La parfum des Vahinés
78 pages
Français

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La parfum des Vahinés , livre ebook

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Description

Partie prendre du bon temps à Tahiti avec son amant, Léa ne tarde pas à y rencontrer deux jolies Polynésiennes qui lui font gouter à la douceur de vivre des îles.

Entre nages de naïades nues et amours torrides à l'ombre des cocotiers, l'île cache pourtant de mauvaises fréquentations.

Léa et ses amies l'apprennent bien vite à leurs dépens !

La peau ambrée par l'huile de monoï, Léa va peu à peu succomber aux plaisirs tahitiens...

Sujets

Informations

Publié par
Nombre de lectures 169
EAN13 9782919071340
Langue Français

Informations légales : prix de location à la page 0,0030€. Cette information est donnée uniquement à titre indicatif conformément à la législation en vigueur.

Extrait

Léa Xxxxx

LE PARFUM DES VAHINÉS


Suivez gratuitement toutes les aventures libertines de Léa sur son blog : www.leserotiques.fr
Qui se cache derrière Léa xxxxx ?

Discrète et sensuelle, refusant les chemins de la médiatisation, Léa xxxxx est journaliste et ne compte pas moins d’une trentaine d’ouvrages à son actif. Tous inspirés de ses expériences, ses romans mêlent l'aventure à l'érotisme le plus débridé. Car avant d'être journaliste, Léa est avant tout libertine et libérée. Léa xxxxx se définit elle-même dans la vraie vie comme une « coquine experte et nymphomane » ! Elle ne refuse aucun des plaisirs que le sexe peut lui offrir : entre femmes, en groupe, dans les endroits les plus improbables,... et ne peut s'empêcher de nous les raconter. Elle a d'ailleurs avoué à son éditeur qu'en relisant ses textes avant de les lui confier, elle devait souvent interrompre sa lecture pour se caresser en repensant à ses exploits passés.

****
Parisienne de cœur et de naissance, Léa suit son père, diplomate, dans ses voyages et découvre à 16 ans les plaisirs de la chair et les penchants vicieux des hommes. Elle ne s’arrêtera plus de voyager et de parfaire son éducation sexuelle. À 24 ans, fraîchement diplômée de la prestigieuse Nieman Foundation for Journalism at Harvard, elle s’installe à Paris et y travaille pour de grands journaux français et européens couvrant l'actualité internationale. Elle réalise de nombreux reportages dans près d'une centaine de pays. Ses thèmes de prédilection : trafic d’armes et de drogues, traite des femmes. Elle n’hésitera d’ailleurs pas à mettre sa vie en danger pour mener à bien ses investigations.

****
En parallèle, entre deux avions, Léa commence à écrire ses aventures. De celles qu'on ne raconte pas, mais que la journaliste souhaitait cependant confier à quelques privilégiés. Au gré des continents et des rencontres, l'auteur nous plonge alors dans un monde trouble où la seule solution pour s'en sortir est souvent de se mettre à nu... Car la vie d'une Grand reporter n'est pas de tout repos, et pendant ses enquêtes, Léa a le chic pour se retrouver dans des situations toujours plus improbables et osées ! D'une île italienne peuplée d'esclaves sexuels ou d'un harem marocain d'où elle parvient finalement à s'enfuir, en passant par une virée dans le milieu underground new-yorkais, Léa fait immanquablement découvrir à son lecteur les facettes enfouies des mœurs humaines et de leurs perversions. Dans un savant mélange de luxure et de débauche, Léa nous entraîne aux quatre coins du globe dans un voyage pervers et érotique.
Bon voyage !
Chapitre I

