Le début d une belle amitié
61 pages
Français

Vous pourrez modifier la taille du texte de cet ouvrage

Découvre YouScribe en t'inscrivant gratuitement

Je m'inscris

Le début d'une belle amitié , livre ebook

-
traduit par

Découvre YouScribe en t'inscrivant gratuitement

Je m'inscris
Obtenez un accès à la bibliothèque pour le consulter en ligne
En savoir plus
61 pages
Français

Vous pourrez modifier la taille du texte de cet ouvrage

Obtenez un accès à la bibliothèque pour le consulter en ligne
En savoir plus

Description

Tome 0.5 : Prologue à la série Espion contre Agent secret


Nous sommes en 1996, et Mark Vincent, agent spécial du Bureau de Renseignement et de Sécurité de Washington, est chargé d’assassiner le chef d’une organisation terroriste en Europe. Quand la mission dérape et qu’on lui ordonne de prendre des vacances, il va à Paris à contrecœur, où, dans un petit bar appelé Le Petit Homme, il voit un homme qui l’intrigue. Cependant, comme les navires qui se croisent dans la nuit, ils prennent des chemins différents, seulement pour se retrouver le lendemain matin, et au cours du petit déjeuner, l’homme se présente comme Louis.


Est-ce une coïncidence ? Peut-être, peut-être pas, mais Mark est intrigué, et incapable de résister, il lui dit s’appeler Rick. Un commentaire de Louis conduit Mark à présumer que l’autre homme se prostitue pour gagner sa vie. Il décide alors de « louer » ses services pour la semaine. À l’insu de Mark, Louis a ses propres raisons pour maintenir la mascarade, ce qui conduit au début... d’une belle amitié.


Romance MM . Retrouvez d'autres titres sur note site: http://www.juno-publishing.com/

Sujets

Informations

Publié par
Date de parution 13 janvier 2017
Nombre de lectures 2
EAN13 9782376760139
Langue Français

Informations légales : prix de location à la page 0,0019€. Cette information est donnée uniquement à titre indicatif conformément à la législation en vigueur.

Extrait

Publié par
JUNO PUBLISHING
19 avenue du Maréchal de Lattre de Tassigny, 92100 Boulogne-Billancourt
Tel : 01 39 60 70 94
Siret : 819 154 378 00015
Catégorie juridique 9220 Association déclarée
http://juno-publishing.com/
 
 
Le début d’une belle amitié
Copyright de l’édition française © 20 Juno Publishing
Copyright de l’édition anglaise © 2013 Tinnean
Publié chez Dreamspinner Press, 5032 Capital Circle SW, Ste 2, PMB# 279, Tallahassee, FL 32305-7886 USA
Titre original : The Start of a Beautiful Frienship
Traduit de l’anglais par Jade Baiser.
Relecture française par Valérie Dubar
Conception graphique : © Francessca Webster  
Tout droit réservé. Aucune partie de cet ebook ne peut être reproduite ou transférée d’aucune façon que ce soit ni par aucun moyen, électronique ou physique sans la permission écrite de l’éditeur, sauf dans les endroits où la loi le permet. Cela inclut les photocopies, les enregistrements et tout système de stockage et de retrait d’information. Pour demander une autorisation, et pour toute autre demande d’information, merci de contacter Juno Publishing :
http://juno-publishing.com/
 
Première édition française : janvier 2017
Première édition : Octobre 2013
ISBN : 978-2-37676-013-9
 
Édité en France métropolitaine
 
 
Table des matières
Avertissements
Remerciements
Dédicace
Chapitre Un
Chapitre Deux
Chapitre Trois
Chapitre Quatre
Chapitre Cinq
Chapitre Six
Chapitre Sept
Chapitre Huit
Chapitre Neuf
Chapitre Dix
Chapitre Onze
Chapitre Douze
À propos de l’Auteur
Résumé

 
 
 
Avertissements
 
Ceci est une œuvre fictive. Les noms, les personnages, les lieux et les faits décrits ne sont que le produit de l’imagination de l’auteur, ou utilisés de façon fictive. Toute ressemblance avec des personnes ayant réellement existées, vivantes ou décédées, des établissements commerciaux ou des événements ou des lieux ne serait que le fruit d’une coïncidence.
 
