Douceur de la laine et douleur du fouet
484 pages
Français

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Douceur de la laine et douleur du fouet , livre ebook

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Description

Nicolas et la laine, c’est une longue histoire d’amour. De surcroît, obéir, vénérer les femmes et les déifier, c’est dans sa nature la plus profonde. À l’école, il fait connaissance de Catherine, qui va profondément le troubler. Et au moment de l’obtention de son baccalauréat, sa vie sexuelle et sentimentale va brusquement basculer vers un monde de volupté, de frustrations, de douceur et de douleur.

Nicolas va ensuite devenir l’esclave de Catherine, puis s’enfuir. Leurs routes vont se recroiser à plusieurs reprises, pour qu’il finisse par se retrouver dans ses griffes gantées d’angora. Et tout ceci, pour le meilleur et pour le pire.

Sujets

Informations

Publié par
Date de parution 21 décembre 2021
Nombre de lectures 8
EAN13 9782414558667
Langue Français
Poids de l'ouvrage 1 Mo

Informations légales : prix de location à la page 0,0112€. Cette information est donnée uniquement à titre indicatif conformément à la législation en vigueur.

Extrait

Couverture
Copyright













Cet ouvrage a été composé par Edilivre
Immeuble Le Cargo, 157 boulevard Mac Donald – 75019 Paris
Tél. : 01 41 62 14 40 – Fax : 01 41 62 14 50
Mail : client@edilivre.com
www.edilivre.com

Tous droits de reproduction, d’adaptation et de traduction,
intégrale ou partielle réservés pour tous pays.