« Alors ? Qu'est-ce que tu en penses ? Il te plaît ? »
Du haut de la terrasse de notre chambre, Éric embrasse d'un geste ample du bras, le paysage et l'architecture du Maeva Papeete.
L'hôtel est sans aucun doute l'un des plus beaux hôtels du Pacifique. Les chambres sont dispersées en bungalows faits de bois et de bambou.
Les corps des bâtiments, distribués autour d'une magnifique piscine, sont construits sur pilotis. Ils sont perdus entre l'océan de verdure d'un magnifique jardin tropical et l'étendue immense du lagon bleu-turquoise. Les toits à charpente apparente couverte de niau , sont bas ; les balcons ajourés rappellent le style local.
Une merveilleuse construction parfaitement adaptée au paysage polynésien. On a l'impression de vivre sur l'eau. On pourrait se baigner en plongeant des balcons.
« Magnifique ! Absolument magnifique ! dis-je sans chercher le moins du monde à lui faire plaisir.
— Ah ! Je savais que cela te plairait ! dit Éric heureux comme un enfant qu'on viendrait de complimenter sur son chef-d'œuvre. Mais tu sais, cela n'a pas été aussi simple. Ça a l'air comme cela, une fois que c'est fini, mais cela n'a pas été de tout repos !
— Tu as eu des problèmes de permis de construire ?
— Oh non ! Si cela n'avait été que cela ! On en a l'habitude. Non, tout ce que tu peux imaginer n'est rien en comparaison du fléau qui fait des ravages, ici, à Tahiti.
— Et quelle est donc cette calamité ?
— Le fiu .
— Le fiu ?
— Oui. Tu pourrais le traduire par « J'en ai ras-le-bol » ou « Je veux m'en aller n'importe où, mais ailleurs et tout de suite » ou encore « Je t'ai assez vu ». Enfin, tout ceci avec en plus, de l'inexprimable.
— Bah ! le ras-le-bol n'est pas typiquement tahitien. Il sévit un peu partout, non ?
— Oui, mais ici, il peut prendre des proportions extraordinaires. Tu ne veux pas imaginer. Le fiu est soudain, impératif. Tiens ! Prends par exemple le charpentier qui était chargé de faire les armatures de tout de cet hôtel. Eh bien, il s'est arrêté un jour, brusquement, en plein milieu de son travail, et il est parti sans aucun motif, et bien sûr sans avertir personne.
— Et alors, une petite sieste impromptue n'a jamais fait de mal à personne.
— Peut-être, mais sa sieste à lui a duré six mois. Il était parti voir sa sœur dans une île quelconque.
— Ah oui ?
— D'ailleurs, dans sa tête, cela a été si brutal et si irrésistible qu'il n'a même pas songé à se faire payer.
— Ça au moins, c'est honnête !
— Oui, mais ce n'est pas son honnêteté qui a arrangé les choses. Pendant ce temps-là, les peintres, les électriciens, les plombiers, tout le monde attendait que monsieur rentre de sa partie de pêche.
— En attendant que le fiu les surprenne à leur tour si je comprends bien.
— Exactement. D'ailleurs, tu t'en rendras certainement compte par toi-même. C'est fiu de descendre à la cuisine chercher la rondelle de citron qui aura été oubliée pour ton thé. Tant pis ! « Aita pea pea » « On s'en passera » Et puis, un conseil : n'insiste pas parce que le fiu ici, c'est un sentiment respectable et respecté. D'ailleurs, tu verras peut-être ta femme de chambre passer ses journées installée au bar et n'en plus bouger jusque ce que cela lui passe. Cela rend fou tous les directeurs européens qui viennent prendre la direction des affaires ici. Mais personne n'a jamais pu lutter contre.
— Mais toi, dis-je taquine. Tu ne vas pas avoir l'audace de te plaindre de ces petits accès de fiu ? Cela t'a permis de passer quelques petits séjours supplémentaires aux frais de la princesse, non ? Cela n'a pas dû être si désagréable que cela, si j'en juge par le nombre incalculable de petites Tahitiennes que tu croises dans la rue et qui te disent toujours. »