Cet ebook contient des scènes sexuellement explicites et homoérotiques, une relation MM et un langage adulte, ce qui peut être considéré comme offensant pour certains lecteurs. Il est destiné à la vente et au divertissement pour des adultes seulement, tels que définis par la loi du pays dans lequel vous avez effectué votre achat. Merci de stocker vos fichiers dans un endroit où ils ne seront pas accessibles à des mineurs.
 
 
 
 
 
 
 
 
Remerciements
 
 
Un grand merci à Tim Mead, Tony, et Gail Morse, dont l’aide est plus précieuse que je peux le dire.
 
 
 
 
 
Dédicace
 
 
Comme toujours, c’est pour Bob, qui vide le lave-vaisselle, plie la lessive, passe prendre la nourriture à emporter, passe l’aspirateur sur le tapis, promène le chiot lorsqu’il me rend visite, prend la voiture pour changer l’huile, fait le café, nettoie le porche au kärsher et arrose les plantes, ce qui me laisse le temps d’écrire.
 
 
Le début
d’une belle amitié
Introduction à la série
Espion contre Agent secret

 
Tinnean

 
 
Chapitre Un
 
 
 
 
Le 7 janvier 1996, il commença à neiger à New York, et il neigea comme vache qui pisse pendant les deux jours suivant. Faites-moi confiance là-dessus... J’y étais à l’époque.
Comme j’étais dans une chambre d’hôpital de Good Sam à West Islip, j’avais mon téléphone portable en mode silencieux, et lorsqu’il vibra dans ma poche, je sus que c’était un message du travail. Personne d’autre n’appelait ce numéro. Je sortis mon portable et vérifiai le texto.
Ouaip, c’était du WBIS, le Washington Bureau of Intelligence and Security 1 .
Je souris à l’homme couché dans le lit, déterminé à ne pas lui laisser voir à quel point j’étais inquiet devant son état de santé. Il était relié à plus de machines qu’un corps devrait l’être.
Ma mère était une alcoolique qui avait tendance à fréquenter les bars et à ramener à la maison quiconque lui faisait envie. Le type restait avec nous pour un jour, une semaine, un mois peut-être, puis elle le jetait dehors. Pour une raison inconnue, ces hommes m’avaient toujours bien traité et étaient restés en contact. L’un d’eux était un chef scout qui m’avait enseigné le français ainsi que l’escrime. Un autre était un pêcheur portugais qui m’avait montré la meilleure façon d’écailler un poisson, comment me comporter lors un combat au couteau, et comment délivrer un crochet du droit. Selon Tio Ze, un homme n’avait pas à être défini par des étiquettes.
L’homme dans le lit, un expatrié Britannique, m’avait non seulement appris diverses méthodes de légitime défense, mais il avait veillé à ce que j’aie une éducation décente, même après qu’il soit parti. Il m’avait fait sortir du trou à rats qui était mon foyer à cette époque lorsque j’avais six ans et m’avait envoyé dans une académie militaire à Long Island. Son nom était Bert Greenley, mais je l’avais toujours appelé l’oncle Bert, ou UB pour faire court. Quand j’avais appris qu’il avait un cancer et une assurance merdique, je m’étais assuré qu’il ait les meilleurs médecins et le traitement le plus à jour, même si je savais que ce serait simplement palliatif.
— Je dois prendre cet appel, UB.
— Vas-y, fils, dit-il d’une voix rauque.
Dernièrement, son accent britannique était devenu plus perceptible, probablement en raison de sa maladie. Je me demandais si son accent avait quelque chose à voir avec l’attrait de ma mère pour lui. Maintenant que j’y pensais, la plupart de ses hommes n’étaient pas des États-Unis.
Je posai doucement ma main sur son bras. Mon propre père avait disparu de ma vie quand j’avais environ cinq ans. Quatre ? Le temps avait tendance à se brouiller.
— Je reviens tout de suite.
Je sortis de la pièce, descendis les escaliers jusqu’à l’entrée, et me dirigeai vers le parking, et c’est ainsi que je découvris toute la neige.
Merde.
Le bulletin météo n’en avait pas parlé lorsque j’avais pris l’avion pour Long Island quelques jours plus tôt, alors je n’avais pas apporté de gants ou de bottes, et le blouson de bombardier que je portais était plus approprié pour des températures plus élevées.
