Ces mains qui racontent
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Ces mains qui racontent , livre ebook

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Description

L'auteur a cherché, dans ces pages, à concilier le visible et l'invisible. Au travers de différentes approches, d'expériences personnelles et professionnelles, telles que les méthodes méditatives et curatives, il a tenté de rendre accessible à un public non initié la mise en évidence de l'union harmonieuse de l'âme et de la science du corps.

Sujets

Informations

Publié par
Date de parution 06 décembre 2019
Nombre de lectures 0
EAN13 9782414403189
Langue Français

Informations légales : prix de location à la page 0,0037€. Cette information est donnée uniquement à titre indicatif conformément à la législation en vigueur.

Extrait

Couverture
Copyright













Cet ouvrage a été composé par Edilivre
194 avenue du Président Wilson – 93210 La Plaine Saint-Denis
Tél. : 01 41 62 14 40 – Fax : 01 41 62 14 50
Mail : client@edilivre.com
www.edilivre.com

Tous droits de reproduction, d’adaptation et de traduction,
intégrale ou partielle réservés pour tous pays.

ISBN numérique : 978-2-414-40395-0

© Edilivre, 2020
Du même auteur
Du même auteur :
– Couleurs et cristaux – une démarche vers l’harmonie et la santé. Éditions Prismes 1996
– Nos pensées, source d’évolution et de guérison. Éditions Tsygonie 2001
Pour contacter l’auteur :
www.dijonreiki.com
0680044501
Hugues Febvray, 6 Avenue de la Concorde, 21000 Dijon, France.
Exergue

