D ineffables nouvelles
168 pages
Français

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D'ineffables nouvelles , livre ebook

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Description

Ces trois nouvelles, qu’il s’agisse d’un conte ou d’une comédie, donnent au lecteur le plaisir de s’identifier avec les héros de ces récits fantastiques. Il s'agit, pour chacune d’elles, de la rencontre entre deux personnages, tant dans le contexte de l'amour que de l'amitié, ou encore dans celui du jeu dramatique. Ces histoires ont été écrites en compagnie de pierres semi précieuses, respectivement le cristal rose, l'agate et la larme d’apache, dont elles ont conservé la tendresse des couleurs et des sensations physiques. Voici donc les histoires d'un homme-loup, d'un amour aveugle et d'un masque de jaguar.

Sujets

Informations

Publié par
Date de parution 10 juillet 2020
Nombre de lectures 0
EAN13 9782414460410
Langue Français

Informations légales : prix de location à la page 0,0052€. Cette information est donnée uniquement à titre indicatif conformément à la législation en vigueur.

Extrait

Couverture
Copyright













Cet ouvrage a été composé par Edilivre
194 avenue du Président Wilson – 93200 Saint-Denis
Tél. : 01 41 62 14 40 – Fax : 01 41 62 14 50
Mail : client@edilivre.com
www.edilivre.com

Tous droits de reproduction, d’adaptation et de traduction,
intégrale ou partielle réservés pour tous pays.

