Le rugissement du guépard
70 pages
Français

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Le rugissement du guépard , livre ebook

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Description

Diego est le président du Motorcycle club, les Savages, mais ce gang n’est que la partie émergée de l’iceberg...


Lorsqu’il rencontre Dani, c’est le choc, car non seulement Dani est un jeune homme blessé, mais Diego est hétéro. Mais, cette attirance prend tout son sens lorsqu’il découvre son secret. Dès lors, avec son bande de motards, Diego n’aura de cesse de lui venir en aide, même s'il devra pour cela laisser sortir l'animal qui est en lui...

Sujets

Informations

Publié par
Date de parution 25 septembre 2017
Nombre de lectures 28
EAN13 9782819102458
Langue Français
Poids de l'ouvrage 1 Mo

Informations légales : prix de location à la page 0,0015€. Cette information est donnée uniquement à titre indicatif conformément à la législation en vigueur.

Extrait

THE SAVAGES OF HELL Le rugissement du Guépard Pierrette Lavallée
Du même auteur aux Editions Sharon Kena Au cœur de la volupté Les cow-boys lovers La malédiction tsigane tome 1 à 5 JAWD Sous le masque des apparences Défis entre amies l’intégrale Un rôle sur mesure Les Warriors tome 1 à 5 Lever de rideau Flics de mon cœur l’intégrale Une doublure imparfaite Représentation théâtrale Saison féérique 1
« Le Code de la propriété intellectuelle et artistique n'autorisant, aux termes des alinéas 2 et 3 de l'article L.122-5, d'une part, qu e les « copies ou reproductions strictement réservées à l'usage privé du copiste et non destinées à une utilisation collective » et, d'autre part, que les analyses et les courtes citations dans un but d'exemple et d'illustration, « toute représentation ou reproduction intégrale, ou partielle, faite sans le consentement de l'auteur o u de ses ayants droit ou ayants cause, est illicite » (alinéa 1er de l'article L. 1 22-4). « Cette représentation ou reproduction, par quelque procédé que ce soit, cons tituerait donc une contrefaçon sanctionnée par les articles 425 et suivants du Code pénal. » ©2017Les Editions Sharon Kena www.leseditionssharonkena.com ISBN : 978-2-8191-0245-8
PROLOGUE
Salvatore avait tout de suite compris que son père avait été trahi, lorsque les voitures de police entourèrent le gang des Hyènes e t qu’ils sortirent de leurs véhicules, l’arme au poing. Même si son paternel et ses acolytes étaient d’impressionnants bikers et qu’ils pouvaient mener leur bolide à fond de train, s’échappant ainsi de n’importe quelle situation, cette fois, ils étaient coincés. Les mâchoires serrées, la rage au ventre, Salvatore se laissa menotter et entraîner sans même tenter de se débattre, contrair ement à ses compagnons d’infortune qui résistèrent à leur arrestation, en se jetant dans la bagarre. Pourtant, Salvatore avait essayé de démontrer à Monster, le nom que s’était donné son vieux en entrant dans la grande famille des motards, les risques qu’ils encouraient, les failles dans son plan et, surtout, ses erreurs de r aisonnement. Mais comme d’habitude, Monster s’était contenté d’éclater d’un rire gras, de lui assener une claque virile sur l’épaule et de le renvoyer au gar age, afin qu’il s’occupe des bécanes. Et ils en étaient là ! Une douzaine de bikers qui c omposaient les Hyènes, le chapitre d’El Mansal, s’apprêtait à être enfermé à l’ombre, tout ça parce que Monster, alcoolique et camé, n’avait pas voulu écouter ses mises en garde. Salvatore se retrouva bien vite dans une des salles d’interrogatoire et même s’il savait qu’il avait le droit d’appeler un autre memb re des Hyènes et contacter ainsi un avocat qui défendrait les bikers contre monnaie sonnante et trébuchante, il ne le ferait pas, parce qu’il n’en éprouvait aucun désir, parce que ce n’était pas la vie que sa mère avait souhaité pour lui. Alors, il attendit qu’on lui signale sa mise en examen et les faits qu’on lui reprochait… Quoique ce n’était pas difficile… Coups et blessures, tentative de meurtre, trafic