La mémoire du coeur , livre ebook

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Impitoyable, autoritaire, solitaire. C’étaient les mots utilisés pour décrire le Dr Micah Steinberg, le prochain chef du service de chirurgie, par le personnel de l’hôpital. Lorsqu’une lettre provenant de l’amie de sa grand-mère arrive de la maison de retraite, son monde bien ordonné bascule dangereusement de façon incontrôlable.
Josh Rosen avait tout jusqu’à ce qu’il apprenne qu’une grande partie de son monde était un mensonge. Forcé de réévaluer sa vie, il abandonne sa carrière et retourne à New York pour prendre soin de sa grand-mère bien-aimée. Ce qu’il n’avait pas prévu, c’était d’être attiré par un homme qui en apparence semblait vivre justement le genre de vie que Josh avait choisi de laisser derrière lui.


Alors que Micah se débat avec la réalité de la maladie de sa grand-mère, la liaison que ces deux hommes partagent s’approfondit, Josh aidant Micah à guérir puis à ouvrir son cœur. Micah découvre qu’il y a plus dans la vie que le travail, le contrôle et le succès. Josh s’investit profondément, mais n’a pas encore eu le courage de dire à Micah qui il est vraiment.


Lorsque la lutte pour la tête du service de chirurgie de l’hôpital tourne mal, le passé et le présent de Josh entrent en collision. Micah doit laisser le passé où il est et accepter, qui il est, s’il veut que sa vie aille de l’avant.
La vie est pleine de surprises, et comme Micah et Josh l’apprennent, l’amour peut se présenter que vous l’ayez prévu ou non.

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Publié par

Nombre de lectures

25

EAN13

9782376760207

Langue

Français

Publié par
JU NO PUBLISHING
19 avenue du Maréchal de Lattre de Tassigny, 92100 Boulogne-Billancourt
Tel : 01 39 60 70 94
Siret : 819 154 378 00015
Catégorie juridique 9220 Association déclarée
http://juno-publishing.com/
 
 
La mémoire du cœur
Copyright de l’édition française © 2016 Juno Publishing
Copyright de l’édition anglaise © 2014 Felice Stevens
Titre original : Memories of the heart
© 2014 Felice Stevens
Traduit de l’anglais par Laure Ludovic.
Relecture française par Valérie Dubar, Jade Baiser, Estelle Pion
 
Conception graphique : © Leila chez CLM
Tout droit réservé. Aucune partie de cet ebook ne peut être reproduite ou transférée d’aucune façon que ce soit ni par aucun moyen, électronique ou physique sans la permission écrite de l’éditeur, sauf dans les endroits où la loi le permet. Cela inclut les photocopies, les enregistrements et tout système de stockage et de retrait d’information. Pour demander une autorisation, et pour toute autre demande d’information, merci de contacter Juno Publishing :
http://juno-publishing.com/
ISBN : 978-2-37676-020-7
Première édition française : décembre 2016
Première édition : février 2015
 
Édité en France métropolitaine
 
 
 
 
 
 
 
Avertissements
 
Ceci est une œuvre de fiction. Les noms, les personnages, les lieux et les faits décrits ne sont que le produit de l’imagination de l’auteur, ou utilisés de façon fictive. Toute ressemblance avec des personnes ayant réellement existées, vivantes ou décédées, des établissements commerciaux ou des événements ou des lieux ne serait que le fruit d’une coïncidence.
 
Cet ebook contient des scènes sexuellement explicites et homoérotiques, une relation MM et un langage adulte, ce qui peut être considéré comme offensant pour certains lecteurs. Il est destiné à la vente et au divertissement pour des adultes seulement, tels que définis par la loi du pays dans lequel vous avez effectué votre achat. Merci de stocker vos fichiers dans un endroit où ils ne seront pas accessibles à des mineurs.
 
 
 
 
 
 
 
 
Dédicace
 
À ma mère, la Nana de mes enfants. Tu me manques tous les jours. J'espère que je t'ai rendue fière.
 
 
 
Remerciements
 
Tout d'abord, merci à mon relecteur Keren Reed qui a rendu le processus de correction agréable. Merci aux meilleurs cheerleaders et amies que j'aurais pu avoir, Lindsey Ross et Sandy Owens. À Danelle Harmon, je te remercie d'avoir rendu l'idée d'auto-édition moins effrayante et d'être toujours là pour moi, à n'importe quelle heure de la nuit. Merci à Hope Cousin pour ta bêta lecture, tes blagues, mais surtout ton amitié. Un merci tout spécial à Denise, de Shh Mom's Reading pour son soutien inébranlable, ses conseils et ses encouragements.
 
Je voudrais avant tout remercier tous les lecteurs qui m'ont soutenu. Chaque email, message ou revue est apprécié à un point dont vous n'avez pas idée. Vous êtes sérieusement fantastique.
 
