Changement de vie
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Changement de vie , livre ebook

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Description


Changement de vie
Yobuhl

Roman très érotique de 265 000 caractères et 47 500 mots.
176 pages équivalent papier (moyenne des pages livres Textes Gais).


Étienne s’inscrit avec sa femme dans un club de soirées libertines. Une séance à 4 va changer sa vie. Benoit, l’homme du second couple semble d’abord plus s’intéresser à lui en l’initiant aux plaisirs homosexuels, mais un soir en rentrant plus tôt que prévu Étienne surprend Benoit en compagnie de sa femme. Choqué, il quitte le nid familial. Une nouvelle rencontre masculine lui met le pied à l’étrier sur les plaisirs entre hommes et change définitivement sa sexualité. Le mariage d’un ami est l’occasion de souvenirs où on rattrape le temps perdus des amours adolescentes.
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Sujets

Informations

Publié par
Date de parution 16 décembre 2016
Nombre de lectures 5
EAN13 9791029401831
Langue Français

Informations légales : prix de location à la page 0,0037€. Cette information est donnée uniquement à titre indicatif conformément à la législation en vigueur.

Extrait

Changement de vie
 
 
Yobuhl
 
 
 
1 - Le choc des découvertes
 
Cela fait désormais huit ans que je suis marié à Alice, une belle fille au caractère trempé, qui sait ce qu’elle veut et qui a envie de réussir, non seulement sa vie professionnelle, qu’elle mène de mains de maître, mais aussi sa vie privée. Elle est de deux ans ma cadette, mais dans beaucoup de domaines, je suis resté un vrai gamin. J’ai tout juste trente ans et je suis amoureux fou de ma femme, je veux lui offrir tout ce qu’elle souhaite, mais souvent, à la maison, c’est elle qui porte la culotte et son salaire étant bien plus élevé que le mien, c’est elle-même qui se fait des cadeaux.
De temps à autre, j’aime me souvenir de nos premiers émois, dans la cave de la demeure de ses parents, alors qu’ils pensaient que nous faisions des parties de ping-pong. Quand je parle de cave, c’est pour situer la pièce physiquement, car elle n’avait rien d’une cave lugubre et froide, aux murs de terre, mais c’était plutôt une sorte de débarras au sous-sol, où se côtoyaient jeux de société, divan un peu défraîchi, équipement de musculation et une belle réserve de vins.
Comme vous pouvez l’imaginer, les caresses du début de notre rencontre ont laissé place à des jeux plus habiles, plus intimes. Depuis ces premiers moments, j’affectionne tout particulièrement de caresser le corps parfaitement dessiné, absolument harmonieux d’Alice. Sa poitrine est de taille idéale, ni trop petite, ni trop imposante, ses hanches sont parfaites et je trouve que nous sommes faits pour nous emboiter à merveille. Non seulement j’aime laisser mes mains parcourir toutes ses formes, mais j’idolâtre sa bouche, avec ses lèvres fines, et sa peau d’une douceur divine. Lorsque je me laisse aller à explorer son intimité, j’aime son sexe qui semble toujours en demande d’attention, et qui pour un rien sursaute au moindre de mes effleurements linguales.
Alice adore que je joue avec ses lèvres et notamment lorsque le travail est effectué par ma langue qu’elle dit agile. Je raffole du goût indéfinissable qui s’échappe de son minou, et c’est tellement bon que je ne me fais jamais prier pour lui procurer ce genre de massage buccal. Le summum est que son excitation monte au fur et à mesure de mon engouement à lui offrir ce doux broutage, et que de mon côté je ne reste pas de marbre, enfin une partie de mon anatomie devient du béton armé. À un tel point que souvent, lorsque je la sens prête à atteindre le paradis juste en titillant son bouton de rose, je me prépare à engouffrer mon membre fièrement érigé, dans son jardin secret, et je la retourne vigoureusement pour m’emparer de ce territoire protégé, telle une bête affamée se jetant sur une proie impuissante. Et je la pénètre violemment et tout en profondeur, en lui laissant échapper des gémissements de plaisir. Même si nous sommes toujours aussi charnels dans nos envies et nos ébats, je dois avouer que depuis dix ans qu’on se connaît, ils sont un peu moins nombreux et nous commençons à trouver trop de routine dans nos fougues sexuelles.
Alice a souhaité un jour que nous nous inscrivions sur un site libertin pour pimenter nos soirées et notre vie. L’idée était assez intrigante il est vrai, mais quelque chose en moi me bloquait. Un soir elle a réussi à me faire accepter de recevoir un couple qui vit non loin de chez nous et avec qui nous avons sympathisé, enfin surtout elle, et que nous avons même rencontré autour d’un verre dans un bar de la place principale de notre ville. Eux sont déjà passés à l’acte et ont d’ailleurs leurs habitudes dans une boîte libertine de la région. Nous les recevons donc, moi un peu plus coincé qu’Alice, et commençons à parler de tout et de rien.
Benoît, notre invité, nous avoue qu’il n’était pas pour vivre en couple libertin, mais que l’amour à quatre, la sodomie, et la bisexualité ont sauvé leur mariage de l’ennui et de la routine. Il n’en faut pas plus à Alice pour lancer la conversation sur les sensations que Caroline, la femme de Benoit, éprouvait lors de la sodomie. Tout naturellement elles se mettent donc à parler de la satisfaction intense qu’on peut éprouver lors de cet acte sexuel, et que même Benoit avait souhaité la découvrir pour ressentir lui aussi le bonheur que son épouse semble atteindre lorsqu’il la chevauche. Benoit avoue qu’il préfère lorsqu’ils jouent à trois ou à quatre, car la sensation est décuplée lorsqu’il s’agit d’un vrai sexe qui lui comble le fondement, et non pas lorsqu’il se fait prendre par sa femme, harnachée d’un gode ceinture.
