Cent péchés de croisière
174 pages
Français

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Cent péchés de croisière , livre ebook

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Description

Voilà presque vingt ans que je file le parfait amour avec mon tendre époux. Bien que je n’ai pas à me plaindre de ma vie de couple, il y a trois ans, un adultère m’a ouvert les yeux sur ma véritable nature.
À près de quarante ans, j’ai découvert les plaisirs de la chair sous les formes les plus insoupçonnées et j’y ai pris goût au point de ne plus pouvoir m’en passer. C’est ainsi qu’avec la complicité de mon mari consentant, je suis devenue une femme facile conservant l’apparence d’une bourgeoise « bon chic - bon genre ».
Lorsqu’un beau jour il m’offre une croisière, je ne sais pas encore que cette période va devenir la plus dépravée de mon existence. C’est un véritable marathon sexuel qui m’attend. Durant les quatorze jours du voyage, avec n’importe qui et n’importe où, je vais découvrir en moi des capacités inexplorées, bien au-delà de ce que j’imaginais !

Sujets

Informations

Publié par
Date de parution 26 avril 2019
Nombre de lectures 12
EAN13 9782414312061
Langue Français
Poids de l'ouvrage 1 Mo

Informations légales : prix de location à la page 0,0052€. Cette information est donnée uniquement à titre indicatif conformément à la législation en vigueur.

Extrait

Couverture
Copyright













Cet ouvrage a été composé par Edilivre
194 avenue du Président Wilson – 93200 Saint-Denis
Tél. : 01 41 62 14 40 – Fax : 01 41 62 14 50
Mail : client@edilivre.com
www.edilivre.com

Tous droits de reproduction, d’adaptation et de traduction,
intégrale ou partielle réservés pour tous pays.

