerveau. En aucun cas, je ne dois sortir un plan de ma poche, qui soufflerait aux potentiels voleurs que je ne suis pas Parisienne. Et par définition, vulnérable.
Donc, je monte sur la ligne 1, direction Château de Vincennes. Je m’arrête à Nation, soit deux stations plus tard. Ensuite, je prends le 9, direction Pont de Sèvres, je descends à République. Une fois là-bas, je quitte les souterrains pour vingt minutes de marche, jusqu’à l’appartement de…
Voguant dans mes pensées, je ne remarque pas tout de suite la marée humaine qui s’approche de moi. Celle-ci est apparue de je ne sais où et me fonce dessus à la vitesse de l’éclair, donnant l’impression de vouloir tout shooter sur son passage. Mes yeux s’écarquillent. Je m’écarte pour esquiver quelques voyageurs, mais a priori, pas assez. Une fraction de seconde de dispersion de mon esprit suffit pour que quelqu’un me percute tout de même. Surprise, je perds l’équilibre – forcément – et manque de m’étaler sur le sol – comme une crêpe –, pensant que personne ne viendra à mon secours si jamais je me cassais une jambe – par exemple. Pour couronner le tout, un mec mal attentionné me piquerait mon sac et ma valise, me laissant sans papiers, sans argent. Fort heureusement pour moi, ma divagation s’achève rapidement. Comme dans un rêve, des bras musclés me rattrapent. J’ai l’impression que tout se déroule au r

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