Je voulais juste l aimer
442 pages
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Description

Le véritable amour existe-t-il pour de vrai ? Qu'est-ce qui le définit ? Et quel est son prix pour vous ?

C'est l'histoire d'une famille occidentale expatriée dans un paradis lointain où elle était reine et faisait lois dans sa localité. Leur unique enfant, par ses brèves aventures, croyait connaître ce que c'était d'être amoureux dans l'insouciance de l'adolescence. Il séduisait toutes les filles et en faisait ce qu'il voulait. Mais un jour, pendant une fête à laquelle il n'était pas censé être invité, il croise la foudre de l'amour à travers un bref regard de la furtive fille « maudite » dont il ne fallait surtout pas qu'il tombe amoureux, car tout dans leur vie les oppose. C'est à croire que, pour lui, plus c'est compliqué, plus il résiste, et plus la malédiction s'accentue...

Sujets

Informations

Publié par
Date de parution 09 octobre 2018
Nombre de lectures 0
EAN13 9782414222926
Langue Français

Informations légales : prix de location à la page 0,0105€. Cette information est donnée uniquement à titre indicatif conformément à la législation en vigueur.

Extrait

Couverture
Copyright













Cet ouvrage a été composé par Edilivre
175, boulevard Anatole France – 93200 Saint-Denis
Tél. : 01 41 62 14 40 – Fax : 01 41 62 14 50
Mail : client@edilivre.com
www.edilivre.com

Tous droits de reproduction, d’adaptation et de traduction,
intégrale ou partielle réservés pour tous pays.

ISBN numérique : 978-2-414-22290-2

© Edilivre, 2018
Remerciements
Le Commun des mortels aime souvent parler de 2 sujets : Il parle du connu car il veut montrer qu’il connait ou il parle du méconnu car il cherche et veut le connaitre et l’entre deux est juste un tremplin vers l’un ou l’autre de ces deux sujets. Moi je vous parle d’amour car c’est ce que je connais et ce dont je n’ai jamais manqué dans ma vie de tous les jours. Hommage à toi MERE pour cet Amour au quotidien Merci à ma famille, à mes amis, à mes collaborateurs, à mes connaissances et à l’ensemble de ce monde plein d’amour que j’arpente tous les jours avec envie, détermination, courage et surtout dépassement pour le changer en bien à ma façon. Sachons offrir de l’amour à celui qui nous tend une bonne dose de haine et ce simple geste peut changer une vie au quotidien.
Mackdi KANN
Exergue

