La dame au chapeau
118 pages
Français

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La dame au chapeau , livre ebook

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Description

Valérie, une jeune et naïve étudiante de 21 ans, répond à une petite annonce pour un travail de secrétariat. Margaret est une femme mature, célibataire mais surtout écrivain et poétesse renommée. Une autre de ses passions est de créer des chapeaux extravagants d’où son surnom la “ La Dame au Chapeau.


La jeune fille correspond tout à fait aux critères de Margaret qui est ravie de sa nouvelle compagne de vie. Elle deviendra rapidement sa complice dans bien des aventures rocambolesques.



RESERVE A UN PUBLIC AVERTI

Sujets

Informations

Publié par
Nombre de lectures 31
EAN13 9782374474861
Langue Français
Poids de l'ouvrage 1 Mo

Informations légales : prix de location à la page 0,0045€. Cette information est donnée uniquement à titre indicatif conformément à la législation en vigueur.

Extrait

LA DAME AU CHAPEAU
Erotique

Valérie CATOIRE




LA DAME AU CHAPEAU
Erotique



ERATO-EDITIONS


Avertissements
Ceci est une œuvre de fiction.
Les noms, les personnages, les lieux et les faits décrits ne sont que le produit de l’imagination de l’auteur, ou utilisés de façon fictive. Toute ressemblance avec des personnes ayant réellement existées, vivantes ou décédées, des établissements commerciaux ou des événements ou des lieux ne serait que le fruit d’une coïncidence.
Ce livre contient des scènes sexuellement explicites et un langage adulte, ce qui peut être considéré comme offensant pour certains lecteurs. Il est destiné à la vente et au divertissement pour des adultes seulement, tels que définis par la loi du pays dans lequel vous avez effectué votre achat.
Merci de stocker vos fichiers dans un endroit où ils ne seront pas accessibles à des mineurs

ISBN format papier 978-2-37447-487-8
ISBN numérique : 978-2-37447-486-1
Date de publication : Avril 2021
© Erato–Editions - Tous droits réservés
Couverture : ©Erato–Editions Crédits Photos ©Adobe Stock Suivi éditorial : E. Saracino Correction : F. Dekeyser / K. Lambert
Cette œuvre est protégée par le droit d’auteur et strictement réservée à l’usage privé du client. Toute reproduction ou diffusion au profit de tiers, à titre gratuit ou onéreux, de tout ou partie de cette œuvre, est strictement interdite et constitue une contrefaçon prévue par les articles L 335-2 et suivants du Code de la Propriété intellectuelle. L’éditeur se réserve le droit de poursuivre toute atteinte à ses droits de propriété intellectuelle devant les juridictions civiles ou pénales


Mot de l’auteur
« J’assume que toutes les précautions sanitaires sont prises contre les MST, le SIDA, la COVID 19. Je ne les ai pas évoquées dans mon livre pour ne pas alourdir le texte, Ceci est une œuvre de fiction, sauf pure coïncidences ces personnages n’existent pas dans la réalité.



