Fin du Monde

Dieuleveut Butey Bulary

Description

Ce livre peut être considéré comme le testament d'un pèlerin terrien qui a vécu entre le 20e et le 21e siècles. Il n'est pas rédigé avec l’intention d’offenser l’opinion publique, moins encore de combattre certains systèmes déjà établis.

Ce livre est écrit dans le but de régénérer la pensée humaine tout en soulevant des points que l’homme ignore. En effet, l’ignorance peut porter préjudice à l’homme et à toute l’Humanité.

Les réflexions et analyses de ce livre sont tirées des faits et maux qui rongent la société d’aujourd’hui. L’auteur expose une vision de sa philosophie en rapport avec la civilisation actuelle. Tel un repère, ce livre consiste à tirer une sonnette d’alarme afin de préserver l'humain, l'humanité ainsi que sa descendance. Même si Le monde n'est que le mot démon écrit à l'envers, le mal ne régnera pas toujours car le bien, à l'image de la vérité suprême, finit toujours par triompher.

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Informations

• Publié par: Edilivre
• Date de parution: 18 mai 2020
• Nombre de lectures: 5
• EAN13: 9782414425549
• Langue: Français
• Poids de l'ouvrage: 1 Mo

Extrait

Couverture
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Cet ouvrage a été composé par Edilivre
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intégrale ou partielle réservés pour tous pays.
 
ISBN numérique : 978-2-414-41183-2
 
© Edilivre, 2020
Exergue
 
« Le Monde n’est que le mot démon écrit à l’envers »
Dédicace
 
Ce livre est dédié :
À ma mère Marie-Josée Bulankete Bularie.
À mes frères Arnold Salaney Butey et Dan changa Butey.
 
