Joy, quand le destin s acharne...
245 pages
Français

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Joy, quand le destin s'acharne... , livre ebook

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Description

Joy est une jeune fille de dix-sept ans qui croque la vie à pleines dents, elle danse et pratique les Arts Martiaux. Quatre ans après le divorce de ses parents, elle quitte son père à New York, pour rejoindre sa mère à Orlando en Floride. Une nouvelle ville, une nouvelle école, des nouveaux amis, son premier amour, mais tout va exploser autour d’elle comme un château de cartes. Qui devra-t-elle choisir entre Kevin et Taylor? Comment arrivera-t-elle à gérer les secrets qui entourent sa famille ?

Informations

Publié par
Date de parution 09 décembre 2014
Nombre de lectures 7
EAN13 9791029001901
Langue Français

Extrait

Joy, quand le destin s’acharne
Aurore François
Joy, quand le destin s’acharne















Les Éditions Chapitre.com
123, boulevard de Grenelle 75015 Paris
© Les Éditions Chapitre.com, 2014
ISBN : 979-10-290-0190-1
À la mémoire de mon Papa qui nous a quitté trop tôt et pour ma maman qui m’a encouragée à aller jusqu'au bout et qui est devenue ma première fan.
Prologue
Joy venait de fêter ses dix-sept ans, cette jeune fille aux longs cheveux noirs qui lui descendaient en cascades jusqu’aux fesses, ses beaux yeux en amandes bleu azur, sa peau très mat et sa silhouette sportive, vivait à New York avec son père, Steven Milton. Celui-ci était un avocat très reconnu à Manhattan, surtout auprès des gros escrocs qu’il sortait toujours d’affaire, il avait surtout la réputation d’être un coureur de jupons qui, selon la rumeur, aurait usés plus de secrétaires, que de dossiers juridiques. Sa femme Laureen avait fini par demander le divorce, et Joy s’était retrouvée coincé entre un père qu’elle aimait autant que sa mère, sauf que c’était elle qui avait du faire un choix entre eux deux, et subir une longue bataille juridique qui ne l’avait pas laissée indemne. Elle avait choisie de rester avec son père à New York au lieu de suivre sa mère à Orlando en Floride ou elle était partit vivre dans une villa, qui était une résidence secondaire, peu occupée, car rare étaient les vacances en famille. Joy était née à Manhattan, bien qu’elle avait tous ses amis dans le Bronx. Sa vie était de pratiquer les Arts Martiaux régulièrement avec son père, lequel l’avait initiée toute petite, et était devenue championne de Karaté avec la ceinture noir dans sa catégorie aux États-Unis. Avec la souplesse de son corps elle s’était mise à la gymnastique et avait découvert les chorégraphies de rue, elle avait eut l’idée d’inventée une forme de danse qui incluait les figures en Arts Martiaux, la gymnastique acrobatique et les chorégraphies apprissent avec ses amis, le tout avaient donnés droit à une danse inconnue mais devenue très populaire dans le quartier. Elle en avait fait son exutoire, sauf quand son père la provoquait au combat. Généralement cela venait d’un désaccord entre eux, et bien souvent c’est Joy qui le mettait au tapis. Steven n’avait que trente-quatre ans, il avait l’âge de Joy quand il est devenu père, bel homme athlétique au teint blanc, cheveux court et blond et au yeux azur que sa fille lui avait héritée, le reste elle le tenait de sa mère.
Un an après son divorce, Steven s’était remarié avec sa dernière conquête, Tiffaine Johnson, une blonde séduisante, avec dix ans de moins. Joy la détestait et refusait toutes communications avec elle, si bien qu’au bout de quatre ans elle décida de quitter New York pour rejoindre sa mère en Floride, cela avait amené une longue discussion avec son père :
– Tu aimais New York m’a puce ? Pourquoi veux-tu aller en Floride ?
– Tu le sais pourquoi papa ! Je la déteste, elle m’exaspère et explique lui que le silicone ne se met pas dans le cerveau.
– Joy tu es dur, Tiffaine t’adore !
– Elle adore ton portefeuille papa, c’est une greluche arquer sur des talons aiguilles. Je pars vivre avec maman c’est ma décision et puis rappelle-toi ce que tu m’as toujours enseigné : « Apprend à voir autour de toi avant de prendre une décision. » Tu as loupé le coche sur ce coup-là.
– Ok, appelle ta mère, programme tout ça avec elle, je t’emmènerai à l’aéroport !
Le jour du départ, Joy étreignait son père devant l’aéroport de New York. Elle allait rentrée en première dans sa nouvelle école. Sa mère avait tout arrangé pour sa venue, elle était devenue hystérique de pouvoir récupérer sa fille :