Éric sourit, complice.
« Dire bonjour ! Mais tout le monde se dit bonjour ici ! Les gens sont très accueillants.
— Hum ! Avec ce petit quelque chose au coin des yeux ? Allons donc ! Ces petits bonjours pourraient peut-être tromper n'importe qui, mais pas moi. »
Éric éclate d'un rire sonore qui avoue sa petite incartade vis-à-vis de la traduction française des comportements tahitiens.
Il change apparemment de conversation.
« Dis donc, tu n'as pas trop chaud, comme cela, dans ta petite robe de coton ?
Non, dis-je en faisant semblant de ne pas comprendre la proposition qui se cache derrière cette question.
Tu te sentirais certainement mieux si tu l'enlevais, non ?
— Et toi aussi peut-être ? » dis-je en riant. Il éclate de rire à son tour.
« Hum ! dit-il en me prenant dans ses bras, tu sais ce que j'aimerais que tu me fasses...
— Que tu me fasses ? ou que nous fassions ? dis-je en fronçant le sourcil.
— Hum... répond Éric en simulant l'hésitation, un sourire volontairement pervers aux lèvres.
— Le mufle ! dis-je entre mes dents, en sentant mon désir de lui prendre possession de mon corps.
— Mais tu ne perdras rien pour attendre, tu sais, s'écrie-t-il en me poussant lentement, mais néanmoins sûrement vers le lit.
— Si c'est une promesse...
— Si je mens, je vais en enfer.
— Pas besoin de mentir ! Tu vas le connaître très bientôt l'enfer, puisque tu y tiens tant ! dis-je en laissant ma main parcourir un chemin intime.
— J'ai tellement besoin de toi, Léa.
— Moi aussi, j'ai envie de toi, » dis-je en le laissant déboutonner un à un les boutons de ma robe.
Je me presse contre lui, appuie mes seins nus contre sa poitrine, cherche son cou pour y loger ma bouche et pour y déposer les innombrables petits baisers de fièvre qui brûlent mes lèvres.
Il dénude une épaule et puis l'autre. La robe tombe en chiffons à mes pieds.
Il me décolle de lui, légèrement, pour pouvoir me contempler. Ses mains vont à la rencontre de mes seins qu'elles effleurent, caressent, écrasent, soupèsent.
« Bon Dieu, que tu es belle ! »
Je me laisse glisser le long de son corps et tombe à ses pieds.
Ma main rencontre le membre gonflé de désir sous le pantalon devenu carcan. Elle s'anime de caresses, s'impatiente soudain de voir le tissu faire obstacle à nos deux désirs.
La fermeture éclair ne demande qu'à glisser, le sexe qu'à sortir de sa prison pour se laisser prendre, toucher, palper, goûter.
J'entends Éric respirer à fond tandis qu'il glisse ses mains dans mes cheveux.
Le sexe se libère droit et fier au milieu de la toison brune.
Je ne peux retenir la vague de chaleur qui inonde mon ventre à la vue de ce membre imposant qui se voudrait à la fois conquérant et conquis.
La gourmandise est contagieuse. Il voulait goûter à son plaisir, et c'est ma bouche qui ne demande plus autre chose que de le savourer.
J'approche ma bouche du sexe frémissant. Je sais que je prendrai ma jouissance à travers celle de mon amant. Le plaisir de donner sera aussi fort que celui de ne pas recevoir.
Mes lèvres entourent l'extrémité du gland. Ma langue vient à l'unisson s'enrouler autour du pieu de chair. Éric pousse un gémissement lorsque le gland, à chaque succion, s'enfonce de plus en plus profondément dans la gorge.
De la pointe de ma langue, j'excite le gland par saccades rapides et lorsque je sens monter trop vite le plaisir d'Éric, je ralentis le rythme. J'apaise ce qui devient un supplice pour mieux l'attiser ensuite.
Le gland touche le fond de ma gorge. Éric soupire, il est heureux. Ses ongles me griffent et martyrise mes épaules.
Pas tout de suite, monsieur l'impatient ! Vous êtes trop pressé. Je vous avais bie

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