L'Amour Inside

Vincent Thonet

Description

L'Amour Inside offre une vision de la passion amoureuse et de ses forces incontrôlables. Le sujet amoureux, perdu dans l'exploration de son âme et de ses sentiments, se débat tant bien que mal face à des énergies qui le submergent.
Le recours à la poésie apparaît ici, avec ses images et ses métaphores, comme l'ultime moyen de faire part à l'individu en déroute de ce qui le dépasse.

L'Amour Inside est le récit des sentiments vus de l'intérieur, vécus au fond des entrailles, du début à la fin, de l'étincelle à la perdition de l'âme.

Sujets

• Romance
• Toute la romance
• Fiction

Informations

• Publié par: Edilivre
• Date de parution: 08 septembre 2015
• Nombre de lectures: 0
• EAN13: 9782332970060
• Langue: Français

Extrait

Couverture
Copyright













Cet ouvrage a été composér Edilivre
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intégrale ou partielle réservés pour tous pays.

ISBN numérique : 978-2-332-97004-6

© Edilivre, 2017
Sommaire
1. Il était une fois…
Deux, trois fois, je t’ai vue seule. Chaque fois, je t’ai voulue. Puis, je t’ai regardée. Possédée du regard. Tu avais du charme. Tu avais de la gueule, mais tu étais toute seule.
2. Une fille
Jolie et avec en cadeau bonus de la conversation, tu étais réceptive, tu as même eu l’air intéressé. Mais tu étais trop ; il y a eu des gens autour de toi pour croquer ce que complaisamment tu laissais tomber. Ils ont brisé ta solitude mais…
3. Avec des garçons-vampires
Te pomper, c’était facile. Et ils en étaient fiers. Moi, tu me parlais ; je ne disais rien. Mais en retour, j’écoutais parler ton visage de tout ce que tu ne disais pas.
4. Des larmes trop sèches
Dans tes yeux, j’y voyais le rire et autre chose. Le désir. Le besoin d’ingurgiter du bien-être et de le vomir, jusqu’à ce que le souvenir s’engloutisse, te sorte des yeux. Du ventre.
5. Et un homme-lune
Un poète des cancers nocturnes et des soleils noirs de la mélancolie, que tu as su illuminer, presque guérir par manque d’ordonnance.
6. Pour les aimer
Il n’a jamais su les aimer, tous ces gens qui vivaient sur ton compte, sur ton corps. Ces mecs-souris qui te sucent sans te donner le plaisir d’aimer quelqu’un. Avec sincérité.
7. Au début
Je t’ai sentie très fort. Et cela m’est resté. Demain, je n’aimerai plus ni tes larmes, ni tes parasites, moustiques et autres marteaux-piqueurs de papier pour midinettes en mal d’être exploitées, explorées, vidées par les plastiques de leurs ventouses.
8. Et finalement
Je continuerai à t’aimer, à ma manière. Et tu sauras que je t’aime plus que tu n’oses le croire. Et tout finira bien. Sauf que nous n’aurons pas d’enfants. Si ce n’est toi et moi, que nous avons accouché de nous-mêmes. Et que je t’aime.
9. Que je t’aime n’a pas d’importance
Car même si les césariennes font mal
10.  Nous avons appris à nous apprécier
Pour ce que tu es, ce que je suis. Et au diable les images venimeuses, ensorcelées d’idéal et de femmes fatales que regorgent les poubelles de l’ennui.
Chapitre premier
Ma chère F.
«  … Ton petit clin d’œil masturbateur aura toujours fait de le terre glaise avec mon pauvre petit cœur mais ce silence gras et compact, le tien ! ne me suscite pas le désir ni l’envie de te revoir. Mon vouloir immense est cependant immersif. Ton attitude extraterrestre, immonde, trouvera-t-elle enfin ce point d’ancrage correspondant aux immondices de mon immolation-intégration ?
L’amour n’est pas un caractère récessif. Et le reste ? Le reste...