– Tu vas me manquer ma chérie, lui souffla son père les larmes aux yeux.
Joy aussi pleurait, des larmes roulaient sur ses joues, c’était un déchirement pour elle de quitter son père :
– Tu aurais dû mieux choisir tes fréquentations papa ! Lui répondit-elle en larme.
Son avion allait décoller, elle l’embrassa une dernière fois, et s’éloigna vers l’embarcation. Ce fut une grande joie de retrouver sa mère, qu’elle n’avait pas revue depuis quatre ans, Laureen était institutrice en petite école, métier qu’elle avait repris en Floride. Elles se ressemblaient beaucoup toutes les deux, les cheveux noirs comme l’opale, qui leurs tombaient en cascades jusqu’en bas du dos, le teint très mat, de fins sourcils. La seule chose qui différait était leurs yeux, ceux de Laureen étaient d’un vert émeraude très clair.
Lorsqu’elle s’assit sur son siège, Joy regarda par le hublot, cela serait la dernière fois qu’elle verrait New York. Elle mit ses écouteurs sur ses oreilles et partit pour une nouvelle vie.
Le voyage ne fut pas long, car la distance entre les deux villes prenait un peu moins de deux heures, une fois l’avion posé sur le tarmac, Joy débarqua avec les autres passagers, la chaleur était déjà étouffante.
Elle attendait sa valise, sa mère lui avait dit de voyager léger, qu’elles feraient les magasins pour l’habiller des pieds à la tête :
– Et puis tu n’auras même pu besoin de tes vieilleries ici, les jeunes filles se promènent en tenue légère, pas en canadienne.
Sa mère avait gardé de la rancœur, et ce n’est pas Joy qui allait lui reprocher.
Elle prit sa valise et sortit de l’aéroport, regardant de tout côté si elle voyait sa mère, quand elle entendit un cri qui fit retourner tous les voyageurs. Sa mère couru vers elle, et la serra si fort, que la jeune fille eu peur qu’elle lui casse les côtes.
– Ma chérie, je suis si contente, comme tu as changé ma belle ! Je t’aime.
– Moi aussi maman !
La mère et la fille sortirent ensembles de l’aéroport et prirent le chemin de la villa. Joy n’en revenait pas, la dernière fois qu’elle était venue ici, elle était encore petite. Ses parents avaient cessés de venir au cours des années, car son père prétextait toujours trop de travail. La maison était très grande aux murs blanc et beige. À la place des fenêtres, ce n’étaient que des baies vitrées. Elle comprenait un étage avec une terrasse qui entourait entièrement la villa. Joy entra dans un grand hall vide, ou se trouvait un grand escalier de marbre qui permettait d’atteindre l’étage. Sur la gauche ce tenait un immense salon et salle à manger, ou était disposé d’un côté, un grand canapé d’angle en cuir blanc qui prenait à lui tout seul un mur. De l’autre côté ce tenait une longue table en marbre blanc, agrémenter de chaises à haut dossier disposés tout autour. Devant le canapé se tenait un écran plat géant incrusté dans le mur. Une grande baie vitrée se trouvait à côté du canapé et une autre près de la table qui donnait sur l’arrière de la villa. À côté du salon, se tenait une grande cuisine moderne aux murs et carrelages blanc, les éléments de couleurs gris foncé donnait un beau contraste à la pièce. Au milieu se tenait un ilot de même couleur que les éléments, avec un évier incorporé en inox brillant et un plan de travail à côté, le tout scintillant de propreté. Devant était dressé un comptoir toujours gris avec de hautes chaises noir.
À l’arrière de la villa se dressait une grande piscine ronde à l’eau bleu clair et autour un plancher en bois spéciale où étaient disposés de longs fauteuils entourés de cuir noir et agrémenté d’un long coussin de couleur beige. Devant la piscine se trouvait une autre terrasse carrelé, où était posée une longue table en fer avec un plateau de verre trempé posé dessus et des chaises matelassés de la même couleur. Un peu plus loin, il y avait un canapé d’angle en osier noir aux coussins blanc assortit de ses deux fauteuils et une table base noir au milieu.
Joy était heureuse, la villa était magnifique, et cela lui avait complètement sortit de l’esprit.
– Je me rappelais pas que cette maison était aussi belle !
– Parce qu’elle n’était pas comme ça à l’origine, ma chérie, j’ai fait refaire toute la décoration.
Sa mère voulut absolument lui montrer sa chambre.
– Je l’ai fait faire rien que pour toi.
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