L enfance du soleil
220 pages
Français

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Description

Pierre Vélure, 32 ans, est architecte dans un bureau de Nice. Il reproche à sa femme, Catherine Lombar, d’être responsable de la mort de leur fils Gérard, 8 ans, tué par un pirate de la route, sur le perron de leur immeuble.








La situation s’envenime au point que le divorce reste inévitable. Catherine ne se résigne pas et veut entamer la reconquête de Pierre. Elle va le trouver, lui offre un dalmatien et, sans précipitation, lui fait comprendre que leur chagrin doit prendre des dimensions humaines.








Pierre évoluera de façon positive et le couple finira par retrouver sa motivation amoureuse.

Sujets

Informations

Publié par
Date de parution 26 juillet 2021
Nombre de lectures 0
EAN13 9782342350586
Langue Français

Informations légales : prix de location à la page 0,0067€. Cette information est donnée uniquement à titre indicatif conformément à la législation en vigueur.

Extrait

Couverture
Copyright













Cet ouvrage a été édité par la Société des Écrivains,
Immeuble Le Cargo, 157 boulevard Mac Donald – 75019 Paris
Tél. : 01 84 74 10 20 – Fax : 01 41 684 594
www.societedesecrivains.com
client@societedesecrivains.com

Tous droits réservés pour tous pays.

