L'étudiante - Soyez elle

Christine Simon

Description

Premiers jours à la fac pour une jeune fille dont les envies lubriques se laissent difficilement contenir.
Comment cela va-t-il se passer ? Qui va-t-elle rencontrer ? Et dans quelles conditions ?
Tout dépendra d'elle, et de vous. Suivez-la. Vivez ses expériences avec elle.
Soyez elle.

Sujets

• Romance
• BD Erotique
• Romance érotique
• Nouvelles de genre
• Romans de genre
• Erotisme

Informations

• Publié par: Edilivre
• Date de parution: 01 avril 2014
• Nombre de lectures: 17
• EAN13: 9782332690814
• Langue: Français

Extrait

Couverture
Copyright














Cet ouvrage a été composé par Edilivre
175, boulevard Anatole France – 93200 Saint-Denis
Tél. : [phone] – Fax : [phone]
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www.edilivre.com

Tous droits de reproduction, d’adaptation et de traduction,
intégrale ou partielle réservés pour tous pays.

ISBN numérique : 978-2-332-69079-1

© Edilivre, 2014
1
Ça y est, premier jour à la fac. Je suis nerveuse comme tout, et pour ne rien arranger, je suis en retard.
Il m’a fallu des heures pour choisir mes vêtements, avant d’arrêter mon choix sur cet ensemble. A vrai dire, j’ai passé beaucoup de temps à me demander si la jupe n’était pas trop courte et le chemisier trop décolleté. Finalement j’ai estimé que c’était très bien comme ça. Au vu de leur regard, les passants qui me croisent apprécient également mon choix.
Mes bottes à talons aiguille sont peut-être ravissantes, mais pour rattraper le temps perdu, sur ces pavés, ce n’est pas idéal.
Tout est nouveau ici pour moi. J’ai toujours vécu à la campagne, et loger en ville pendant la semaine est déjà un bouleversement en soi. Je ne connais personne ici, mise à part Rebecca, ma colocataire, mais elle ne suit pas les mêmes cours que moi. Il va probablement me falloir du temps pour trouver mes marques.
J’arrive à l’auditoire. Un amphithéâtre en guise de salle de classe. Tout le monde est déjà assis. Des groupes sont déjà formés. Tous les regards sont braqués sur moi. Je vais prendre place.
• Le premier rang est libre, je vais m’installer là, face au professeur.
Allez au chapitre 2
• Ceux qui sont assis au fond de l’auditoire ont l’air particulièrement décontractés et sûrs d’eux. Je vais aller vers eux.
Allez au chapitre 3
• Je vais choisir une place vers le milieu. Ni trop au fond, ni en première ligne.
Allez au chapitre 4
2
Je commence par un cours de physique. Je m’étais imaginée les professeurs d’université comme de vieux grisonnants habillés comme au siècle passé. Je suis agréablement surprise. Celui qui se dresse en face de moi a la trentaine, à peine dégarni au niveau du front, quelques cheveux gris pour lui donner un petit complément de charme, un regard pétillant et un petit sourire charmeur.
J’ai l’impression qu’il me regarde plus que les autres élèves. C’est peut-être tout simplement parce que je suis la seule au premier rang. Moi je ne regarde que lui, c’est normal. Nos regards se croisent tellement souvent que ça en devient troublant.
Lorsqu’il s’assied sur la table qui lui sert de bureau, entre le tableau et moi, j’ai l’impression qu’il me donne un cours particulier et qu’il n’y a personne d’autre. Mais je n’arrive pas à me concentrer sur ce qu’il dit.
Je commence à avoir chaud. Les battements de mon cœur s’accélèrent. J’ai cru voir un léger mouvement de paupières. Peut-être un clin d’œil ?
Il me faut un peu de temps pour me rendre compte que le cours est terminé. Tout le monde commence déjà à sortir quand je commence à ranger mes affaires. Il s’approche de moi.
« Ça fait plaisir de voir quelqu’un de motivé, qui écoute ce que je dis avec une telle attention. » Je ne sais pas quoi répondre. Je me contente de lui sourire.
« Si vous avez besoin de quoi que ce soit, n’hésitez pas. Mon bureau est au fond du couloir. Mon nom est sur la porte. » Il m’adresse un sourire, un petit signe de la tête, et quitte l’auditoire.
• Est-ce une invitation ? De la part d’un type aussi craquant, je ne peux pas refuser. Je vais aller de ce pas vers son bureau.
Allez au chapitre 5
• C’est gentil de sa part. Quand j’aurai des questions spécifiques j’irai le trouver, mais maintenant je ne vois pas très bien quel motif j’invoquerais. Je vais sortir et me balader dans le campus.
Allez au chapitre 6
3
Arriver en retard le premier jour est particulièrement stressant. Pour la première impression que je vais laisser, ce n’est pas vraiment ce que j’espérais de mieux. Ces visages que je voyais pour la première fois étaient tous braqués sur moi, avec diverses expressions allant du reproche à la moquerie en passant pas le mépris. Génial, ça commence bien ! Je sens ces regards qui me suivent alors que je gravis les marches vers le haut de l’auditoire, puis se détournent de moi comme si je n’existais déjà plus.
Le petit groupe assis tout en haut me regarde arriver. Quatre garçons et une fille qui, dès le premier coup d’œil, laissent transparaître une complicité très forte.
Le garçon le plus proche de moi me fixe des yeux. « En général, cette zone est réservée, mais comme tu es super bonne, on va faire une exception. Allez, approches ». Je prends ça pour un message de bienvenue, et accepte l’invitation. Je m’assieds à côté de lui.