1 - Margaret Écrivain-Poète
Un retour dans le passé avec Margaret, une dame élégante.
Je travaillais pour elle, à son domicile, rue de Brest à Lyon. Écrivain-poète, elle me dictait des nouvelles sur l’ordinateur. J’avais alors vingt et un ans, je terminais mes études et ce petit travail me permettait d’entrer dans la vie active pour d’obtenir une expérience professionnelle.
Elle aimait ma présence, je l’accompagnais faire du shopping et, régulièrement, nous prenions nos déjeuners dans les restaurants du quartier ; sa spécialité préférée était — le bœuf bourguignon.
Quand le temps le permettait, elle aimait s’installer sous le soleil chaud et revigorant à la terrasse d’un des cafés sur la place des Terreaux devant le musée Saint-Pierre, près de l’impressionnante fontaine Bartholdi. L’eau bouillonnante faisait un bruit de fond assourdissant, rendant les discours de Margaret quasiment inaudibles. Elle me racontait ses histoires interminables sur sa jeunesse. Son grand chapeau sur la tête la rendait intrigante.
De nature gaie et joviale, elle faisait revivre ses expériences passées d’une vie embellie par une imagination fertile. Sa voix enivrante de douceur engourdissait mon esprit. Je l’écoutais sans broncher. Margaret me mettait en confiance par sa forte personnalité, je me sentais en sécurité. Dans ces discussions, elle me dévoila qu’elle était lesbienne et cachait son homosexualité que sa famille rejetait. Elle était prévenante, attentionnée, me complimentant régulièrement sur mon travail. Des souvenirs coquins qui éveillaient en moi un délicieux sentiment d’asservissement et de soumission au début d’une jeunesse insouciante et pleine de naïveté.
Le cheminement dans ma découverte sexuelle avec Margaret s’est fait d’une manière spontanée et sincère. Une exploration sans fin et sans complexe dans la recherche du plaisir, le libertinage accompagné d’une belle innocence crédule me laissant des souvenirs d’un érotisme sensuel inscrits dans ma mémoire.
Puis, un jour, lors d’une pause-repos, me montrant un album photo sur sa jeunesse, elle me demanda une faveur lui montrer mon cul. J’étais stupéfaite. Sa demande était spontanée, ses yeux brillaient de désir. J’ai souri. Le ton de sa voix était poli, j’étais séduite par son calme et sa douceur enrobés d’une politesse autoritaire. Je me suis levée sans hésitation, lui tournant le dos, ai descendu mon pantalon et ma culotte. Je ressentais une excitation en moi, la situation me plaisait. Je me suis tenue un bon moment debout, le pantalon sur les chevilles et elle contempla mes fesses ; son regard insistant sur cette partie de mon anatomie me faisait sourire intérieurement ! Au bout d’un moment, elle me remercia et je me rhabillai. Cet acte devint une habitude entre nous, elle était heureuse de regarder mon cul avec insistance tous les jours. Au moment du thé, je devinais ce qu’elle voulait dans son regard ; sans contester, j’acceptais cette soumission, je me levais et descendais mon pantalon.
Nous nous promenions régulièrement dans les rues de Lyon, marchant d’un pas tranquille ; Margaret était toujours coiffée d’un de ces grands chapeaux qu’elle fabriquait elle-même. Elle avait appris ce métier chez un artisan modiste dans le vieux Lyon. Nos promenades étaient animées par ses nombreux discours historiques sur cette ville et j’admirais l’architecture typique des immeubles du dix-neuvième siècle. Elle m’invita un jour à rentrer dans un grand magasin : — les Galeries Lafayette  et me fit essayer des robes et des jupes ; je me pris au jeu. Nous passâmes un bon moment dans ce grand magasin luxueux offrant un large choix d’articles et d’objets de qualité. J’en suis sortie avec des grands sacs ; elle m’avait offert une robe et deux jupes, une courte et une longue, et des chaussures à talons hauts. Je devinais ses intentions.
Le lendemain, je lui rendis visite à son domicile, comme d’habitude, vêtue de la robe achetée la veille. En me voyant arriver, son visage s’illumina et elle me sourit.
— Vous êtes très belle, la robe vous va à merveille ! Comment vous sentez vous ?
Je lui répondis : — Un peu endimanchée ! Les chaussures sont dans mon sac. Je les lui montrai et nous rigolâmes toutes les deux. La complicité était installée ! Nous nous mîmes à travailler, l’inspiration jaillissait de son imagination féconde. Je tapai les nombreux textes sous sa dictée. Elle me frôlait les cheveux très souvent et sa main reposait sur mon épaule. Elle humait l’odeur de mon corps délicatement parfumé à la violette. Vint l’heure de la pause — thé avec des petits sablés qu’elle achetait dans une pâtisserie en bas de chez elle.
— Valérie ! Pourriez-vous nous faire le thé ? 
Je me levai et allai vers la cuisine pour le préparer puis le rapportai sur un plateau dans le salon où nous travaillions habituellement. Je disposai les tasses, le sucre et la boisson chaude sur le guéridon. Je sentis sa main effleurer le bas de ma robe. Ses doigts se faufilèrent ensuite sous ma jupe et caressèrent mes fesses ; je me prenais aux jeux de cette vieille dame qui provoquaient en moi la surprise puis les frissons d’excitation et de honte.
— Vous êtes ravissantes, Valérie. 
Rassurée par sa douce voix et son sourire qui dévoilait une personnalité autoritaire, je m’assis et nous bûmes ce breuvage parfumé à la bergamote. Puis son regard m’invita à prendre ma pose habituelle. Je me levai, m’installai devant elle, lui tournant le dos, soulevai ma jupe et baissai ma culotte.
— Comment vous sentez-vous, Valérie ? 
Je rougis, ne sachant que lui répondre, lui cachant mon excitation et ma gêne. Je me sentais en proie à une agréable domination. Elle prit un carnet de dessin puis fit quelques croquis au fusain.
— J’en ai pour quelques minutes, pourriez-vous patienter ? 
Ce fut tout ce qui se passa ce jour-là.
Le surlendemain, j’hésitais à mettre une jupe ; ma colère montait. J’étais embarrassée par la situation équivoque.
— Je m’habille comme je veux ! Je me raisonnais.
Puis, poussée par une émotion d’humiliation profonde et un peu de culpabilité, je mis cette jupe courte que j’avais achetée lors d’une de nos ballades, me regardai dans le miroir et acceptai.
— Cette jupe me va à merveille. 
Cette approbation généra en moi un sentiment de satisfaction. J’avais besoin de ce travail. Je me rendis à mon poste comme de coutume. La vieille dame, très aimable, me complimenta sur ma tenue élégante qui mettait ma silhouette en valeur et dévoilait mes jambes qu’elle jugea superbes ! Je fus rassurée. Nous sortîmes déjeuner au restaurant d’une salade de riz et dorade. Malgré son âge, elle gardait une coquetterie remarquable dans son habillement.
Ses chapeaux extravagants mettaient l’accent sur une personnalité ambiguë et mystérieuse. Nous reprîmes le travail et puis, arriva le moment du petit jeu habituel. Obéissant à son regard, je me levai et pris ma pose.
— Valérie, avez-vous apporté les nouvelles chaussures ? Pourriez-vous les mettre ? 
Je les mis, ma démarche était chancelante. Debout, de dos, je pris une position de « top model , me déhanchant, les mains sur ma taille. Les escarpins à talons m’offraient une nouvelle personnalité, j’étais comme une actrice sur la scène d’un théâtre essayant d’improviser un rôle ! Je cherchais des postures afin de me sentir décontractée et à l’aise avant de relever ma jupe et d’ôter ma culotte.
— Parfait, Valérie, vous êtes très belle et vos fesses sont mises en valeur. J’aime votre candeur, vos courbes sont voluptueuses.
Elle me demanda ensuite de déambuler dans la pièce puis m’ordonna de m’approcher. Je me tins face à elle ; ses yeux étaient sur mon pubis. Elle me félicita sur ma manière de marcher et de me conduire, me complimenta sur mon comportement docile :
« Vous êtes sublime. J’aime votre docilité, autant que votre état d’esprit libre et

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