ISBN numérique : 978-2-414-46040-3

© Edilivre, 2020
Un rêve de rose
En conscience du rêve sous lequel s’éveillent leurs âmes les souvenirs, de nos souffles s’accordent envers l’émotion d’un espoir. L’incomparable verbe d’une absence, s’éprend d’une impossible grâce. Un ineffable aveu, éclipse le cœur de sa complicité.
Le séjour de nos ombres lui-même, réapparaît au-devant de nos heures insaisissables. Un acte inéluctable s’émerveille, du songe de ce présent qui en recouvre la beauté. Le signe d’un interdit désir se destine, au vœu de notre inspiration secrète. Un intérieur appel revêt, notre propre douleur.
Il se présage à l’errance qui emporte, sa conscience alentour des surfaces rêveuses de ce lac, serti dans les hauteurs du plateau au beau milieu de la savane, matutinale que le silence éveille à l’appel d’un verbe lacrymal. La parure du ciel s’est inspirée des soupirs, qui s’évaporent des eaux limpides de cette âme. Le chœur des rochers s’est aventuré distraitement, dans la perception abstraite de cet éclair d’indifférence. La délivrance d’un ineffable rêve, se destine à l’espérance propre de l’émotion.
Qu’en lui-même le sacre de la beauté, exauce le souffle d’une amère impulsion ! La symphonie des reflets, qui s’éveille aux détours de ce songe inespéré réitère, l’espérance d’un verbe inéluctable de bonheur. Un ineffable éclair, moissonne les ténèbres soustraites à ce présage d’amour, irrécouvrable… Or, nul acte ne s’inspire, sous l’égide de cette âme triomphante. Ce n’est pas pour autant que l’absence, en travestit l’impavide émotion. Il observe qu’au détour de l’aveu de ce songe, le secret d’une apparition recouvre son inexorable démence. Ne lui semble-t-il pas en égard que le fruit d’une hallucination, mentale se destine à l’éclipse de son ombre, distraite ?
La délivrance stellaire d’un accord complice, exauce l’émotion qu’il ressent à la vision d’un subtil présage. Là-bas au cœur des rochers dont les sarments, épousent la berge opposée sur les eaux à sa main gauche il ressent combien, le désir de ces larmes se confond avec l’allégresse de son âme. Il en perçoit le sourire pétrifié, au-delà de son souffle distant. Sous l’opaque rideau des nues, qui s’élèvent au-devant de ce songe éperdu de bonheur le sémaphore d’un nid de braises mourantes, reflète l’aveu d’une inspiration ineffable d’espoir. L’exil d’une fortune impénétrable recueille la mémoire d’un songe.
On dirait que le souvenir d’une intime espérance s’éprend, du verbe ému par son ombre. L’irrécouvrable éclair de l’indifférence, s’éveille à son espoir. Le mystérieux murmure de l’inlassable reflux, épouse l’accord d’un signe inéluctable de perception. Au-delà d’un souffle indéclinable, la parole du rêve s’apporte au-devant de cette heure fatale, qui en inspire l’apparition secrète… Le silence, de ce vermeil reflet illumine l’éclat d’une incomparable aspiration. Le verbe d’une abstraite, beauté en répand l’inlassable émotion. L’onde d’une sépulcrale grâce s’évanouit, au-devant de la culpabilité de son âme, en égard d’un souhait d’impénitence inassouvie. La complicité des brumes en élance, l’imaginaire ferveur. L’ineffable esprit d’un pacte onirique, se reprend à sa conscience inextinguible. L’appel d’une âme rêveuse, s’inspire à son espoir pétrifié.
L’indigène perception d’un solidaire accord, nourrit la secrète espérance du songe. Le souvenir d’une irrémissible pulsion inspire, à l’aveu de son apparition le mime d’un exil complice. Il se met pieds nus puis s’allonge au rebord de la rive, pour pénétrer à l’intérieur des eaux du lac, tout en se tournant lestement sur le ventre sans bruit, et disparaît subitement aux regards. Le rêve d’une fraîcheur originelle, envahit le verbe submergé de son âme. Le sacre d’une absence s’apporte, à son impénitent désir. Au sein de cette intime, délivrance il laisse s’évader le souffle d’une indicible espérance. Le présage d’un impavide signe, s’apporte à son espoir. L’attente, revient au-delà de l’ultime acceptation de son âme, en sommeil. Il s’épanche du bonheur à venir qui en recouvre, en lui-même l’ineffable émotion. L’inspiration d’un éclair d’amour, se destine au verbe de son heure fatale. Peu à peu la stupéfaction s’éveille, sous la substance de son souffle. Une foudroyante interdiction, en inspire l’ineffable illusion. Le devenir d’un acte inespéré, se destine à ce rêve d’une secrète béatitude. Une espérance émue en partage, en ailleurs le vœu inaccessible au présage de l’espoir.