ISBN numérique : 978-2-414-31207-8

© Edilivre, 2019
Intro


(Intro)
On dit avec humour que les voyages forment la jeunesse, et déforment les pantalons ! Pour ma part, je me permettrais d’ajouter que malgré la quarantaine passée, cette croisière a élargi mes connaissances et davantage déformé mes orifices que mon pantalon, vu le peu de temps où j’ai réussi à garder mes vêtements ! En parlant de pantalon, c’est principalement celui de mon mari candauliste qui a souffert… dont la braguette a failli exploser à maintes reprises !
En attendant le bateau
Voilà presque vingt ans qu’avec mon tendre époux, nous filons le parfait amour. Même si comme tout le monde, il nous arrive de nous accrocher un peu et que la vie ne nous réserve pas que de bonnes surprises, dans l’ensemble, je n’ai vraiment pas à me plaindre de ma vie de couple. D’autant que ces dernières années, trois ans pour être précise, mon existence a été complètement bouleversée, à la suite d’un adultère non prémédité, qui m’a ouvert les yeux sur ma véritable nature.
A un âge où on se croit « rangée des voitures », j’ai découvert les plaisirs de la chair sous les formes les plus insoupçonnées, et j’y ai vraiment pris goût, au point de ne plus pouvoir m’en passer. Un facteur déterminant a été la complaisance, que dis-je, la complicité de mon mari chéri, qui s’est avéré être un sacré petit dépravé ! Non seulement il me pardonne mes écarts, mais il y contribue en me poussant parfois dans les bras d’autres hommes, pour le plaisir de me regarder subir leurs assauts. Au fil du temps, d’une aventure imprévue avec un photographe (Cf SANS INTERDIT Tome I, Edilivre) je suis devenue une femme facile à l’apparence d’une bourgeoise « bon chic – bon genre ». Sous ma carapace rigide se cache une panthère affamée de sexe. Par chance, je ne suis pas moche à ce qu’on dit, et plutôt bien balancée… détails complémentant généreusement le comportement peu farouche qui m’habite. Quant à mon âge, il semble que la quarantaine passée soit très appréciée par la gente masculine, à en juger par la quantité d’entre eux qui tentent de me séduire, toutes générations confondues !
Après cette petite parenthèse, j’en reviens à mes moutons. Mon conjoint et moi nous aimons donc tendrement, même si nos conduites parfois dissolues pourraient prétendre du contraire.
Un soir après le travail, mon chéri rentre tout excité et cache quelque chose dans son dos. Il me fait asseoir sur le canapé et me tend une grande enveloppe, contenant deux billets pour une croisière en Méditerranée. Je suis aux anges, moi qui en ai toujours rêver. Il le savait et manigance sa surprise depuis quelques semaines déjà. Je lui saute au cou en l’embrassant, puis regarde attentivement le dépliant joint. Mazette, c’est que Monsieur ne s’est pas moqué de moi ! Quatorze jours de navigation sur la grande bleue, entrecoupés d’escales plus superbes les unes que les autres, principalement axées sur les pourtours de Grèce et d’Italie. Le départ a lieu dans trois semaines, ce qui nous laisse le temps de préparer convenablement notre voyage et à moi de rêver de Messine comme de Santorin, de bronzette sur le pont et de beaux matelots…
Le jour J, tout ne se déroule hélas pas comme prévu. Le bateau a du retard. L’embarquement programmé à 23 heures ne se fera qu’au petit matin. Au vu du nombre de passagers dans la même situation que nous, les hôtels alentours sont pris d’assaut et affichent rapidement complet. Par bonheur, nous dégotons une petite chambre pas trop loin du port.
Alors que nous nous y installons, mon mari remarque un homme seul, l’air désabusé, qui vient de s’asseoir à même la moquette sur notre palier, à coté de sa valise. Il paraît évident qu’il s’apprête à dormir ici, n’ayant sans doute pas eu notre chance de trouver une location.
Notre couple, d’un échange de regard, s’accorde pour accueillir cet homme avec nous. « A la guerre comme à la guerre ».
Le pauvre gars ne sait comment nous remercier tant il apprécie notre gentillesse.
Cherchant à dédramatiser la situation, et surtout bien décidés à profiter de nos vacances pour nous détendre, nous préférons rire de cette mésaventure. L’homme a beaucoup d’humour et contribue à la bonne ambiance qui règne dans la chambre.
Pendant que ce dernier prend sa douche, j’examine plus attentivement notre logement. Nous sommes bien contents d’avoir trouvé ce petit hôtel sans prétention. Ce n’est pas le grand luxe, mais c’est très propre et l’unique lit est grand. Nous voilà condamnés à passer la nuit à trois. Heureusement que le matelas est assez large ; je présume un 180 centimètres, ce qui nous permet malgré tout de ne pas être serrés comme des sardines.
Il est temps d’éteindre la lumière, car la nuit sera courte. Mon époux rechignant à dormir contre un homme, c’est moi qui me place au milieu. J’ai mis pour la circonstance une petite chemise de nuit. Ce n’est pas ce que j’avais de plus chaste, mais le reste est au fond de la valise. Les hommes gardent un slip par pudeur.