Pendant les dernières années de la vie de ma mère, elle a souffert de la maladie d'Alzheimer et cela a été déchirant de voir sa mémoire s'effacer, ainsi que sa lutte pour se souvenir des tâches quotidiennes. Elle a refusé d'abandonner et n'a jamais perdu son sens de l'humour ou son esprit indépendant. Je veux dédicacer ce livre à tous les aidants, que vous soyez mari ou femme, enfant ou petit-enfant. Je crois que ma mère savait que j'étais là pour elle et qu'elle était aimée. Les gens savent quand ils sont soignés par des gens qui se soucient d'eux. Si vous vous retrouvez submergés, il y a beaucoup de ressources disponibles. Je vous exhorte à contacter le Département du Vieillissement de votre état pour obtenir de l'aide.
 
 
 
 
 
 
La mémoire du cœur

Felice Stevens
 

 
Chapitre Un
 
 
 
 
Il devrait exister une loi contre les files d’attente interminables du lundi matin pour obtenir son café. Contre ça, et contre les longues queues dans le froid pour attendre son taxi. Tout ce que devait supporter le Dr Micah Steinberg avant même de mettre le pied à l’hôpital. Et bien sûr, parce que c’était lundi et que les Dieux étaient furieux pour il ne savait quelle raison, un nouveau barista – ou quel que soit le nom stupide qu’ils portaient aujourd’hui – était en pleine formation. La femme qui prenait habituellement sa commande aidait le nouveau venu à la caisse, lui donnant des conseils, mais la queue ne bougeait toujours pas assez vite pour lui.
Ils avancèrent d’un pas. Incapable d’ignorer le vrombissement incessant de son téléphone, Micah le déverrouilla maladroitement et fit défiler les nombreux messages et réunions importantes qui apparaissaient précédés d’un drapeau rouge, requérant son attention immédiate. Après avoir replacé la bandoulière de son attaché-case sur son épaule, il vérifia l’heure à sa montre. Presque sept heures. Merde. Il allait rater les tournées du matin s’ils ne se bougeaient pas les fesses. Mais bon sang, qu’est-ce qui leur prenait, de nos jours, de ne plus commander un café noir normal ? Ou au pire, un expresso ! Toutes ces dégoûtantes boissons sucrées étaient la raison pour laquelle la moitié de l’Amérique devenait diabétique.
Il atteignit enfin le comptoir, et sans attendre que la personne joyeuse lui souhaite la bienvenue, il grogna : « Quadruple expresso ! » avant de sortir son téléphone afin de le faire scanner. Et bien sûr, leur stupide machine refusa de le prendre, peu importe le nombre de fois qu’il essaya.
— Merde, c’est quoi le problème de ce truc ?
Il secoua son téléphone, puis fusilla du regard la personne de l’autre côté du comptoir.
— Votre machine est cassée ?
Stupide technologie de merde.
La femme haussa un sourcil et pointa simplement du doigt son téléphone.
— Vous le tenez à l’envers.
Le stagiaire tenta, sans y parvenir, de camoufler son rire et Micah serra les dents, ravalant les insultes qu’il rêvait de hurler à cet homme. Après avoir jeté un rapide coup d’œil à l’appareil incriminé, il le retourna et entendit le « bip » confirmant la transaction. Sans un autre mot, il alla au bout du comptoir pour attendre sa boisson, mais entendit d’abord l’homme marmonner dans sa barbe : « De rien, ducon ».
Micah sourit intérieurement. Gagné, baristaman ! Les gentils garçons finissent derniers. C’est pour ça que tu travailles dans un ridicule coffee shop à ton âge.
Bien sûr, les commandes étaient aussi ralenties, ce qui lui donna l’occasion d’étudier l’homme qui l’avait insulté avec tellement de naturel. Âgé d’une trentaine d’années, le type essayait de dégager des ondes jeunes et branchées avec son jean usé, sa barbe négligée et ses cheveux légèrement longs. Il était agréable à regarder et semblait charmer indifféremment les hommes et les femmes, les accueillant avec un large sourire éclatant et une voix rauque, mais agréable. Comme s’il sentait qu’on le dévisageait, il se tourna pour regarder Micah et lui adressa un clin d’œil et un splendide sourire.
Ses yeux avaient la couleur de la mer des Caraïbes et étaient bordés d’épais cils noirs, tandis que les profondes fossettes de ses deux joues faisaient ressortir ses lèvres pulpeuses. Incroyable, mais l’entrejambe de Micah se mit à gonfler à la simple idée de cette immense bouche autour son sexe. Putain . Il détourna le regard et se renfrogna, même lorsqu’ils appelèrent son nom pour qu’il aille récupérer son expresso. Son imperméable battant autour de ses jambes, il sortit sans prendre la peine de tenir la porte à la femme derrière lui.
L’hôpital où il travaillait était situé dans l’Upper West Side de Manhattan, entouré d’immeubles d’avant-guerre et de plus de magasins et de restaurants qu’il ne pourrait en explorer tout au long de sa vie, même s’il en avait le

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