d’armes et de stupéfiants. S’il était libéré de taule avant ses quarante ans, c’est qu’il avait énormément de chance, même si ça signifiait passer les dix-huit prochaines années dans un établissement pénitentiaire fédéral. Salvatore en était là de ses réflexions lorsque la porte s’ouvrit sur deux inspecteurs vêtus de costumes sur mesure. Ils prire nt place face au jeune homme et le fixèrent attentivement, avant d’extirper un dossier d’une mallette. Monsieur Salvatore, vous êtes dans les ennuis jusqu’au cou. Vous venez d’être arrêté pour vous être introduit, en compagnie du ga ng des Hyènes, dans un {1} bâtiment fédéral où étaient stockées la drogue et les armes saisies par l’ATF lors d’un coup de filet impressionnant. Non seulement vo us y avez pénétré par effraction, mais plusieurs agents ont été abattus, frappés à mort. Qu’avez-vous à dire pour votre défense ? Que j’ai fait une belle connerie en voulant faire l a connaissance de mon géniteur ! répondit Salvatore d’une voix amère. Alors c’est parfait, parce que nous avons un deal à vous proposer…
CHAPITRE 1
Diego reposait contre les coussins, entièrement nu, et contemplait d’un air décontracté les deux jeunes nanas à quatre pattes, l’une à sa droite, l’autre à sa gauche qui s’occupaient consciencieusement de son sexe. Les bras croisés derrière la nuque, il s’amusait de les voir ainsi se disputer son membre avant qu’elles ne se décident finalement de le partager. La brune… Penny , enroulait sa langue ornée d’un piercing autour de son gland, tout en en point ant le bout dans sa fente, recueillant les quelques gouttes qui y perlaient… La blonde, Candy, une bombasse aux gros seins et aux cheveux frisés, le léchait de bas en haut, arrondissant ses lèvres, redessinant le tracé de ses veines. L’une d es mains de Penny serrait doucement ses testicules tandis que sa comparse s’a ctivait entre ses jambes cherchant à assouvir son propre désir. À l’inverse, Candy le tenait à la base tout en parcourant nonchalamment la poitrine de sa camarade de jeu du bout des doigts. Diego les observait, amusé, mais aussi… désabusé. S ’il pouvait leur donner du plaisir pendant un long moment, ayant la capacité d ’entrer en érection et de rester ainsi sans débander durant des heures, lui ne resse ntait que de… l’ennui et ne jouissait que lorsque la pression se faisait un peu trop irrépressible… Trop peu souvent à son goût… Mais il aimait les femmes et elles le lui rendaient bien. Eh, fais gaffe putain, gronda-t-il en tirant d’un g este brusque sur les longues mèches raides de Penny. Si tu me mords, je te tue ! Désolée, Diego, murmura-t-elle. J’ai perdu le contr ôle quand Candy a pincé mon téton. Si tu ne veux pas que je te les coupe, concentre-toi sur moi, pas sur elle ! Penny lança un regard d’avertissement à Candy et re prit ses mouvements de succions, prenant garde, cette fois, que ses incisi ves ne se rapprochent pas trop près de la chair tendre de Diego. Elle savait de qu oi il était capable et s’il déclarait froidement qu’il lui trancherait le bout des seins ou la flinguerait si elle n’était pas plus attentive, il le lui démontrerait avec plaisir. Diego était le président du Motorcycle club :TheSavages of Hell, et ils portaient bien leur nom, car tous les membres ressemblaient à de véritables sauvages échappés des Enfers. Personne n’aurait mis en doute non plus, la qualité de chef de Diego, car n’importe quel individu ayant déjà croisé son chemin se serait imaginé face à Lucifer lui-même. Un animal… Voilà ce que les gens disaient de lui… U ne bête féroce, aussi bien par sa façon de se déplacer, tel un félin sur le point d’attaquer sa proie, que par son regard impitoyable. Et c’était sans compter sur le sentiment de danger qui s’emparait de quiconque se retrouvait dans sa ligne de mire. Diego était également impressionnant par son physique. Grand, musclé, avec de nombreux tatouages, il attirait sans conteste l’attention de la gent féminine, mais s’il offrait ses faveurs librement, il n’avait aucune ré gulière et chacune des filles qui côtoyaient lesSavagesespérait, sans toutefois trop y croire, porter un jour sur leur blouson, son signe d’appartenance. Autre particular ité de Diego : ses cheveux courts, même si beaucoup de bikers, préféraient les avoir longs et hirsutes. Lui