Cette histoire à la fois passionnante par son originalité, triste par sa réalité, tragique par son déroulement, t’entrainera dans une des plus troublantes et passionnantes histoires d’amour entre ces deux êtres dont la différence est comme entre le jour et la nuit, mais que leur véritable amour a unis contre vents et marrées au péril de leurs existences.
Face à l’humanité on a deux choix qui s’offrent à nous : Offrir l’amour qui nous unis et perpétue dans un éternel bon vivre ou propager la haine qui décime et détruit notre humanité comme ce fut le cas de ma famille.
Introduction
Aussi loin que je me rappelle, tu as toujours occupé mes pensées malgré les années passées loin de toi à essayer de recréer une vie heureuse sans toi.
Pour moi tu as été et es restée innée en moi, dans mon subconscient depuis notre première rencontre très lointaine. Mon âme t’a épousée depuis le premier regard posé sur toi.
Partir et faire semblant de vivre n’a été et n’est que souffrance depuis toutes ces années.
Je m’appelle ulyss et je vais vous raconter ma vie amoureuse qui m’a été interdite à cause non seulement des différences religieuses et des coutumes barbares, mais aussi à cause d’une différence sociale.
Chapitre 1 Mon Enfance heureuse
Jadis nous vivions dans un village très lointain dans un petit paradis d’Afrique. Mes parents étaient des riches expatriés dans un endroit pauvre. Aux alentours de notre clôture, il n’y avait rien d’autre que l’écurie de mon père et son parcours de golf où d’autres familles expatriées aussi riches que la nôtre venaient passer le week-end avec nous.
Ma mère était la directrice de la seule clinique qui existait dans notre village. C’est à croire que cette clinique nous appartenait car personne d’autre que mes parents ne prenaient la décision de l’ouvrir un jour ou de la laisser fermée. Mes parents avaient beaucoup d’influence dans notre entourage et cela se voyait aussi sur le personnel de notre maison qui était différent de nous. Tout petit, je ne comprenais pas pourquoi ils étaient si différents et par la couleur, mais aussi par la façon dont ils étaient traités par mes parents et tous ceux qui venaient chez nous. Et avec mes copains aussi, nous ne les traitions pas toujours bien.
Eux ils étaient tellement adorables avec nous, que parfois ma mère les grondait pour des choses dont nous-mêmes étions responsables. On se moquait d’eux en disant, qu’ils venaient d’un autre univers où ils étaient tous pauvres et n’étaient réduits qu’à servir les autres.
Quant à mon père, avec du recul, je me rends compte qu’il n’était pas aussi idéal que je le pensais. Etant petit, mon idole c’était lui, l’homme qui était aux commandes de tout et de tous et à qui tout le monde obéissait. L’homme qui réussissait d’un regard à mettre tout le monde d’accord sur ses idées.
Pour moi c’était comme un magicien, mon magicien à moi, qui me ramenait tout ce dont je rêvais comme jouets, ou ce dont un enfant avait besoin pour s’épanouir. Quelque fois pendant les seuls moments où il avait le temps de me prendre sur ses genoux, il me parlait avec douceur, amour et surtout son regard me rassurait sur tous les démons qui pouvaient hanter mon existence. Il me comblait, me rassurait et j’étais vraiment le plus heureux des enfants. Pour moi c’était le père idéal, l’exemple parfait de parent aimant, l’être qui avait le pouvoir de dompter le monde et en faire ce qu’il voulait. Je ne savais pas spécialement quel rang social il avait, mais je me rendais déjà compte qu’il était influent, qu’on était très riche et vivions dans l’abondance. Notre cour était remplie de belles voitures avec différents chauffeurs tous différents de nous et de beaucoup d’autres domestiques. Mon quotidien se résumait à aller à l’école en voiture, revenir pour jouer et profiter de tout ce dont nous disposions. J’étais le seul enfant de cette riche et influente famille dans cet endroit du monde où la richesse était seulement l’exclusivité d’une poignée de familles étrangères.
A l’école, l’influence de mes parents était telle que, mes copains se battaient pour rentrer avec moi à la fin des cours pour y rester jouer chez nous. On avait un petit terrain de foot, un court de tennis, une écurie de chevaux, un petit zoo, bref tout ce dont on avait besoin pour une vie de rêve.
Autant mes copains se battaient pour être dans mes bonnes faveurs, autant je voyais leurs parents aussi faire tout pour être dans les faveurs de mes parents, pour être invités les week-ends chez nous et partager des moments agréables de course à cheval, de tennis avec notre famille et beaucoup d’autres bonnes choses avec mes parents. On avait une tradition hebdomadaire qui faisait que tous les week-ends notre maison était pleine d’invités tous exclusivement riches les seuls présents qui n’avaient pas leur place à cet endroit, mais qui y étaient quand même pour servir étaient nos domestiques. Les parents avaient leur coin à eux, interdit aux enfants. Et nous les enfants étions aussi ensemble entre nous et toujours sous la surveillance d’un domestique. Ainsi ce qui était une fête pour nous, était un jour avec énormément de travail pour les domestiques. Ils devaient faire en sorte que tout soit prêt avant la fête, que tout soit parfait pendant la fête, mais aussi juste après la fête. J’étais dans mon petit paradis heureux dans l’insouciance de l’enfance.
Mes premières histoires de flirt, ont commencé dans ces petites rencontres entre familles riches, j’étais celui qui était courtisé par toutes les filles de notre école. Tous mes copains me jalousaient, mais personne n’osait réellement me le montrer. Je le sentais cependant à la façon dont ils me regardaient.
Au début de mon adolescence j’ai commencé à me poser quelques questions existentielles telles que : D’où on venait ? Pourquoi mes parents étaient les maîtres de tout le monde ? Mais celles-ci ont très vite été balayées par un premier amour de jeunesse.
En effet, très tôt, sans m’en rendre compte, je tombais amoureux de ma première véritable copine. Évidemment, celle-ci était de la même classe sociale que moi. C’est comme si tout était mis en œuvre pour qu’on reste entre nous, vivons entre nous jusqu’à même nous lier sentimentalement entre nous.
Tout était minutieusement calculé par nos parents, comme s’ils devaient préserver quelque chose ou nous préserver de quelque chose.
Avec le recul, je pense qu’ils voulaient juste préserver leur supériorité hiérarchique dans notre milieu, afin de nous perpétuer dans ce paradis entre enfants aisés dans lequel on a toujours baigné.
Les années ont passé dans cette atmosphère agréable et toujours rien n’avait changé à notre quotidien. On était maintenant des adolescents amoureux entre nous, on se rendait mutuellement visite tantôt dormant chez l’un, tantôt chez l’autre. Nos parents approuvaient parfaitement ces échanges qui les enchantaient beaucoup en allant dans le sens de leurs plans.
Lors de mes déplacements dans ma voiture climatisée, blindée et avec chauffeur, je constatais qu’il y’avait des enfants de mon âge qui jouaient dans les buissons et les forêts qu’on dépassait à toute allure. Ils semblaient très heureux d’interrompre leurs jeux et courir derrière notre voiture qui soulevait beaucoup de poussières. Et ce qui me surprenait le plus, dans ce spectacle que je continuais à longuement regarder à travers le rétroviseur, c’est qu’ils couraient sur les herbes et cailloux de la forêt sans chaussures et tout sourire. Souvent avec des habits troués, alors que moi je ne marchais même jamais sans chaussons dans notre cour bétonnée par endroit. Tous ces enfants étaient aussi de la même couleur de peau que nos domestiques de maison. Tout ceci m’intriguait beaucoup.
Alors un jour de week-end, mon meilleur copain et moi décidâmes de profiter pendant que nos parents respectifs étaient occupés autour d’une grillade pour nous faufiler hors de la propriété et aller voir comment ça se passerait avec ces enfants qu’on voyait souvent sur notre route.
Et une fois sur place, nous avons été surpris de les voir jouer au foot par une balle de tennis. Celle ci a dû s’échapper de notre court de tennis pendant les fois où nous ne les cherchions jamais. On est resté loin cachés dans les buissons à les observer. Un d’entre eux nous ayant remarqué, nous lançait un regard de temps en temps.
Tout avait l’air de bien se passer et ils étaient plus qu’enchantés de profiter de ce qui ressemblait à leur plaisir quotidien.
Ils étaient bien organisés, se mettant en groupe pour avoir deux équipes. Ils avaient aménagé des buts fortuits avec des cailloux de chaque côté des buts.
Et on resta là, jusqu’à ce qu’ils aient presque terminé de jouer. Nous ne voyions pas le temps passé, captivés par la bonne humeur et les rires en éclats

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