L’ineffable conscience d’un rêve en poursuit le verbe indéclinable. La parole complice d’un accord en revêt, l’espérance secrète. L’impossible délivrance que cet aveu, recouvre au cœur inespéré d’un songe, s’entrebâille à l’impavide douleur de son âme. L’appel de l’indifférence illumine, la beauté de ce souffle au-dedans de l’irréelle absence, qui en contient l’éternelle inspiration. Le signe d’un sous-jacent éveil, revêt envers son souvenir l’ombre d’une espérance. En lui-même il a soif, d’un éclair d’amour. L’exil, des sanglots revient à la ferveur de l’existence en elle-même. L’intime consécration de cette ultime espérance, en ravit l’appréhension. Le battement de son cœur s’apporte, à ce secret désir en égard du vœu de son âme impénitente. La fortune imperceptible, d’une imaginaire errance retrouve sa conscience inextinguible. L’ivresse de cet insatisfait message, en accorde l’espoir. L’indistinct bouleversement de l’éternelle attente recouvre la délivrance, d’un souffle en partage de son heure. La foudre du verbe irréfragable, éclate d’une allégresse impénitente. L’invisible félicité des êtres, exauce le songe d’un verbe inéluctable. Une inexorable prédilection, envahit une abstraite souffrance sous sa résurrection.
Sa perception s’émeut d’un impavide accord, à la pensée de ce rêve consumé par l’onde d’un espoir, insaisissable. Le sacre de la complice indifférence, qui en amende l’apparition emplit sa muette espérance. L’exil du bonheur parvient, au-devant de son souffle au-delà des fragments de son image, elle-même. L’illusoire grâce de son âme revient, au-dedans de son être en secret. L’indifférence d’un éclair d’absence, abreuve le désir de son ombre. L’appel d’un souvenir recouvre, sa ferveur inexorable. L’errance, se reprend à sa parole inexprimable. En lui-même il perçoit, l’aveu d’une insondable substitution. Une foudroyante fortune, s’inspire au-dedans de son âme. L’intime conviction que la beauté d’un songe, apporte à son présage retentit au-dedans, d’un ineffable verbe. L’indifférence éclate, en partage d’un drame irrémissible. Le symbole d’une émotion insoupçonnée, revient à sa conscience. Il s’éveille au-dedans de son ombre, inaccessible à la légende de son désir. L’espérance s’émeut d’un souffle inexprimable. La beauté d’un interdit accord étreint, le secret de son heure. La fatalité d’un inéluctable, éclair illumine sa parole.
Enfin, il aperçoit dirait-on comme au-delà du souffle, d’un inexprimable verbe l’étreinte qu’accordent les rochers, au-devant de l’appel distinct de son être. La grâce d’une imaginaire évasion s’éveille, à son désir ineffable. Les vaporeuses surfaces, déjà se sont dérobées à l’inspiration que l’éveil d’un rêve accorde à l’espoir, de leurs âmes. Il devine qu’elles soustraient ainsi, aux regards que la rive contient le prétexte de son souffle secret, en laissant apparaître au-devant des siens le spectacle, inespéré de cet aveuglement. Il prend garde de ne pas provoquer, la lacrymale licence d’une moindre onde de son haleine, en s’accroupissant sur le sable au fond du revers de ce lac. Il contemple les alentours, aux orées crépusculaires de ces braises fatales. Il distingue, aux épousailles à fleur de l’eau sur l’illusion qui en émeut avec les roches le ballet, d’un visage entouré d’une longue chevelure noire ses yeux, fermés au-dehors d’un lit de peaux de loup. La nuptiale indifférence du sommeil, de cette ombre rejoint la beauté de son âme. Pour peu que ses vivions résolvent l’équinoxe, du présage qui en berce l’aveu aucune forme de vie, ne s’aventure au-devant de l’appel de ce songe.
La fatalité esthétique, qui soutient les traits endormis de sa physionomie se tourne vers la rive du lac comme, pour en retenir la fervente parole. Elle épouse ainsi à travers le prisme de la surface, l’exil d’une espérance insatisfaite qui inspire l’âme d’une abstraite complicité. On dirait, que l’indifférence et l’émotion exalte l’une envers l’autre, le secret de l’éternité. Peu à peu l’absence paralyse, le recel intime de sa poitrine jusqu’à ce qu’il s’arc-boute en arrière en se poussant, sur la plante des pieds afin de rétrograder en la quittant ainsi, du regard. Tandis qu’il fait se libérer ineffable la pression, qui encage son cœur l’éclat du soleil illumine, le verbe des sphères nuptiales de cette lacrymale perception. On dirait que le rideau se referme, sur la parole de son être. Il se retourne sur le ventre, en se projetant en pensée en train de reprendre déjà ses chaussures. La douceur d’un irrépressible sentiment, ameute le souvenir de son âme. L’éternité d’un éclair d’amour, l’éveille à cet inextinguible songe qui en inspire l’appréhension. Il se met en devoir de ne pas dévier, d’une seule once de mouvance afin de retrouver son éphémère port d’attache. En elle-même l’attente, se substitue au verbe de sa jouissance. L’insaisissable aveu d’une blessure, corrompt le souffle impavide de son âme. Enfin, il touche au but de cette angoisse inexprimable.
A l’avant de la rive il retrouve ses clarks, qu’il empoigne pour aller les remettre dans les herbes hautes. A l’intérieur de celles-ci il s’installe sur le sol, en tailleur et observe depuis le douillet

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