Amoursite
116 pages
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Description

Voyage au sein d'un site de rencontre bien connu. Aventures amoureuses et passagères pleines de tendresse. Découvertes enrichissantes dans un monde virtuel et humaniste Érotisme, sexualité, sensibilité, sensualité. Tous les ingrédients indispensables sont ici, dans ce roman auquel s'est jointe l'humour des bons vivants.

Informations

Publié par
Date de parution 23 mars 2012
Nombre de lectures 26
EAN13 9782312006482
Langue Français

Extrait

A moursite
Gauthier de Lagardelle
Amoursite













Les éditions du net 70, quai Dion Bouton 92800 Puteaux
À l’attention de toutes mes confidentes




L’amour est une lagune ou ne plongent que sensibilité, sensualité et respect.
L’amour est un lagon ou tout n’est que limpidité.
L’amour a sa barre de corail au-delà de laquelle se perdent les ruptures.
L’amour est un élixir dans lequel deux êtres sont aspirés sous un ciel d’azur.
L’amour est le zénith de la vie


© Les Éditions du Net, 2012 ISBN : 978-2-312-00648-2
Avant-Propos
L’idée d’écrire un roman, sur mes aventures rencontrées au centre d’un site sur Internet, me vint lorsque, pris de ce mal rempli de ce bien que l’on appelle l’amour, je me suis retrouvé au paradis.
Mes voyages, mes coucheries, mes échanges virtuels sont étalés, ici, sans porter de jugement, ni condamner, ni approuver ces nouveaux modes de rapports et de communications entre hommes et femmes.
Plus porté par la curiosité que par la solitude, j’ai erré dans les méandres de la complexité humaine. Sans objectif avoué, ni intention de me muer en chasseur de proies terrorisées par la solitude et les charognards, j’ai déambulé pendant des semaines dans des steppes pauvres en optimisme. Dans un désert à la culture ensablée, je me suis laissé bercer par des richesses aux sentiments bienfaisants.
Mes louvoiements, sur un site bien connu, m’ont donné la joie de découvrir des dames aux tempéraments différents.
Dans la facilité, J’ai pu dialoguer d’égal à égale avec quelques dames cultivées, intelligentes ; parfois pleine d’humilité ; parfois arrogantes. Elles ne peuvent que trouver ou retrouver un amour à la hauteur de leurs espérances.
Chacune de mes rencontres aurait pu faire naître une pièce de théâtre, un vaudeville. L’attrait de la découverte de « l’autre » m’avait poussé à écourter considérablement mes nuits de sommeils.
Lorsque certaines de mes interlocutrices exerçaient des professions de santé, ou bien lorsqu’elles étaient en rupture d’emploi, les heures passées à échanger nos idées s’accumulaient sans aucune retenue.
Au début de mes pérégrinations, j’estimais que le site se vidait et que la fréquence des visites se faisait plus étalée. La plus grande majorité des adhérents et adhérentes fuyaient le site pour consolider des approches tentées dans les jours précédents. Oui, les week-ends sapaient vraiment la présence de celles qui me tenaient causette les soirées d’avant. Je ne pouvais les suivre. Mon devoir de père m’obligeait à demeurer à la maison en l’attente du retour de mes enfants, le samedi soir.
Je retrace ici toutes les péripéties qu’un homme relativement sage et modéré peut vivre, en m’écartant des excès de vulgarité, pourtant si présents en la matière.
Les milliers de visites sur ma page et plusieurs centaines de clins d’œil ou de flashs, ajoutés à une foison de messages tous aussi agréables les uns que les autres, m’ont confirmé les tendances de notre société de consommation.
À la fin de deux mille cinq, après une union de vingt-trois années, pour la première fois je débarquais sur les rivages du virtuel, m’y promenant pendant un mois.
J’allais y revenir un an plus tard, navigant maladroitement pendant deux semaines. Mes divagations devenant lassantes, je m’étais éloigné momentanément, d’échecs et de turpitudes.
Ma décision de ne plus ouvrir de relations nouvelles avec de gentilles allemandes découlait de merveilleux souvenirs passés avec une seule d’entre elles.
Les circonstances heureuses et chanceuses de ma vie m’ont conduit à revenir dans la ville, berceau de ma naissance afin de participer à adoucir les derniers mois de ma mère.