ISBN numérique : 978-2-414-55867-4

© Edilivre, 2022
De la même autrice

De la même autrice
Éditions Edilivre :
Dans les mailles de la laine (2021)
Douceur de la laine et douleur du fouet (2021)
Avant-propos
Dans mon roman précédent, vous avez eu l’occasion de découvrir, ou de redécouvrir le fétichisme de la laine. Celui-ci est souvent combiné avec les fantasmes de domination et de soumission.
Dans ce nouvel ouvrage, vous allez découvrir l’histoire de Nicolas. Celui-ci découvre son penchant pour les lainages féminins dès son plus jeune âge. Il passe sa scolarité à fantasmer sur les pulls portés par ses camarades de classe féminines. Avant son entrée à l’Université, une soirée célébrant l’obtention de son diplôme va fondamentalement modifier le cours de son histoire personnelle, tout comme sa sexualité. À partir de ce chamboulement, il va accepter de céder sa liberté pour se mettre au service de ses nouvelles Maîtresses, dans l’espoir d’obtenir quelques faveurs laineuses de leur part. Une quête permanente du graal, dans un monde de frustration permanente et d’excitation inassouvie.
Pour Nicolas, obéir et servir est une vocation, voire une religion. Donner sans rien recevoir en retour, faire une croix sur sa liberté, sa fierté et son amour-propre, uniquement pour le confort et les caprices de ses Maîtresses, tel est son destin… Un exemple rare d’un asservissement total, inconditionnel et absolu, de vénération et de dévotion envers les déesses féminines, le tout rien que pour l’amour d’une femme et par passion pour la laine.
Si vous avez lu mon premier roman « Dans les mailles de la laine », vous allez sans doute reconnaître certains passages. C’est normal. En effet, le roman que vous avez entre vos mains est le tout premier que j’avais écrit, même si j’ai décidé de le publier en deuxième. Je me suis donc inspirée librement des meilleurs passages afin de garnir mon premier livre, en modifiant parfois les noms de certains protagonistes.
Ce récit, je l’ai écrit surtout grâce à mes clients, soumis et esclaves. Au cours des années, je leur ai demandé de me raconter ou de me coucher sur papier leurs fantasmes les plus fous. À partir de ces éléments, j’ai composé cette fiction en la romançant et j’espère qu’elle vous plaira. Je voudrais encore leur adresser mes plus sincères remerciements.
Comme le titre l’indique, la laine est douce et le fouet est douloureux. Mais parfois, cela peut aussi être le contraire, vous allez le découvrir. Peut-être que ce roman aurait aussi pu s’intituler « Douleur de la laine, douceur du fouet »…
Si ces histoires vous inspirent et vous stimulent, il est toutefois vivement recommandé de ne pas mettre en pratique ces supplices sans une expérience réelle de la domination et sans supervision constante. L’autrice ne pourra pas être tenu responsable d’éventuelles séquelles résultant d’une utilisation immodérée de ces tortures.
Alors, comme la dernière fois, habillez-vous chaudement avec vos lainages les plus doux, et savourez !
Chapitre premier La récréation
« Magnifique ! ». Nicolas était incapable de détourner son regard de Brigitte. Elle jouait avec ses amies dans la cour de récréation du collège. Nicolas était appuyé contre un mur, en train de manger un sandwich au jambon. Il ne s’aperçut pas que c’était la même bouchée qu’il mâchait depuis de longues minutes.
« Magnifique ! », se disait à nouveau Nicolas. Il contemplait Brigitte, ou plutôt une partie d’elle-même. Il sentit son sexe en érection, à l’intérieur de son pantalon, ce qui se produisait à chaque fois qu’il pouvait admirer une fille, comme il était en train de le faire. Les idées se bousculaient dans sa tête ; il rêvait, il fantasmait, c’était incroyablement délicieux. Brigitte n’était pas la plus belle fille de sa classe. Mais ce jour-là, elle l’était. Le lendemain, cela pourrait être Chantal, Catherine, ou encore Alexandra. La fille importait peu, mais c’était autre chose. Or, ce jour-là, Brigitte portait un pull magnifique, de couleur écru, avec des manches très longues et larges et un très grand col boule. Chaque fois qu’elle courait, sautait, riait, le revers de ses manches se dépliait de plus en plus, pour recouvrir complètement ses mains et le col tressautait et caressait sensuellement son visage. Il rêvait de pouvoir toucher ce pull et, fantasme encore plus inaccessible, de le porter… Oui, Nicolas était un pur fétichiste de la laine, de beaux pulls en angora ou en mohair, de robes en laine, de ponchos, de gants, de bonnets, de cagoules et d’écharpes. Il pouvait contempler des filles vêtues de laine pendant des heures. Et le pull de Brigitte le narguait, dans cette cour de récréation, à quelques mètres à peine de lui.
Nicolas avait découvert cette passion très jeune, vers l’âge de sept ans. À l’époque, un copain de classe était venu chez lui et y avait oublié sa cagoule en laine bleu ciel, en rentrant chez lui. Nicolas s’était empressé de s’isoler dans sa chambre et d’enfiler la cagoule sur sa tête. C’était tellement doux ! Il sentait son sexe se tendre, mais à cet âge-là, il ne savait pas encore très bien ce que cela signifiait. Le lendemain, il dut bien se résoudre à rendre la cagoule à son copain.
Un autre jour, sa voisine de classe, Nathalie, était venue chez Nicolas. Elle portait un pull à très grosses mailles, très lourd et l’avait aussi oublié chez lui. Avant de le rendre, il l’avait naturellement essayé. L’absence de col roulé ou de col boule limitait un peu les sensations de douceur, mais il se souvenait toujours de cet instant privilégié.
Les années passant, il arrêtait souvent son regard sur les femmes et, surtout, les filles de son âge portant de beaux pulls. Il était très timide et n’avait encore jamais eu de copine. À l’école, il suivait une filière scientifique et, de ce fait, ses classes étaient essentiellement composées de garçons. Néanmoins, il avait toujours gardé des contacts avec Nathalie depuis l’école primaire. Il avait également connu Catherine, vers l’âge de onze ans, une fille déjà très libérée pour son âge, pas vraiment belle mais dégageant un charme fou, avec ses airs de salope. Il y avait aussi Béatrice, une copine portant des pulls très moulants, souvent bleus, dont un avec un très beau col boule, ainsi que de très belles cagoules en hiver. Nicolas connaissait la forme de ses seins par cœur, sans pour autant jamais les avoir vus, tellement ses pulls les moulaient à merveille.
Mais à l’âge de quatorze ans, grâce à une loi limitant le nombre d’élèves par classe, Nicolas se retrouva mélangé dans une classe d’orientation commerciale. Elle était composée de trois élèves en scientifique et une vingtaine d’élèves en commerciale et, cerise sur le gâteau, à 100 % de filles. Et très jolies, de surcroît…
Parmi ses anciennes amies d’école primaire, Catherine, Nathalie et Béatrice se trouvaient également dans cette classe. Elles avaient toutes trois pris des formes de plus en plus féminines. Béatrice avait toujours des seins aussi bien moulés par ses pulls. Nathalie portait souvent un cardigan en mohair bleu foncé avec un col remontant très haut, le tout pouvant être fermé par un zip, le col y compris. Nicolas ne l’avait jamais vue avec le col fermé jusqu’en haut, mais il essayait souvent de l’imaginer.
Et Catherine devait avoir la plus belle paire de nichons de toute l’école, à en faire pâlir d’envie Pamela Anderson qui, en passant, n’était pas encore connue du public à cette époque. Elle portait toute une panoplie de pulls magnifiques et elle était devenue très insolente de caractère. Elle adorait draguer, ne le cachait pas et aimait ridiculiser Nicolas en classe. Il n’avait jamais oublié le jour où, en plein cours de maths, elle avait conspiré avec une amie et elles s’étaient jetées sur lui, pour ouvrir sa braguette et baisser son pantalon. Elles avaient essayé d’entraîner le slip avec, mais il avait réussi à empêcher le mouvement. Toutefois, il en était resté toujours très troublé, souhaitant secrètement qu’elle eût réussi son coup de la braguette. Il rêvait d’être l’esclave de Catherine, tout nu, attaché et ligoté, devant cette fille si salope, vêtue des plus beaux lainages en sa possession et lui faisant envie avec.
À ce moment précis, il aperçut Catherine qui passait au fond de la cour, portant un très beau pull gris avec un grand col boule et, par-dessus, un cardigan en mohair blanc, avec un col très haut. Le tout fermant par un zip et, de ce fait, la tête pouvant être entièrement recouverte par le col qui se refermait complètement, grâce à la fermeture éclair. Superbe !
— Tu parles tout seul, maintenant ?
Nicolas sursauta. Brigitte était devant lui et rigolait. Il devait avoir prononcé, du bout des lèvres, le mot « superbe », sans le réaliser. Tellement troublé, ne pouvant détacher ses yeux du pull de Brigitte, qui était maintenant à cinquante centimètres de lui, il bredouilla une vague réponse. Brigitte s’éloigna en continuant de rigoler, puis la cloche sonna pour annoncer la reprise des cours.
Durant les cours, il essayait toujours de s’asseoir à des tables lui permettant de bien pouvoir observer les filles portant les plus beaux pulls. Ce n’était pas toujours possible, mais la chance fit qu’Anne-Marie, sa maîtresse de classe, une jeune femme dans la vingtaine, portait souvent une longue robe noire, en laine, avec un col boule pouvant recouvrir la tête complètement une fois déplié. Nicolas pouvait ainsi se rincer l’œil à sa façon.
Chapitre 2 L’école est finie !
De nombreuses années passèrent. Nicolas fantasmait toujours autant. Il avait découvert les plaisirs de la masturbation et, fréquemment, quand ses parents et sa sœu

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