Enfin Déflorée
38 pages
Français

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Enfin Déflorée , livre ebook

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Description

Je suis une jeune fille, étudiante de 19 ans, que vous appellerez comme vous voudrez, qui est encore vierge, oui je sais j'ai du retard par rapport à mes copines. En plus je commence à en avoir assez de mes jeux érotiques, je me suis encore masturbée comme une folle hier soir, en pensant à plein d'hommes, j'étais totalement en âge, mais j'ai recommencé 5 minutes après avec mon vibro, il faut vraiment que je trouve un homme et qu'on le fasse ! Dans ce roman à multiples scénarios, c'est vous qui déciderez par qui je vais me faire dépuceler, en fonction de vos envies, je vous suivrai là où vous le souhaitez ! Alors êtes vous prêt à m'aider pour mon dépucelage ?

Sujets

Informations

Publié par
Date de parution 01 novembre 2017
Nombre de lectures 20
Langue Français

Informations légales : prix de location à la page 0,0250€. Cette information est donnée uniquement à titre indicatif conformément à la législation en vigueur.

Extrait

Enfin Déflorée
Pauline Costa
Je suis une jeune fille que vous appellerez comme vous voudrez, j’ai dix-neuf ans et je suis encore vierge ! Qui va me déflorer ?
Chapitre 1
Je suis une étudiante comme les autres, mis à part que je suis la seule de ma classe à ne pas encore avoir fait l’amour, cependant je suis belle, je suis telle que vous m’imaginez. À mon âge, toujours vierge: pourtant les représentants du sexe dit fort m’intéressent, ainsi il y a Cyril, un gars de ma classe, lui il a dix-neuf ans (oui, oui! vous pouvez me croire, il a bien 21 ans, il a redoublé), il n’est dans notre école que depuis cette année, il est grand, blond aux yeux bleus et je ne l’ai jamais vu avec une fille, donc j’en conclus qu’il est libre.
Par ailleurs il y a Yves, mon voisin qui ne me laisse pas indifférente, il a peut-être 45 ans, c’est un ingénieur, il est très élégant, toujours tiré à quatre épingles, le teint toujours halé, une fine moustache et une chevelure poivre et sel. Le problème c’est qu’il est marié et que sa superbe femme, notre médecin de famille n’a qu’environ 35 ans. Bref, si je veux qu’il m’initie, je dois le séduire. Oh, ça ne me fait pas peur, j’ai des atouts, vous le savez puisque je suis telle que vous me fantasmez.
Il y a aussi mon Georges, un ami de la famille, si l’idéal masculin se situe entre Richard Gere et Léonardo Di Caprio, lui, c’est plutôt un hybride de Gérard Jugnot et Michel Boujenah (je les aime bien tous les deux, mais ils sont loin d’être des sex-symbols), il est ventripotent, des cheveux gris toujours ébouriffés et une moustache de beauf, enfin il n’a vraiment aucun goût vestimentaire. Alors vous me direz peut-être pourquoi lui ? peut-être d’abord parce que je déteste sa femme- une grande pimbêche fausse blonde -et ses enfants (mes cousins), parce qu’aussi c’est un brave type et enfin, et surtout, depuis un certain temps il a une manière de me regarder on ne peut plus équivoque et que malgré son manque évident de distinction, ses œillades me mettent dans tous mes états. Et puis . et puis il y a l’inconnu auquel je ne pense pas aussi assidûment qu’à ces trois hommes, celui qui… enfin vous le découvrirez !
Vous l’aurez compris ces hommes ne me laissent pas de marbre et souvent, dans ma chambre je me masturbe en pensant à l’un d’eux. Je passe ma main sur ma poitrine, agace et pince mes tétons, il ne faut pas attendre longtemps pour qu’ils durcissent, après quelques minutes de ce traitement mon autre main part à la rencontre de mon entrejambe déjà humide, je me caresse alors par dessus l’étoffe de ma culotte qui s’humidifie de plus en plus, à ce moment là je suis vraiment heureuse que ma chambre ne soit pas voisine de celle de mes parents car je gémis. Je me débarrasse alors de ma
culotte et entreprend de me doigter, mon clitoris est très sensible et je ressens assez rapidement des orgasmes lorsque je le caresse, ceux-ci m’épuisent, c’est pourquoi je préfère pénétrer ma chatte de mes doigts, mais hier j’ai trouvé un nouveau jeu érotique, je me suis improvisé un gode sous la forme d’une banane et alors j’ai jouis comme jamais je ne l’avais fait, je faisais coulisser la banane qui me pénétrait de 7 à 8 centimètres au moins et alors, abandonnant ma poitrine, de l’autre main je me caressais le clitoris. J’ai certainement jouis dix fois. Effondrée, j’ai alors sombré dans un sommeil peuplé, comme vous vous en doutez, de rêves érotiques. C’est pourquoi il faut absolument que je me fasse déflorer.
Par qui voulez-vous que je me fasse déflorer :Si c’est par Cyril, mon copain declasse, rendez-vous au chapitre 2 Si c’est par Yves, mon séduisant voisin, rendez-vous au chapitre 3 Si c’est par mon Georges, l'ami de la famille, rendez-vous au chapitre 4 Si vous faites confiance au hasard, rendez-vous au chapitre 5
Chapitre 2
L’occasion n’allait pas tarder à se présenter avec Cyril, étant en classe terminale nous organisons des soirées pour récolter des fonds afin de partir en voyage en Grèce, j’appris qu’à la prochaine soirée il travaillerait au bar avec Germain (un autre gars de la classe) et comme il manquait une personne dans l’équipe je m’arrangeais pour en faire partie. Le jour venu, je me sentais toute chose, je ne parvenais pas à me concentrer sur quoi que ce soit, vers dix-huit heures je pris un bain pour me détendre, je meplongeais dans l’eau brûlante pleine de mousse et commençais de savourer cet instant de détente, je me caressai plutôt que je ne me les lavai les seins qui durcirent, puis le gant de toilette explora mon intimité, j’insistai plus que de raison et ce qui devait arriver arriva, je me fis jouir dans mon bain. Lorsque j’en suis ressortie j’étais plus détendue et vêtue de mon seul peignoir de bain, je montai dans ma chambre choisir ma toilette. Mon choix se fixa sur un pantalon noir moulant et un top blanc. Jem’admirai dans le miroir, c’est sûr, vêtue de la sorte j’allais faire craquer Cyril.
Je me rendis à la soirée et tous trois nous prîmes possession du bar. Comme d’habitude dans ce genre de soirée, nous n’eûmes pas beaucoup de travail jusqu’aux environs de23h00, à ce moment là la fête battait son plein et nous ne savions où donner de la tête, vu la promiscuité de l’endroit, je
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