Ce livre n’est pas rédigé dans l’intention d’offenser l’opinion publique, moins encore de combattre certains systèmes déjà établis. Ce livre est écrit dans le but de régénérer la pensée humaine tout en soulevant des points que l’homme ignore. En effet, l’ignorance peut donc porter préjudice à l’homme et à toute l’Humanité.
Les réflexions et analyses de ce livre sont tirées des faits et maux qui rongent la société d’aujourd’hui. L’auteur expose une vision de sa philosophie en rapport avec la civilisation actuelle.
Tel un repère, ce livre consiste à tirer une sonnette d’alarme afin de préserver le monde et la descendance future.
Avant-propos
A première vue, ceux qui voient dans mon livre « Fin du Monde », l’Armageddon – comme un dénouement, ils sont passés à côté de la plaque. Ils sont tombés dans le panneau. A vrai dire, c’était cela aussi ma première idée, mais, j’ai pu aussitôt lâcher prise. Je ne voulais pas opposer la religion à la science… surtout ne pas m’immiscer dans une vieille querelle existentielle qui aura pour une similitude – d’un débat autour du sexe de l’ange. Ça, je n’en veux pas du tout.
Pour moi, la Fin du Monde est là. Elle est imminente. Peut-être dans les tout prochains jours. Certains me prendront pour un fabulateur et d’autres pour un menteur. Tant pis. Ma Fin du Monde, c’est celle que j’observe chaque jour à travers les faits d’actualité de l’époque contemporaine dans les médias et sur les réseaux sociaux. L’homme n’a jamais été aussi cruel comme celui de nos jours. L’exploitation de l’homme par l’homme a atteint donc son paroxysme. A cette allure, le monde disparaîtra. Je préconise également, dans la foulée, la fin des méchants. Le mal ne régnera pas toujours. Car, le bien, à l’image de la vérité suprême, finit par triompher. En écrivant ce livre « Fin du Monde », je veux juste réveiller la conscience des milliards d’habitants de cette terre.
Dieuleveut Butey Bulary
L’univers forma l’homme et l’homme fabriqua le monde
L’univers, oui, ce vaste espace vide voué à l’abîme qui n’a point de début, ni fin mais qui selon les astronautes abrite une multitude des planètes, étoiles, astéroïdes, dont la terre en fait partie.
Jusqu’à preuve du contraire, aucun de ces hommes de science n’a su déterminer la taille exacte de l’univers, ni le nombre des astres. Chaque jour, la science nous apporte une découverte.
Ici, nous parlerons de notre planète terre qui forme notre monde.
La terre, l’une de plus grande planète dont le demi-grand axe est estimée à 149,597,887,5 km et la circonférence orbitale est de 939,885,629,3 km. Elle est la troisième plus proche du soleil. Malgré, de nombreuses études, plusieurs chercheurs spatiaux tentent d’en trouver d’autres planètes. On peut dire que jusqu’alors la terre reste la seule et unique planète où l’on trouve la présence humaine.
Certains écrits anciens de la Bible par exemple nous informent que la terre au commencement était informe et vide Et qu’il y’avait un esprit Divin qu’on appelle – Dieu. Le Très-Haut a créé la terre et l’a aménagé de la nature et des humains. De l’autre côté, d’autres écrits tels que scientifiques nous parlent de la théorie de « Big Bang » qui décrit la création de la terre et son évolution. De part et d’autre, chacun a donné sa version de la création mais tout ce que nous retenons est que la terre existe depuis des millénaires et sans doute, elle a eu un début et aura aussi une fin. La fin ? Oui elle viendra mais à force de subir multiples évènements tragiques des humains, elle tend alors vers sa fin précoce.
Toutes les théories se sont mises d’accord sur le fait qu’au commencement il y’a eu les premiers êtres vivants sur terre tel que l’humain ou l’animal…
Ces premiers êtres vivaient bien, entourés d’une nature remplie d’une Biodiversité. L’humain n’avait pas à faire trop d’efforts pour s’offrir une bonne vie. Il avait à ses pieds de quoi se nourrir pour sa survie, de quoi se garantir d’une santé avec des plantes en cas d’une maladie. L’humain était adapté à sa vie et son environnement.
La démographie a fait que l’homme puisse développer beaucoup des choses, car sa diversité l’a plongé dans certaines dérives d’autant plus tous les hommes ne naissent pas avec la même mentalité, même prise de conscience, même intelligence…
L’homme qui était créé pour vivre en harmonie avec la nature l’a détruit, l’homme qui était crée pour dominer sur les animaux se voit perdre son autorité et devient faible devant celui-ci. L’homme qui était créé pour vivre avec son semblable fait de lui son ennemi et le tue. L’homme a perdu la gouvernance de la terre qui lui a été offerte par le Très-Haut. L’homme est une victime de ses propres délires.
Soulignons qu’au fil de temps, les hommes se sont diversifiés par rapport à leurs apparences. D’une part, on retrouve les humains à la peau claire, d’une autre part ceux au teint foncé et aussi ceux qui ont la peau un peu rougeâtre et jaunâtre. Tout ceci fait partie d’une diversité qui se crée avec l’évolution de l’homme. Mais l’homme peu importe sa couleur de peau ou sa situation géographique reste un homme, car, tous ont les mêmes choses qui leurs qualifient.
Chaque diversité vivait dans son petit monde, les foncés en Afrique, les claires en Europe, les rougeâtres en Asie. Vivant dans une communauté chacun a pu se développer, s’organiser pour une vie meilleure. Chacun a créé sa propre culture et son système de vie. Pendant qu’ils n’étaient pas en communication, ils développèrent des choses en commun tels que, l’hiérarchie, la gouvernance, les lois… tout était fait par instinct humain pour établir de l’ordre au sein de la société.
Tout a bien commencé jusqu’au jour de la naissance de « L’échange » ou « Le Troc » qui a engendré à son tour la monnaie qui est devenue « l’argent ». L’argent est le centre de tout le mal dit-on. Son avènement a cultivé à l’esprit de l’homme l’envie et les désirs. L’homme est devenu un rageur à la recherche de l’abondance, celui qui possède veut encore posséder plus que ce qu’il possède déjà.
Les envies créent l’égoïsme, vouloir tout conquérir à lui seul. Des Européens en passant par les Africains et les Asiatiques tout comme les Américains, l’homme est animé d’un même esprit égoïste. À ce stade, ceux qui étaient plus forts que les autres se sont mis à marcher sur les faibles. La création des empires en Afrique où le pouvoir intouchable qui se donne par lignée familiale – La création des institutions fortes en Europe où certains pays dominés et cela fut pareillement pour l’Asie et l’Amérique. Cette envie égoïste de conquérir a suscité la colonisation. Les rois qui colonisaient leurs peuples se sont vus eux aussi dominés par ceux qui étaient plus envieux qu’eux. De l’Amérique en Afrique, l’homme a été cette proie de son prédateur l’homme. Tout le monde veut être au-dessus de l’autre.
L’envie a modifié le mécanisme du cœur de l’homme. « Le cœur qui hier était créé pour aimer est aujourd’hui devenu un grand générateur de la haine ».
La colonisation, les conflits et guerres prouvent à suffisance la méchanceté de l’homme envers son semblable.
L’univers a créé l’homme et l’homme a fabriqué le monde. Ce monde où l’on vit maintenant a été fabriqué par l’homme. Hormis cette naissance de la haine qui fait partie de la plus grande tragédie de l’histoire de l’Humanité et qui précipite la fin du monde, nous avons aussi découvert encore beaucoup d’autres fléaux ravageurs.
Cette cruauté de l’envie a fait naître les nouvelles technologies. L’homme est prêt à sacrifier la vie de ses semblables afin d’étendre sa soif de conquérir. Aujourd’hui l’homme veut explorer l’espace. L’industrialisation des fusées spatiaux ont causé du tort à la couche d’ozone qui est censée protéger la terre face aux rayons ultraviolet du soleil. L’homme se voit exposer face à ce délit. Aujourd’hui, on parle du réchauffement climatique, c’est en partie à cause dudit méfait.
La technologie qui fait bon service mais ramène des multiples répercussions. La fabrication des voitures relâchant des gaz à effet de serre qui pollue l’atmosphère et crée plusieurs maladies en l’homme. La déforestation qui crée elle aussi des forts impacts, de perte de vie des animaux et aussi la diminution de l’oxygène qui joue un rôle important pour la respiration mais qui se voit éliminer à petit feu, l’exemple de la forêt du bassin du Congo qui est considérée comme étant poumon du monde vu sa superficie et la grande quantité d’arbres qu’elle abrite. Elle est deuxième plus grande forêt du monde après l’Amazonie mais qui malheureusement chaque jour – elle est déboisée pour multiples raisons économiques notamment liées à la fabrication des meubles en bois. Le déboisement crée un impact négatif dans le changement climatique de notre planète.
L’homme et sa technologie à grande échelle avec des grandes entreprises de transformation qui déversent leur reste de production chimique ou organique dans la mer, une grosse pollution et attaque pour les animaux aquatiques qui meurent chaque seconde, les plastiques, sachets ainsi que d’autres matériaux non transformables finissent leurs parcours de vie à la mer qui après avoir été polluée sera servi de boisson pour l’homme. Il crée des (OGM) ou encore des organismes génétiquement modifiés qui créent à leurs tour des diverses maladies telles que le cancer, l’hypertension,… l’homme mange