Ce fut ici que, abandonnant les futilités, je rendais à celle que j’aimais avant les autres des années d’absence.
La solitude qui fut mon alliée, au milieu des foules, sur les scènes surplombant des pistes de danse ou sur des tapis verts bordés de nombreux spectateurs, m’incitait à renouer avec le virtuel.
Dès lors, en février deux mille huit, mon retour sur le site, ne pouvait plus attendre. j’y ai enfin découvert ce que j’attendais, sans le rechercher, logé pendant deux mois en une demeure où je fus choyé par un grand nombre de dames ; charmées par mon physique et mon annonce très sensuelle, sentimentale et romantique, me disaient-elles. Ebloui et décontenancé par un nombre de visites sur ma page et la quantité surprenante de dames et de demoiselles qui voulaient entretenir une relation, ne fut- ce qu’éphémère, je me suis vautré dans un orgueil démesuré pendant de longues semaines.
J’ai eu tout loisir à côtoyer des femmes dénuées de perversité. J’ai parfois ressenti de la peine, de la pitié, de la commisération devant des cas de perdition, de solitude extrême. Mais j’ai plus souvent éprouvé de la joie, une liesse partagée lorsque se dessinaient des sourires et que l’écho de rires bienvenus sonnait à mes oreilles.
Retraçant en ces pages une partie de ma vie, je pense avoir obtenu le résultat d’une sagesse colorée de toutes ces teintes qui irisent l’amour. Ma générosité et ma confiance dans ce sentiment m’ont éradiqué d’une solitude inconsciente.
Ma patience et ma ténacité se sont alliées à ma séduction naturelle.
Les lieux ne sont pas ceux où, dans la réalité, se sont déroulées mes aventures.
Les prénoms ou pseudonymes sont empruntés à mon imagination.
Je souhaite ne pas choquer les vues les plus sensibles à propos de noms de villes, de villages, de cours d’eau, mais au contraire, donner ainsi l’espoir que pour toute âme respectueuse de l’autre, l’amour peur naître ou renaître.
Un peu d’humour sensible peu devenir une parure saisonnière.
La moralité de ce roman vécu est, et restera que l’esprit dirige le corps et que l’être ne reste physique, aussi beau soit- il ne peut à lui seul régenter la psychologie de l’amour.
Introduction
Dans ce monde insensé et troublé ;
Dans cette société décadente et mortifiée ;
Sur cette terre aux contours sublimes ;
Sur cette planète aux couleurs d’abîmes ;
Existe une créature à l’âme sensible.
Son aura la dirige vers l’amour d’un homme
Qui lui déposera ses meilleurs acrosomes.
Son désir la protégera des ingrats.
Son amour lui sera des plus délicats,
Tant la tendresse de lui recevra.
Le plus beau trésor qu’elle devra
Protéger, mon aimée dans son intimité
Puisée au fond d’un lagon bleu inimité.
Je vous aime et me rendez cet amour
Qui couvera en moi chaque jour
Comme un nouveau-né à protéger et rassurer
Des aléas que d’autres voudraient lui créer.
Dans cette vie aux vicissitudes exacerbées,
Je veux au paradis vous y emmener.
La femme de mes rêves, c’est vous qui m’avez subjugué.
Le bonheur à deux, chez moi, vous l’avez décoré.
Je vous aime…C’est sûr…À moi de le prouver.
Amoursite

Entre deux âmes chatoyantes vient se glisser l’amour.
Les caresses et les douceurs se tissent au petit jour.
Les souffrances se sont dissipées et la nuit les a mangées.
Nos deux cœurs si parfumés de désirs et de volupté
Battent la chamade dans une musique sans soupir
Et se muent en un seul corps pour aller vers l’avenir.
Notre peau si sensuelle gardera cette odeur
Et personne sur cette terre n’aura tant de bonheur.
Acélya, toi qui m’attires vers ce zénith suprême,
N’attends de moi que des « je t’aime ».
Au coin du feu ou sous la couette,
Dans la cuisine ou la chambrette,
Je saurais te donner ce à quoi tu aspires.
Cette vie à toi, c’est ton plus grand désir.
Avoir ta maison est ta raison de vivre aussi,
Dans l’intimité, celle que tu éprouves au lit.
Ressentir des élans, les propulser au ciel
Où l’azur si bleu sera des plus charnels.
J’ai envie de te plaire, te conquérir, te garder ;
Car cette fois, cet amour, je veux le préserver.
Amoursite

Danser à perdre son passé et vivre le pr

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