aimait la propreté et jamais il ne serait sorti dans les rues débraillé comme certains de ses pairs. Oh putain, les meufs, vous êtes bonnes ! marmonna-t-il alors qu’un feu brûlant vrillait ses reins, prémices d’un orgasme dévastateur. Tu veux que je te mette un doigt dans l’anus et que je te masse la prostate ? proposa Candy en redressant le menton pour le fixer. Une vague de découragement saisit Diego. Il n’en pouvait plus de ces gonzesses prêtes à tout pour lui plaire, pour obtenir la plac e enviable d’Old Lady, comparable au statut d’épouse chez les bikers. Les paroles de Candy avait coupé son envie d’éjaculer, et même s’il bandait encore, il n’avait plus du tout la tête à prendre son pied. Si tu touches à mon cul, la menaça-t-il, je peux te promettre que tu ne t’assiéras pas sur le tien avant l’année prochaine. Il allait poursuivre quand la porte du baisodrome, comme l’appelaient tous les Savages, s’ouvrit sur Juan qui, sans même se soucier des filles qui poussaient des cris faussement outrés, indiqua à Diego de le rejoindre à l’extérieur. Ce dernier bondit aussitôt hors du lit et, sans pre ndre la peine de s’envelopper d’un drap, suivit Juan dans le couloir. Que se passe-t-il ? demanda-t-il d’une voix grondeuse. La Panthère et moi étions en repérage lorsqu’on a d écouvert un prospect qui s’est fait dérouiller, certainement par son chapitre. On l’a ramené ici ! us avons eu avecQuoi ? rugit Diego. Tu as oublié le problème que no Charlotte ? On s’était tous mis d’accord, hors de question d’accueillir des étrangers dans l’Enfer… L’Enfer était le nom que Diego avait donné à l’immeuble qu’il avait racheté et qui abritait les Savagesgrand complet. Ce dernier comportait cinq étage s… Le au premier et le second étaient ouverts à tous les visiteurs, lors de rassemblements ou de visites entre « gangs » tandis que les trois autres étaient exclusivement réservés aux membres officiels desSavagesOù l’avez-vous installé ? s’énerva Diego. Dans l’ancienne chambre de Charlie, mais le Furet a les caméras braquées sur lui. S’il tente de se barrer, il n’ira pas loin. Ouais… Et pourquoi avoir fait cette connerie ? s’en quit Diego en croisant les bras sur son large torse. Parce que ce gosse n’a même pas de poil au menton, soupira Juan. On taillait la route, Sienna et moi lorsqu’on a vu un paquet jeté d’une camionnette. Panthère a pilé et s’est précipitée. Dans un sac de jute, il y avait ce gamin… Il a reçu de nombreux coups au visage, mais dès qu’on a fait un pas vers lui, il a commencé à hurler, impossible de s’en approcher. Il a fallu to ute la patience de Sienna pour le convaincre de grimper sur sa moto. À peine allongé sur son lit, il s’est recroquevillé sur lui-même et s’est endormi. Oh putain ! Quel club ? aboya Diego. Aucune idée ! Aucun écusson sur son blouson pour nous donner une indication sur le chapitre auquel il est rattaché. C’est étrange. Tu es certain que vous n’avez pas été repéré ? Merde, mec, tu nous connais. Ouais… Quelle heure est-il ? bougonna Diego. Juan s’esclaffa et extirpa son portable de sa poche. qua Juan en indiquant laIl est deux heures du mat’ ! Tu y retournes ? se mo
porte d’un signe de tête. Oui, Scorpion, pour les renvoyer sagement dans leurs pénates ! ricana Diego. Tu as besoin d’aide ? ra Diego en riant. Ce quiNon, je pense que je devrais m’en sortir ! le rassu risque uniquement de se passer, c’est qu’elles vont vouloir se pendre à ma queue et me supplier de les garder. Alors fais gaffe qu’elles ne t’émasculent pas. J’ai remarqué que leurs ongles étaient très acérés. Pas autant que les miens ! Diego gratifia son ami d’un clin d’œil et retourna au baisodrome. Les choses avaient évolué entre les filles, car elles...
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