ISBN numérique : 978-2-342-35327-3

© Société des Écrivains, 2022
Ouvrages et écrits du même auteur
Les valeurs humaines peuvent-elles sauver le Monde ?, Paris, Éditions Société des Écrivains, 2019
Éducation morale et éthique scolaire : hier, aujourd’hui & demain, Paris, Éditions L’Harmattan, 2014.
Autres publications
Recherche et évaluation des GAPP dans la Somme, IA49, CDDP
La construction de la personnalité des hommes en maternelle, Université Nantes
L’Identité professionnelle des ATSEM, Atelier recherches et Mission enfance 49
Fonctionnement des restaurants scolaires en écoles d’un canton, Cahiers 80-CDDP
Nombreux poèmes et préfaces dans des revues nationales, régionales, départementales, La Bonde, Poévie, Le Pot à Mots, Le Grognard, Cahiers poétiques, La Taverne-aux-Poètes, La Plume angevine, Arts et poésie (SPAF), etc.
En coauteur : Des mots pour le dire , Recueil de textes et poèmes, publié par Éditions du Petit Pavé.
Exergue
« L’amour est un je ne sais quoi, qui vient de je ne sais où, qui finit je ne sais quand. »
(Madeleine de Scudéry)
Dédicaces
À ma chère épouse ;
À mes chers enfants et petits-enfants,
À mes chers parents,
À mes professeurs de littérature,
À mes chers amis poètes et écrivains,
À toutes les écrivaines que j’ai appréciées,
À ce destin qui m’a appris à écrire et que je remercie et à mes professeurs qui m’apprirent à dessiner et peindre.
À mes amis poètes Didier Cléro et Bernard Pommier
À mon éditeur qui accepte la magnifique aventure de publication
L’auteur-chercheur dit et redit Merci !
Préface 1 Par Didier Cléro écrivain et poète « 70 poèmes & 70 dessins pour dire que je vous aime ! »
Héritier de valeurs humaines telles que l’amitié, la bienveillance, l’humilité, la sincérité, la solidarité ou la tolérance, Guy Lheureux se présente en même temps comme le défenseur d’une éthique laïque où culmine un esprit de paix et de non-violence.
Sa carrière au sein de l’Éducation nationale l’a amené à se préoccuper de la formation des enfants ; sa quête personnelle l’a conduit sur les bords du Gange à s’intéresser aux philosophies orientales. Ces deux démarches se trouvent étroitement liées dans sa (première) thèse 1 : Éducation morale et éthique scolaire, hier, aujourd’hui et demain , dans laquelle il propose de transmettre aux enfants une éthique minimale et une spiritualité laïque, où l’amour trouve sa place 2 .
Son second livre, un essai intitulé Les valeurs humaines peuvent-elles sauver le monde ? (Éd. Société des Écrivains, 2019), témoigne aussi de l’intérêt du chercheur pour les expériences menées par exemple par l’organisme RYE (Recherche de yoga à l’école), par le mouvement SEVE (Savoir être et vivre ensemble) de Frédéric Lenoir et par l’association Colibris de Pierre Rabhi… Préparant actuellement à Tours un doctorat en philosophie sur la laïcité et le sacré hors religion, Guy Lheureux a présidé des jurys de concours poétiques, cocréé des revues éphémères ( La Bonde , Poévie ), fait paraître ses poèmes dans des revues locales et associatives ou nationales : Empreintes (La Taverne aux poètes), Le Pot à mots (Les Amis du Petit Pavé), Le Grognard , La Revue de la Plume (Association de la Plume A-angevine) et Art et poésie (Société des poètes et artistes de France).
Installé en Anjou, à Trélazé, entre Liré et Sainte-Gemmes, après de nombreux périples dans l’Hexagone et en Inde, il nous invite dans un pays de poésie et d’amour. Ayant allègrement passé le cap des trois fois vingt printemps, il décline ici ce sentiment universel en soixante-six poèmes, qu’il illustre lui-même de jolis dessins. Il dispose en effet, entre autres talents, de celui de l’écriture et de celui des arts plastiques… Alors que le chercheur s’adresse aux enseignants, aux étudiants, aux parents d’élèves et aux curieux, le poète, lui, se confie plus familièrement à ses parents et amis comme à chacun de ses lecteurs.
Il partage avec nous, dans un esprit de sagesse et de fantaisie, l’amour de ses proches, le souvenir d’êtres chers disparus et d’un homme illustre (Stéphane Hessel).
Il nous invite à goûter à ses côtés l’observation des animaux et de la nature au fil des saisons. Il nous emmène aussi en voyage dans sa région d’adoption, où nous le découvrons amateur d’artisanat, de yoga et de plaisirs simples de la vie, tels le jardinage ou la randonnée pédestre…
« L’amour est une qualité du cœur où la division est exclue », écrit le sage indien Jiddu Krishnamurti dans son œuvre Vers la révolution intérieure . Dans les vers de ce recueil, il se conjugue surtout au présent, sous une forme verbale plutôt que nominale. Le narrateur « je » s’y met le plus souvent en scène avec un « tu », avec un « vous » ou avec son environnement, parfois s’efface derrière des personnages, afin de mieux mettre en lumière le fond de son être. Au fil des rimes et des strophes, sous une couche d’amour, on devine des valeurs à défendre et des combats à mener…
Didier Cléro 3


1 . Doctorat en sciences humaines soutenu à l’université de Rennes 2 (téléchargé 13 000 fois sur le site d’Archives ouvertes).

2 . Ouvrage préfacé par S. Hessel et postfacé par Pierre Rabhi (Éditions L’Harmattan, 2014).