La neige m’arrivait déjà aux genoux, mais ce n’était pas un coup de téléphone que je pouvais passer dans un espace public. Je travaillais pour une agence que personne au-delà de la communauté du renseignement ne connaissait, et ceux dans le secret souhaitaient qu’elle n’existe pas.
Je me dirigeai vers mon véhicule de location, j’y entrai et démarrai afin d’avoir un peu de chauffage pour décongeler mes orteils. Merde, il faisait froid ! Je frottai mes mains, soufflai sur mes doigts et appuyai sur la touche d’un numéro abrégé de mon portable.
— Bureau de M. Wallace.
Je n’étais pas surpris que lui et sa secrétaire travaillent un dimanche. Si je n’étais pas allé voir UB, il en aurait été de même pour moi.
— C’est Vincent.
— Un instant. Il attendait votre appel.
En moins d’une seconde, Le Boss – eh oui, c’était avec des majuscules – prit l’appel.
— J’ai un boulot pour vous, Vincent.
— Oui, monsieur.
Ce n’était pas le moment idéal, mais rien, pas même l’homme dans le lit d’hôpital pour lequel je m’inquiétais, ne passait avant le travail.
— L’Archevêque a refait surface à Prague...
L’Archevêque dirigeait une organisation terroriste connue sous le nom de Chambre Écarlate. C’étaient tous les deux des noms stupides – il avait sans doute regardé trop de films de James Bond – mais il avait quand même tendance à faire sauter des gens et des bâtiments que les gouvernements ne voulaient pas faire sauter.
—... et ce serait le moment idéal pour le WBIS de s’en débarrasser.
La Division, une organisation antiterroriste qui avait ses racines à Paris, devait s’en occuper un an ou deux auparavant, mais ils ne l’avaient apparemment pas fait. Il avait dû faire profil bas jusqu’à ce qu’il puisse réapparaître comme la mauvaise herbe qu’il était. Ce serait un plaisir pour moi de me débarrasser de ce fils de pute.
— Une équipe vous attend à Prague. Je sais que vous préférez travailler seul...
Je pensais avoir été clair là-dessus trois ans plus tôt, après que mon idiot de partenaire s’était fait tuer. Je m’étais occupé des salauds qui l’avaient torturé et tué, et j’avais eu encore plus de conneries à gérer face au WBIS, où des directeurs qui n’étaient jamais allés sur le terrain avaient décidé que je devrais avoir un autre partenaire. Au lieu de cela, j’avais piqué une colère dont ils parlaient encore en chuchotements étouffés.
—... mais vous aurez besoin d’hommes pour surveiller vos arrières.
Non, je n’en avais pas besoin, mais je pouvais difficilement dire au Boss que je m’en sortirais très bien tout seul. J’attendis pour voir ce qu’il avait encore à dire.
— Je vous ai affecté Turner, Seaver, Bennett et Stanley. Il y a aussi un agent de la DGSE qui a réussi à infiltrer la Chambre Écarlate. Votre travail...
Ce n’était pas Mission : Impossible , et il n’y avait pas de doute que je choisirais de l’accepter.
—... c’est d’effacer l’Archevêque et de faire sortir Claude Pluie de là.
— Claude est un chic type.
Je l’avais rencontré quelques années auparavant à Paris, et nous avions joué au chat et la souris avec Sidorov, l’ancien agent du KGB qui avait tendance à se présenter aux moments les plus inopportuns. Une fois qu’il avait ramassé ses billes et était rentré chez lui, Claude et moi avions eu un peu de temps de repos et nous avions donc baisé pour le reste de la journée.
Ouais, j’aimais baiser les mecs. Et alors ?
Je regardai à travers le pare-brise. La visibilité était à peu près nulle.
— Monsieur, j’ai un problème ici. Avez-vous regardé la chaîne météo cet après-midi ?
— Une seconde.
Je pouvais l’entendre se lever et allumer la petite télévision qu’il gardait dans un coin de son bureau. Il resta silencieux pendant une minute, puis retourna à son bureau et dit :
— S’il vous plaît, dites-moi que vous n’êtes pas à New York.
— Je suis d

  • Univers Univers
  • Ebooks Ebooks
  • Livres audio Livres audio
  • Presse Presse
  • Podcasts Podcasts
  • BD BD
  • Documents Documents