La lampe éteinte, la chambre est malgré tout baignée d'une douce lueur provoquée par l'éclairage public au dehors, qui traverse les épais rideaux de la fenêtre. Cela n'empêche pas mon coquin de mari de commencer à me caresser pour m’exciter. Je repousse ses avances, très gênée par la présence du bonhomme, mais à force, le désir naissant, je finis par lui rendre la pareille en silence. Le gredin a enlevé en douce son caleçon, ce qui me permet de le tripoter. Nous essayons de rester discret mais j’imagine que notre hôte se doute de quelque chose. Il n’ose bouger, mais je suis dans un tel état d’excitation que je délaisse soudain mon époux et me tourne de l’autre côté. Ma main se promène doucement sur son ventre, descend, passe sur son slip dont le renflement caractéristique confirme mes soupçons et m’invite à poursuivre. Faufilant mes doigts, je touche bientôt directement un peu de son sexe, contourne son caleçon et atteins ses bourses du bout des doigts. Je parviens bientôt à saisir son pénis à pleine main. Il est dur et l’homme pour m’aider baisse son sous-vêtement. Du coup, je le branle doucement, puis de manière plus franche, avant de glisser sous les couvertures. N’y tenant plus, ma bouche vient frôler l’appétissant barreau. Je promène mes lèvres sur sa hampe, couvre de doux baisers pénis et testicules, avant de titiller son gland de ma langue. Soudain, j’engloutis la moitié de son membre et le contact chaud et humide de l’intérieur de ma bouche le fait frémir. Depuis le début, l’homme s’est bien sûr laissé faire, et apprécie mon dévergondage. Tandis que je lui prodigue une délicieuse fellation, je suis en chien de fusil sur le coté, le dos et la croupe tournés vers mon mari. Ce dernier se délecte du spectacle qu’il a pour bonne partie provoqué, à sa plus grande satisfaction. Il lorgne ma silhouette sous draps, et ma tête montant et descendant au niveau du bas ventre du lascar qui partage notre lit. Fiévreusement, il dégage mon derrière des couvertures et me malaxe les fesses. Son sexe vient rapidement prendre possession du mien, sans aucune difficulté du reste car la situation me fait énormément mouiller. Lentement, il me travaille au gré de ma prestation buccale, et je ne peux nier que l’instant est sublime. La température étant terriblement montée, j’octroie une pipe monumentale à mon partenaire, qui manque d’exploser dans ma bouche à plusieurs reprises. Je reçois du reste quelques courtes giclées de semence, que je ne manque pas d’ingurgiter.
J’ai très chaud au fond du lit, mais quand mon mari vire soudain toutes les couvertures et livre mon corps nu aux yeux du gars, sa bite dans ma bouche et mon chéri qui va et vient de l’autre coté, je suis saisi d’une telle sensation que j’en jouis aussitôt. Je sens le regard intense du mec sur moi, qui mate tant qu’il peut, mais je continue à le sucer. Ça le rend dingue, et d’une main crispée dans mes cheveux, il m’appuie sur la tête avant d’éjaculer en grognant. Son jute tapisse mes muqueuses, et il comprend vite n’avoir point besoin de me maintenir, car je savoure son sperme sans réticence. Il relâche aussitôt sa pression et me laisse finir avec délice. Par provocation, une fois terminé, je reviens vers mon mari et lui roule une pelle baveuse en le masturbant. Je suis à genoux au milieu du lit quand il dirige ma tête vers son membre d’une raideur qui traduit l’état dans lequel je viens de le mettre ! J’officie illico, et le vicieux profite de ma position à quatre pattes pour présenter mon postérieur à son complice, en tirant bien sur mes fesses pour rendre le tableau extrêmement obscène. L’autre ne demande pas mieux et fourre son visage entre elles pour me déguster tant qu’il peut.
Le lécheur interrompe enfin son exquise torture, et le matelas se met à bouger. Il vient de se poster à genoux derrière moi et frotte son gland à l’entrée de ma vulve. Son cunnilingus l’a fait rapidement rebander. Calmement, il me pénètre et apprécie visiblement son acte. Moi aussi d’ailleurs, qui prend un pied phénoménal entre ses deux hommes, dont l’un est le mien !
Ce manège dure un moment, quand mon chéri libère ma bouche et me redresse en me tournant la tête pour que l’autre puisse m’embrasser. Sans délier nos langues, le gars me besogne en levrette devant mon époux, avant de se recoucher sur le dos. C’est du coup mon propre mari qui m’allonge sur mon amant. Il guide nos gestes et notre position. Je me retrouve à cheval sur le mec, bouches soudées, ce sexe étranger planté dans le vagin et cette langue enragée qui affole la mienne. Mon chéri amène les mains du gonze sur mes fesses, les autorisant à m’explorer outrageusement, puis

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