3 . Didier Cléro , poète de la Grande Couronne parisienne, s'adonne à l'écriture depuis de très nombreuses années. Il est l’auteur de 7 recueils de poésie : Causse vivant (Éd. Petit Pavé, 1999), Nos amis les animaux (Éd. Petit Pavé, 2002), Dulcinéa (Éd. Flammes vives, 2007), Au soleil de ma foi (2008), Parchemins étoilés (Éd. J. Ouaknine, 2011), D’une ombre à la lumière (Éd. Petit Pavé, 2016) et Vers une vérité (Éd. Parole & Poésie, 2017). Ayant fait paraître des poèmes dans différentes revues et anthologies, il coordonne depuis 2015 la revue de l’association des Amis du Petit Pavé, Le Pot à mots. Il possède aussi l’art de la prose ; plusieurs de ses textes de création et de présentation (de recueils ou d’autres revues) ont été publiés en ouvrage collectif et en revue.
Préface 2 Du poète et peintre Bernard Pommier
Dès la mise en chantier d’un livre et plus encore d’un recueil de poésies, une première question se pose : faut-il prévoir une préface ? Si la réponse est oui, seul un ami fidèle un peu de la partie, ouvert au monde poétique, devrait pouvoir s’en charger. Oui, je suis cet ami fidèle, et voici les compléments de la réponse…
Oui, il faut une préface, parce que c’est nécessaire, oui c’est absolument nécessaire, c’est même indispensable ! La poésie, c’est grave, c’est vital, c’est important, c’est vital, « c’est tout, c’est même phénoménal ! » ainsi que le déclare Fabrice Luchini, qui, en vrai amoureux de la poésie, est un maître ! C’est une ouverture sur des jardins secrets où l’on ne peut pénétrer brusquement. Il faut s’y préparer, voici quelques clés… Ouvrez d’abord les yeux du cœur ! Regardez chaque mot, c’est la note précise d’un chant qui se compose chaque fois devant vous. Parfois même, lisons à haute voix pour éveiller nos rêves. Nos oreilles ont du cœur, ne nous en privons pas ! Pénétrons doucement, presque par effraction, dans cet univers constitué et tapissé d’états d’âme. C’est du grand art dans un monde en petitesse (petite aise ?) Dégustons, oui !
…………
Dégustons sans cesse cette cuisine verbale qui s’avère tendre et goûteuse. Elle est celle d’un éternel enfant qui fut toujours un grand chef étoilé. Son monde est un univers composé de fées qui, en des temps plus lointains, ont formé son berceau, son style et son talent !
Préfacer un ouvrage de lui, c’est préparer le lecteur à en découvrir les saveurs les plus fines, les plus délicates, et même avec excès, surtout ne nous en privons pas !
Le préfacier est un donneur de clés ; à vous, lecteurs, d’ouvrir portes et fenêtres sur un jardin excentrique débordant de tendresse, car l’auteur de ce livre est un tendre. Si vous devenez le lecteur qui lit ces lignes avant de découvrir le livre, adoptez l’attitude d’un escargot qui boude. « Défense de courir sous peine de poursuite » , nous avertit l’artiste.
Pour finir cet avant-propos, soyons bref, car je vous sais impatients de commencer à lire ces vers et ces lignes. Car Guy Lheureux est un poète en tous les domaines. Compères, nous le fûmes, en « Arts modestes » et en « Poèmes picturaux ».
Nous sommes coupables, des années durant, d’avoir uni nos plumes et nos pinceaux, ainsi que des vieux frères, l’on peut le dire. Aujourd’hui comme avant, on s’aime et on s’apprécie, en toute simplicité d’une complicité griffonnée avec nos outils scripteurs trempés dans l’encre de nos deux cœurs.
Alors, faites-moi plaisir, lecteurs qui avez aujourd’hui ce livre entre les mains, lisez-le bien de toute votre attention, l’ouvrage est plein d’agréables et bonnes surprises, vous serez ainsi, tout comme moi, très (l’) heureux, même joyeux. C’est là mon souhait le plus sincère, et reste en lecture vôtre,
Bien à vous, amis de la poésie, sincèrement !
Bernard Pommier (Fait à Beaumont, 53)
Introduction
Je commence par remercier très chaleureusement mes deux grands amis, Didier et Bernard. Merci à notre bel et jeune écrivain-poète Didier Cléro pour avoir accepté d’écrire une préface à mon premier ouvrage en poésie. J’exprime aussi ma très belle gratitude à cet ami Bernard Pommier, qui a accepté de rédiger un avant-propos expliquant ainsi à l’auteur pourquoi il avait accepté d’écrire ce texte introductif à un ami de toujours.
Bernard a, depuis plusieurs dizaines d’années, exprimé ses talents de peintre, poète, humoriste et inclassable dans tout ce qu’il écrit ou peint, car à la fois imprévisible, positif, joyeux et original, véritable artiste toujours prêt à tout pour scénariser la beauté… Cet homme aux m

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