Est-ce la conversation, la fin de la seconde bouteille de vin, où l’ambiance en générale qui agit sur moi, je ne sais pas, mais une partie de mon être semble vouloir participer à la conversation et se met à tendre la toile de mon pantalon. Comme nous sommes assis autour d’une table de salle à manger, personne n’a rien remarqué et j’en suis moins gêné. Sans aucune retenue, Alice demande des informations de plus en plus indiscrètes à Caroline. Elle lui avoue même que depuis quelques années elle se demande comme se passe le sexe entre femmes, sachant qu’elle adore se faire prendre, elle doute que l’amour lesbien puisse la combler autant qu’un homme, en l’occurrence moi. Sans me demander, ne serait-ce d’un regard, mon avis, je vois Caroline qui se lève, invitant Alice à en faire de même et elle la conduit vers le canapé.
Là elle décide de déshabiller ma femme, qui se laisse faire avec une étincelle que je n’avais jamais vue dans ses yeux. Alors que mon regard n’en revient pas et reste bloqué sur les filles qui se libèrent de plus en plus de tout tabou, je sens la main de Benoit caresser mon dos. Il s’est rapproché de moi sans un bruit. Mon cœur s’accélère. Il va remarquer que je bande, surtout que sans le vouloir, ou sans en être conscient, ma main s’est mise à caresser la bosse formée par mon entrejambe. Je n’ose chercher son regard, de peur d’y découvrir je ne sais quoi, et que mon excitation retombe tel un soufflé.
Devant mes yeux, je vois ma femme, offerte, nue sur le divan, les genoux sur l’assise et les coudes sur le dossier. Notre invitée s’est placée derrière et commence à prodiguer à ma moitié, les caresses buccales que j’aime tant lui procurer. Alice commence à gémir, et dans mon pantalon, la bête, plus que réveillée va déchirer le tissu. Je me lève pour mieux voir ce qui se passe à quelques mètres de moi. Sans y prêter attention, je sens la main de Benoit venir dégrafer ma braguette et libérer mon glaive. Je l’aide machinalement à retirer mes vêtements sans perdre une miette du spectacle qui m’est offert dans mon salon, et qui m’hypnotise. Désormais nu moi aussi, je sens le souffle de Benoit dans mon cou.
Il est collé à moi, je sens son sexe raidi se dresser contre mon fessier musclé. D’une main il me masturbe et de l’autre il me caresse les tétons. Je ne sais ce qui m’excite le plus, de voir ce que je vois, ou de vivre ce que notre invité me fait ressentir. Je fixe du regard la tête de Caroline qui est collée au fessier de ma femme. Je devine sa langue jouer désormais avec le petit bouton rose de l’anus de ma bien-aimée. Cette dernière ne fait attention à rien d’autre que ce que la langue inconnue lui procure. Je vois tout son corps tressaillir, notamment lorsque Caroline tente l’introduction d’un doigt dans son anus serré. Caroline nous regarde avec un sourire qui en dit long sur le plaisir qu’elle prend à faire découvrir un nouveau jeu à ma femme.
Alors que je lâche le regard de cette femme, maîtresse de la mienne, je vois Benoit, qui s’est dévêtu, se déplacer tout en douceur, me saisissant par le sexe et me guidant pour nous rapprocher des femmes. Il est ultra bien fait, son corps est musclé à la perfection, son sexe dur, se dresse tel un mat et vient presque se bloquer contre ses abdominaux. En remarquant l’absence de poil autour de son pénis, et sur ses bourses, je bande de surcroit. Arrivé à la hauteur de nos femmes, Caroline se décale légèrement et entreprend une fellation sur mon vit qui est au bord de l’explosion. Pendant ce temps, Benoit dévore à grand coup de langue le cul de ma chérie, qui se remet à gémir comme si un nouveau paradis venait de lui apparaître.
Il humidifie un de ces doigts et l’introduit dans le tunnel étroit d’Alice, avant d’en y placer un second et finalement un troisième, qu’il se met à faire danser, tournoyer, pour élargir le canal du bonheur. Une fois la passage préparé, comme dans un accord muet, il se déplace et m’invite à prendre possession de ce trou encore inconnu à ma virilité. Guidé par Caroline, je m’approche du but, et dès le premier contact avec ce territoire mystérieux, je sens un soubresaut dans le bas de mon dos. Alice relève la tête, sans la tourner, juste pour profiter au maximum de cette sensation nouvelle. Je l’imagine les yeux fermés, à vivre la situation de l’intérieur. Elle en avait tellement envie que je réussis à rentrer jusqu’à ce que mes bijoux de famille viennent toucher sa peau. Je reste immobile pour profiter au maximum de ce moment. Les yeux fermés, la tête en arrière, je découvre de nouvelles sensations.
Je ne veux plus que le temps avance, ce moment doit rester le plus long possible. Ayant les jambes légèrement entrouvertes pour plus de stabilité, je suis extirpé de mon cocon de bien-être par une sensation étonnante, une langue joue désormais avec l’entrée de ma voie à sens unique. Quelle nouveauté, quel plaisir de sentir cette partie de mon corps recevoir des caresses buccales. J’ouvre les yeux, et en voyant Caroline qui offrait son minou à ma femme, je comprends que Benoit est celui qui me prodigue ce bonheur. Une sorte de chaleur envahit tout mon être. Sa langue accompagne mes mouvements de bassin. Je ne sais pas ce qu’Alice vit à ce moment-là, mai

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