Histoires à faire rougir - La collection ultime
278 pages
Français

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Histoires à faire rougir - La collection ultime , livre ebook

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Description

TOUTES les célèbres Histoires à faire rougir entre vos mains!
Avec UN MILLION d’exemplaires vendus à travers le monde et des traductions en quatorze langues, les Histoires à faire rougir de Marie Gray sont les ultimes classiques du genre.
Vingt ans après leur lancement, ces nouvelles incontournables sont toujours actuelles et continuent de séduire de toutes les générations. Pas étonnant: la volupté, l’érotisme «classe» et l’imagination exubérante (avec une petite touche d’humour coquin) sont indémodables!
Cette compilation est le cadeau parfait pour découvrir, redécouvrir ou faire découvrir l’érotisme charmant et émoustillant à souhait – made in Québec! – qui a fait la renommée de Marie Gray.

Informations

Publié par
Date de parution 17 janvier 2018
Nombre de lectures 55
EAN13 9782897584863
Langue Français

Informations légales : prix de location à la page 0,0600€. Cette information est donnée uniquement à titre indicatif conformément à la législation en vigueur.

Extrait

Histoires faire
rougir

La collection ultime
MARIE GRAY

Histoires faire
rougir

La collection ultime
Guy Saint-Jean diteur 4490, rue Garand Laval (Qu bec) Canada H7L 5Z6 450 663-1777 info@saint-jeanediteur.com saint-jeanediteur.com

Donn es de catalogage avant publication disponibles Biblioth que et Archives nationales du Qu bec et Biblioth que et Archives Canada.

Nous reconnaissons l aide financi re du gouvernement du Canada ainsi que celle de la SODEC pour nos activit s d dition. Nous remercions le Conseil des Arts du Canada de l aide accord e notre programme de publication.

Gouvernement du Qu bec - Programme de cr dit d imp t pour l dition de livres - Gestion SODEC
Cette dition sp ciale est une compilation int grale mise jour des ouvrages suivants: Rougir 1 ( Guy Saint-Jean diteur inc. pour l dition originale, l dition en format poche et la nouvelle dition, 1995, 2000, 2011), Rougir 2 ( Guy Saint-Jean diteur inc. pour l dition originale, l dition en format poche et la nouvelle dition, 1996, 2001, 2012), Rougir 3 ( Guy Saint-Jean diteur inc. pour l dition originale, l dition en format poche et la nouvelle dition, 1998, 2002, 2012), Rougir 4 ( Guy Saint-Jean diteur inc. pour l dition originale, l dition en format poche et la nouvelle dition, 2001, 2004, 2013), et Rougir un peu, beaucoup, passionn ment ( Guy Saint-Jean diteur inc. pour l dition originale et l dition en format poche, 2004, 2006).
Guy Saint-Jean diteur inc., 2018 pour cette dition sp ciale
Correction: Audrey Faille Conception graphique: Christiane S guin
D p t l gal - Biblioth que et Archives nationales du Qu bec, Biblioth que et Archives Canada, 2018
ISBN: 978-2-89758-474-0 ISBN EPUB: 978-2-89758-486-3
Tous droits de traduction et d adaptation r serv s. Toute reproduction d un extrait de ce livre, par quelque proc d que ce soit, est strictement interdite sans l autorisation crite de l diteur. Toute reproduction ou exploitation d un extrait du fichier EPUB ou PDF de ce livre autre qu un t l chargement l gal constitue une infraction au droit d auteur et est passible de poursuites p nales ou civiles pouvant entra ner des p nalit s ou le paiement de dommages et int r ts.
Imprim au Canada 1 re impression, janvier 2018