Tu ne peux pas voyager sur un chemin sans être toi-même le chemin.
Bouddha.
Avant-propos
J’ai aujourd’hui 60 ans et je peux dire que, depuis ma plus tendre enfance, je me suis toujours interrogé sur « le sens de la vie ».
Très jeune, j’ai rapidement côtoyé le sens de la responsabilité car ma mère m’élevait seule et j’ai dû, très tôt, gérer mon histoire personnelle du mieux que je pouvais.
J’éprouve d’ailleurs une immense gratitude envers ma mère pour tout ce qu’elle a pu m’apporter dans ma construction et dans le partage des idées que nous avons eues ensemble jusqu’à son départ, il y a quelques années.
J’ai donc compris, avec certitude, que l’expérience de notre vie sur terre se manifestait dans notre quotidien selon certaines lois, était soumise à certaines règles et que les événements que nous traversons, même enfant, ont une signification et un sens.
Cette conviction m’a conduit, vers douze ans, à m’intéresser aux sciences intuitives qui semblaient apporter un soutien et une direction à suivre, amorce de réponse à mes questions sur le sens de la vie.
Je me suis donc mis à étudier, m’inscrivant à un organisme à Paris qui abordait des thèmes sur « le domaine parapsychologique », que nous appellerions aujourd’hui « développement intuitif ».
Au fur et à mesure que je faisais des découvertes sur les moyens de développer mes perceptions, je comprenais de mieux en mieux ce qu’était l’intuition.
Je pouvais aussi, même très jeune, me sentir un peu plus en sécurité avec ce qui me perturbait parfois jusqu’alors ; lorsque, comme moi, on ressent les choses très fortement et… un peu plus que « la normale », on cherche des explications.
J’ai donc suivi ce cursus d’apprentissage inhabituel durant deux ans, en parallèle avec le parcours scolaire habituel. J’ai fait ensuite un « break » de quelques années, scolarité oblige. Je restais tout de même très attentif à tout cela. J’ai suivi ensuite toute une phase de vie ordinaire, avec le quotidien du travail, de la famille, des voyages, etc.
Et puis, vers l’âge de 28 ans, j’ai dû me rendre à l’évidence que je me devais d’aider les autres, avec justement toutes ces facultés intuitives qui m’appelaient et s’imposaient impérativement.
En effet, au fur et à mesure que j’avançais dans ma vie, je m’apercevais que mes facultés se développaient et je découvrais un nouvel univers, une nouvelle idée de moi. Je me sentais un peu comme un étranger qui vient de découvrir un nouveau pays et qui se met à lire dans le présent, le passé, voire même le futur des habitants du lieu, tout en restant dans un présent permanent. Je « lisais » ce que l’on nomme l’aura. Je pouvais donc appréhender l’histoire de vie d’une personne et ainsi comprendre sa réalité inconsciente d’une façon tout à fait nouvelle pour moi et bien évidemment passionnante.
Je décidai donc de poursuivre cette recherche sur moi-même et me mis en quête de trouver un enseignant qui pourrait me conduire sur cette voie d’apprentissage. Ceci fut assez ardu car je rencontrais des personnes très intéressantes, très attachantes, débordantes de connaissances, de bons professeurs, mais pas « le bon enseignant, le bon maître » tel que je l’entendais. Oui, j’appris des choses, mais après mûre réflexion, je compris que le bon chemin était en moi et que je devais écrire seul mon histoire de guérisseur.
Je suis au départ autodidacte et il est vrai que je suis meilleur quand j’apprends par moi-même. Je me suis vite rendu compte que la voie que je devais suivre était celle que je m’étais fixée : aider les autres. Cette profonde réflexion sur moi-même m’incita à rechercher une application thérapeutique à mon intuition, en y ajoutant toutes les techniques que j’avais apprises jusqu’alors, afin d’atteindre ma propre façon de soigner. Tout ce que j’avais accumulé comme connaissances était fort précieux et mon travail énergétique, qui favorise le mieux-être et stimule l’organisme, s’en trouvait dynamisé.
Durant quelques années j’ai mis en pratique, je suis parvenu à une bonne maîtrise, j’ai pu alors prendre du recul et détecter qu’il demeurait des manques à ma technique personnelle de soins.
C’est à cette époque que ma route croisa le Bouddhisme et je compris la réelle nécessité, pour mon bien-être personnel, d’en suivre les enseignements. Ceci me fit prendre conscience de la réelle demande de certains de mes patients d’entreprendre des soins sur une plus longue durée. Dès lors, je réalisai que ma véritable voie était la pratique de la « thérapie spirituelle », en incluant mes soins énergétiques.
Je prenais conscience qu’à travers le soin spirituel, la manière d’accompagner les personnes et de consolider leur mieux-être nécessitait le long terme : nous découvrions ainsi, ensemble, le fond du trouble, physique, mental ou spirituel qui les conduisait jusqu’à moi. Nous pouvions alors engager, chez eux, un profond changement et, de ce fait, soigner leur trouble, à tout niveau et non superficiellement.
La vie est changement, ne peut rester immuable, ainsi nous bougeons et faisons bouger autour de nous et en nous. Et il est vrai que nous avons du chemin à parcourir… La vie est un voyage rempli d’expériences : elles nous apportent l’opportunité de comprendre nos possibilités, de grandir, d’expérimenter jusqu’à l’infini, de découvrir qui nous sommes, de trouver en nous la partie infime de notre être profond, de rencontrer cette partie divine, celle qui nous fera entrer en résonance avec l’énergie de l’univers et garder l’ancrage dans le monde physique.
Je tiens aussi à dire que le changement profond se fait par étapes, que rechercher constamment la cause de tel ou tel problème est souvent un leurre. En effet derrière ceci, il y a cela, et puis… etc. On s’aperçoit que l’on peut aller plus loin, travailler sur le fond de certains schémas, et prendre conscience de l’importance du travail accompli surtout basé sur notre propre évolution, sur ce que notre histoire nous enseigne à ce moment présent ; nous pénétrons dans un schéma de compréhension de notre fonctionnement et ainsi nous nous éloignons de toute forme de pensée illusoire, et donc nous sortons de nos souffrances. Bien sûr, il arrive que l’on prenne en compte des histoires d’incarnation, que l’on analyse les images qui arrivent au mental du patient lors des séances, juste pour vérifier si ces images font bien partie de son histoire et ne sont pas un montage de peurs ou de souvenirs extérieurs, quelquefois même tronqués. Et évidemment, je fais très attention de ne pas m’égarer dans mes propres interprétations qui pourraient induire des erreurs de compréhension chez la personne qui me consulte.
L’énergie de nos pensées et de nos émotions agit dans notre vie quotidienne avec la réalité visible d’actes de mise en situation : en fait, nous sommes créateurs de ce que nous pensons, de ce que nous ressentons.
Qui que nous soyons, quoi que nous fassions, que nous croyions ou pas à la fonction d’être créateur des situations de notre vie, une chose est certaine : la vie que nous avons, elle, s’est bien matérialisée, elle est bien là et elle a bien un sens. Cette réalité fait indéniablement partie de notre vie.
Pour vivre au mieux notre quotidien, nous mettons tout notre cœur, nous trouvons toutes sortes de motivations pour aller dans une direction de projet de vie.
Dans l’univers, tout est énergie. Cette énergie vibre à différentes fréquences. Combien de fois n’ai-je pas entendu, ou lu, que les magnétiseurs et thérapeutes n’utilisant pas en soin l’énergie spirituelle étaient moins élevés au niveau vibratoire et se fatiguaient très vite ? Je me suis interrogé sur ce genre de réflexion en tant que magnétiseur travaillant toute la semaine, environ quatorze heures par jour depuis plus de trente ans : je vais plutôt bien et je vibre plutôt bien. Sans doute parce que ce genre de pensées ne fait pas partie de ma façon de considérer mon évolution et, surtout, parce que je n’ai pas peur de perdre ce fluide.
Merci à vous qui me lisez d’entrer dans mon univers de guérisseur.
Chapitre 1
Un arbre dans ma vie…
J’ai passé une grande partie de mon enfance à Gevrey-Chambertin, village de Côte-d’Or hautement réputé pour son vignoble.
Dans la cour de la maison où je vivais se dressait un chêne magnifique. Il émanait de cet arbre une force majestueuse et une sorte de protection bienfaisante. Je me sentais bien sous ses branches et surtout au pied du tronc. Je m’y accolais souvent, je compris par la suite que cet arbre superbe m’avait apporté sa chaleur magnétique. Oui, les chênes ont la capacité d’emmagasiner, les soirs de pleine lune, de fortes charges magnétiques délivrées par cet astre. On peut lire d’ailleurs, dans certains ouvrages, qu’autrefois au petit matin de pleine lune, des hommes se pendaient par les pieds aux branches des chênes pour se recharger en énergie magnétique. Ainsi, près de ce chêne, près de cet arbre immense, je ne sentais plus de limites et je percevais qu’une osmose se créait entre moi et cette masse. Vous savez, c’est comme lorsqu’un bébé arrive, on lui souhaite la bienvenue sur la planète et ses parents vont enterrer le placenta au pied d’un arbre afin que le nouveau-né grandisse entouré de toute la force protectrice de cet arbre.
Je plantais mon ar

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