Sans vraiment se détourner du reste de son groupe, il m’adresse une attention particulièrement appuyée. Il me dit qu’il s’appelle Aaron, qu’il aime beaucoup mon chemisier, et qu’il trouve mes yeux très jolis, bien que son regard se porte plus souvent un peu plus bas.
Sans le moins du monde faire attention au cours, ni même faire semblant de s’y intéresser de façon superficielle, il commence à me parler de la vie au campus, de son petit groupe qui poursuit une sorte d’approfondissement de leur première année ici.
« Avec nous, il ne faut surtout pas se prendre la tête, ou alors il faut aller voir ailleurs ». Et il ajoute « On est assez ouverts, j’espère que tu l’es toi aussi ». Comme pour me faire comprendre ce qu’il entend exactement par là, il pose sa main sur ma cuisse. Si je n’avais pas encore compris que je l’intéressais, maintenant j’étais fixée.
Sans faire de gros efforts de discrétion ni de délicatesse, il laisse glisser sa main le long de ma jupe, jusqu’à mon genou. Il la ramène ensuite vers l’arrière, le long de ma cuisse, relevant le tissu de ma jupe de façon indécente.
Il avait jusque là accordé beaucoup d’attention à mon décolleté mais plonge à présent son regard dans le miens, peut-être pour jauger ma réaction. Son regard d’un bleu clair, un peu grisâtre avec quelques reflets d’un vert turquoise, me fascine.
Je reste impassible et le laisse faire. Il continue de plus belle, et très vite laisse un doigt ou deux se faufiler entre mes cuisses, et effleurer l’ultime barrière protégeant ma plus profonde intimité. Dans un semblant de pudeur, je laisse mes jambes l’une contre l’autre, ne lui ouvrant pas l’accès outre mesure.
Il poursuit ses caresses, le sourire aux lèvres.
La fin du cours arrive très vite. Je n’avais pas vu le temps passer.
Il me dit que Rachel, la fille du groupe, fait une petite soirée chez elle aujourd'hui. Ou alors si je préfère, on pourrait juste passer du temps à deux ce soir.
• Une soirée avec le reste du groupe me semble être un bon moyen de m’intégrer. Allons chez Rachel.
Allez au chapitre 37
• Je suis assez tentée de passer la soirée avec lui. Nous aurons bien d’autres occasions pour que je m’intègre au reste du groupe plus tard.
Allez au chapitre 38
• Son approche est un peu trop rapide pour moi, je vais rentrer seule à mon appartement aujourd’hui. Nous verrons bien au cours des jours suivants, progressivement, pour faire connaissance de façon plus intime.
Allez au chapitre 10
4
Arriver en retard le premier jour est particulièrement stressant. Pour la première impression que je vais laisser, ce n’est pas vraiment ce que j’espérais de mieux. Ces visages que je voyais pour la première fois étaient tous braqués sur moi, avec diverses expressions allant du reproche à la moquerie en passant pas le mépris. Génial, ça commence bien ! Mais très vite, ils se détournèrent tous de moi, comme si je n’existais déjà plus.
Tous sauf un. Le garçon à côté duquel je me suis assise me regarde en souriant. « Bonjour, moi c’est Jérôme. »
Pendant le cours, nous faisons connaissance. Nous échangeons quelques banalités au début. Il me complimente sur ma tenue, mon sourire, mes yeux. Jérôme est vraiment un garçon charmant.
Afin de ne pas nous faire remarquer, nous parlons à voix basse. Nous devons nous rapprocher de plus en plus. Nous regardons tous deux vers l’avant, en direction du prof, mais je sens son visage près de moi. J’ai de temps en temps l’impression que son regard vient se perdre dans mon décolleté, mais ce n’est probablement qu’une impression.
Je sens le bout de ses doigts frôler ma main. Je tourne la tête vers lui. Nos regards se croisent. Il me fait un clin d’œil. Il prend ma main dans la sienne. Ces gestes me troublent, et pourtant leur enchaînement me paraît tellement naturel, si évident.
Nous restons un long moment sans rien dire.
Pour faire preuve de discrétion, nous continuons à écouter le professeur. Ou plutôt nous regardons dans sa direction, nous l’entendons mais ses paroles n’arrivent pas à mon cerveau. Celui-ci est trop occupé à penser à ce garçon à côté de moi, qui me tient la main.
Délicatement, Jérôme libère ma main, déplace la sienne et la pose sur ma cuisse. Je frémis.
Voici venue la fin du cours. Nous nous en rendons à peine compte, jusqu’à ce que tout le monde se lève autour de nous.
« J’irais bien à la bibliothèque maintenant. Tu veux venir avec moi ? Ou alors on peut aller boire un verre si tu veux. »
• C’est d’accord, je l’accompagne à la bibliothèque.
Allez au chapitre 7
• Je vais plutôt me laisser tenter par un verre. Allons faire un peu mieux connaissance.
Allez au chapitre 8
• Ce serait avec plaisir, mais je ne veux pas précipiter les choses. Une autre fois peut-être.
Allez au chapitre 9
5
Sans véritablement prendre le temps de réfléchir à ce que je suis en train de faire, sans la moindre idée de ce que je vais lui dire ou lui demander, je me dirige vers son bureau. J’avance d’un pas lent pour me permettre de vérifier que mes cheveux sont en place, et réajuster mes vêtements. Avant d’avoir eu le temps de changer d’avis, je frappe quelques coups à la porte. Maintenant, plus moyen de faire demi-tour. Je me rends compte que je n’ai pas la moindre idée du contenu de son cours, et je ne sais absolument pas comment