Guy Saint-Jean diteur est membre de l Association nationale des diteurs de livres (ANEL).
TABLE DES MATI RES
Les lumi res de la ville
Impulsion f minine
L anniversaire de Fran ois
Clair-obscur
Songe d une nuit d hiver
M tamorphose ou Le r ve d un homme (bien) ordinaire
Le bonheur des unes
Bal masqu
"Cher Julien
Le secret de Brigitte
Quand nos amis nous laissent tomber
Pour une bonne cause
De satin et de dentelle
Quitte ou double
Flagrant d lit
Une question d honneur
Une uvre d art
L il de la cam ra
Un tiens vaut mieux que
Baby blues
Un chaud lapin
Jeux de mains
Ambivalence
il pour il
Plaisirs d hiver
Un bon petit monsieur
Une voix troublante
Faiblesse passag re
T comme toujours?
Un fauteuil sur mesure
Un cadeau du ciel
Autrefois, j tais idiote
Fi vre printani re
Ch re chair
Un choix difficile
Les bonnes mani res
Jalousie
Des esprits ouverts
Nouvelle vie
Retrouvailles
Remue-m nage trois
Les lumi res de la ville
- a y est, la derni re bo te!
- Il tait temps!
Steve a essuy distraitement une goutte de sueur qui coulait le long de sa joue.
- Tu crois vraiment qu on va rester ici plus d un an?
- On verra bien Pour le moment, d p che-toi, on a encore beaucoup faire!
Un autre d m nagement. Le troisi me en autant d ann es. Steve et moi ne semblions jamais, du moins depuis plusieurs ann es, trouver l endroit id al o habiter. Cette fois-ci, cependant, j avais un bon pressentiment. J avais pass trois mois ratisser syst matiquement la ville pour trouver la perle rare et j avais vraiment l impression de l avoir d nich e.
Nous aurions bien aim avoir enfin notre propre maison, mais comme Steve devait tre mut dans une autre ville, nous avions remis encore une fois ce r ve plus tard. Apr s des semaines de d ceptions, de fausses joies et de journ es de visite interminables, j tais pr te tout laisser tomber. Pourtant, un matin qui ne pr sageait rien de particulier, j tais enfin tomb e sur une petite annonce d crivant une "magnifique copropri t , le calme de la campagne pr s du centre-ville. Aubaine . Ayant lu des tonnes d annonces du m me genre, j avais failli ne pas m en occuper. la derni re minute, toutefois, et sans vraiment en tre consciente, j avais d croch le t l phone, compos le num ro et pris un rendezvous. En arrivant devant l immeuble, j avais t s duite; en p n trant dans l appartement, conquise. C tait exactement ce que nous cherchions.
Premi rement, le logement disponible se trouvait au dernier tage, au vingti me. Donc, personne pour nous marcher sur la t te toute heure du jour ou de la nuit. Deuxi mement, le b timent tait construit en croix avec seulement un logement par aile et l ascenseur au centre. R sultat: pas de voisins imm diats pour nous faire partager leurs batailles ou leurs missions de t l favorites. Le bonheur! Et la liste des avantages ne cessait de s allonger. Un joli parc entourait l difice, permettant de prendre l air en toute s curit . Il y avait un gardien en permanence l entr e et, chance supr me, le logement tait abordable compte tenu du quartier et de sa superficie. Nous avons bien s r saut sur l occasion, ou plut t J AI saut sur l occasion sans prendre le temps de consulter Steve, tant j tais certaine qu il serait aussi emball que moi. Effectivement, il a t enchant par cet endroit.
Le jour du d m nagement, malgr la fatigue et les multiples petits emb tements, nous tions heureux. Ce que nous avions vu du quartier nous plaisait et nous avions d j rencontr l une de nos voisines de palier, Diane, qui nous avait paru charmante. Peut- tre un peu trop charmante, d ailleurs, en juger par le regard appr ciateur de Steve sur ses divers attributs, mais j avais d cid de passer outre.
Nous avions ensuite travaill fort pendant quatre jours avant de pouvoir nous dire "install s . Steve et moi avions pris quelques jours de vacances dans ce but et, vraiment, c tait du beau travail. Les fen tres du logement avaient repr sent le plus gros probl me. Elles taient immenses dans le salon et la chambre coucher, et nos anciens rideaux ne leur convenaient pas. Cependant, une fois cet obstacle surmont , l appartement avait une allure des plus satisfaisantes. Et ces fen tres, si grandes taient-elles, nous procuraient une vue tellement spectaculaire qu elles valaient bien un peu de tracas.
Le quatri me soir, apr s notre premier vrai repas en t te- -t te dans notre nouveau chez-nous, nous avons enfin d cid de prendre l air sur notre magnifique terrasse. Cette soir e de juillet tait douce et chaude, et nous ber ait d une brise l g re et caressante. Ce n tait pas encore la canicule, qui se manifesterait s rement dans quelques semaines. Juste une belle, une parfaite soir e d t .
Nous avions pris soin d teindre toutes les lumi res pour savourer la vue superbe qui s offrait nous: la ville tendue nos pieds semblait irr elle, vibrante, vivante. Nous pouvions enfin go ter b atement la tranquillit de notre nouvelle demeure. La circulation tait fluide, discr te et, de l appartement voisin, nous parvenaient des accords de blues langoureux. Nous ne pouvions suivre la conversation de notre voisine, chez qui toutes les portes et fen tres taient ouvertes pour laisser entrer l air de la nuit, mais entendions des intonations d finitivement masculines provenir de chez elle.
- Dommage pour toi, ai-je dit pour taquiner Steve, elle semble avoir un petit ami
Il m a souri, puis a approch sa chaise de la mienne. Il a pass affectueusement son bras autour de mes paules, laissant habilement sa main se balader dans mes cheveux. Quelques minutes plus tard, une douce lumi re s est allum e dans la chambre coucher de notre voisine. C est l que nous avons remarqu qu elle avait r solu le probl me des rideaux de fa on tr s simple: elle n en avait pas mis!
Sans vouloir nous montrer indiscrets, nous avons aussi not que les deux murs de sa chambre qui nous taient visibles taient recouverts de miroirs. Il tait difficile de ne pas le constater, la fen tre faisant presque la largeur de la chambre.
Notre voisine Diane est entr e dans sa chambre d un pas lent, en suivant le rythme de la musique, et a retir sa blouse.
- Bon! voil ! Tu vas pouvoir te rincer l il! ai-je comment . Mon Dieu, quels seins! La garce Qu est-ce que ce sera quand je ne serai pas l ? Je saurai tout de suite o te trouver si tu ne m accueilles pas la porte d s mon arriv e!
Je croyais qu elle ne faisait que changer de v tements, soit pour se mettre plus l aise, soit en pr vision d une sortie Mais elle a refait le chemin inverse, ne portant maintenant qu une minuscule culotte, et est revenue dans sa chambre en tirant son petit ami par le bras. Elle l a pouss d un petit geste c lin et enjou , et l a fait s asseoir sur ce qui semblait tre une commode. Elle lui a alors retenu les poignets contre le miroir et s est mise lui couvrir le cou et les paules de petits baisers furtifs, aguicheurs.
- Hum , a fait Steve, a devient int ressant.
Je me suis content e d avaler ma salive
Diane embrassait maintenant plus fougueusement le cou, les paules, les bras et le torse de l homme, en glissant ses petites mains sur le corps de ce dernier, qui restait assis sans bouger. Tout coup, elle l a tir par les poignets, s est retourn e et l a fait se redresser d

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